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20/05/2014

Adieu paysans

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18/05/2014

Ozero

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Vladimir avec son copain de judo, Arcady Rotenberg, à Saint Pétersbourg dans les années 1990

 

La vérité sur le clan Poutine ou les "Pétersbourgeois" (2012)

Le récent rapport publié par des experts indépendants sur le clan mafieux de Vladimir Poutine a fait l’effet d’une bombe en Russie : l’information se propage comme une traînée de poudre. On ne les connaissait pas, ces hommes de l’ombre, milliardaires et amis intimes du Chef du gouvernement russe. Maintenant, on sait comment ils ont bâti leur pouvoir et empire financier.

Comme le dit Édouard Limonov, « Staline s’est maintenu au pouvoir grâce à la terreur du NKVD (KGB), Poutine reste grâce au mensonge ou grâce à l’absence de vérité, tous les deux bien cachés et camouflés ». Mais qui dirige le plus grand pays du monde ?

Rapport indépendant rédigé par le Mouvement démocratique Solidarnost

(N.B. : je sais, Solidarnost, c'est Kasparov et l'influence américaine, mais tout de même, les informations sont intéressantes)

Voir le rapport en russe

Les débuts de Poutine dans la vie politique

Reprenons la vie de Vladimir Poutine à partir du moment où il quitte le service du KGB en RDA. Avec la réunification allemande, le lieutenant-colonel Poutine retourne à Léningrad pour y reprendre ses activités dans la Direction locale du KGB, sous la couverture de poste de Conseiller aux affaires internationales du Recteur de l’Université de Léningrad, M. Anatoli Sobtchak.

De 1992 à 1996, Poutine est responsable des relations extérieures de la mairie de Saint Pétersbourg, et, à partir de 1994, il devient premier adjoint d’Anatoli Sobtchak, devenu Maire de la ville.

En mars 1997, Poutine entre dans l’administration présidentielle comme vice-président, chargé du Département principal de contrôle doté de pouvoirs étendus. Il devient ensuite vice-directeur de l’administration présidentielle chargé de la gestion des relations avec les régions, toujours avec une importante influence dans le milieu des pouvoirs. En juillet 1998, il est nommé directeur du FSB (Service fédéral de sécurité : ex-KGB), poste qu’il occupera un peu plus d’un an, jusqu’à sa nomination comme Premier ministre le 9 août 1999. Il occupe en parallèle, de mars à août 1999, un poste de secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie. Poutine est devenu un chien de garde du clan Eltsine, discret et efficace.

Poutine au service de Eltsine

En avril 1999, Eltsine aurait ordonné au FSB, contrôlé par Vladimir Poutine, de piéger le procureur général de Russie, Iouri Skouratov, qui diligentait une enquête sur les malversations du clan Eltsine. Lors d’une conférence donnée en présence du ministre de l’Intérieur Sergueï Stepachine, Poutine soutient à la télé que la vidéo compromettante est authentique. Poutine sera récompensé par sa fidélité au clan Eltsine. En août, Poutine est nommé président du gouvernement par Boris Eltsine.

Le 31 décembre 1999, après la démission surprise de Boris Eltsine, Poutine, en sa qualité de président du gouvernement, devient président par intérim. Son premier acte officiel est la signature d’un décret présidentiel assurant à son prédécesseur une immunité totale pour toute poursuite judiciaire possible le concernant, ainsi que les membres de sa famille.

Depuis son ascension au pouvoir, Vladimir Poutine, déterminé à restaurer ce qu’il appelle « la verticale du pouvoir » avec ses amis, pour la plupart d’entre eux, des amis de Saint Pétersbourg.

Le clan Poutine

Déjà, en 1996, avant de quitter Saint Pétersbourg, Vladimir Poutine avait créé, avec ses 7 amis proches, une coopérative de datcha appelé « Ozero » (le lac en russe) qui contrôlait la petite banque AKB Russie. En 2004, le géant Gazprom contrôlé par le Kremlin, a cédé à cette banque, sans faire d’appel d’offres et pour des prix insignifiants, les actions de Sogaz et GazFond, via de multiples machinations. La banque a aussi obtenu le contrôle de la chaîne de télévision NTV, le journal Izvestia et d’autres actions juteuses.

D’après le rapport indépendant du mouvement Solidarnost, Gazprom a versé aux actionnaires de « Ozero »... 60 milliards de dollars !

La suite sur Russie.net

17/05/2014

En Ukraine, les « libérateurs » russes torturent des ouvriers

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En résumé, la victime, Oleksandr Hurov, un mineur de charbon de Novohradovka, dans le Donbass, avait juste voulu retirer un drapeau séparatiste du principal édifice public de sa ville.

Mal lui en a pris : kidnappé en plein jour par un commando d'hommes masqués et lourdement armés, il a été emmené avec cinq autres activistes pro-ukrainiens pacifiques au cinquième étage du bâtiment du conseil régional de Donetsk, devenu le quartier général de la pseudo-République Populaire du même nom. Là, il a été tabassé, torturé, menacé de mort et a subi des injections de psychotropes.

Bilan : le nez, la mâchoire et de multiples côtes cassées, ainsi que des lacérations au bras gauche puisque les « libérateurs » ont voulu, avec un couteau, lui enlever un tatouage patriotique.

Libéré le lendemain avec ses cinq camarades, soi-disant en échange de séparatistes détenus par les loyalistes, il a dû fuir la région pour Kiev, avec sa femme et leur enfant, qui ont également reçu des menaces.

Plus tard, à la télé ukrainienne, confronté au député communiste Adam Martynyuk, venu prétendre que les séparatistes de l'est combattent le Pravyi Sektor et que le gouvernement ukrainien devrait négocier avec eux, il lui a demandé où il avait vu le Pravyi Sektor dans une mine, et comment des négociations seraient possibles avec des terroristes comme ceux qui l'avaient torturé.

Il a aussi mentionné le fait que si son grand-père, un combattant de la deuxième guerre mondiale, entendait les déclarations du député communiste, il abattrait celui-ci sur-le-champ.

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La désinformation systématique contre l'Ukraine

Les champions du poutinisme servile : Berlusconi, Le Pen, Tsipras (merci @Mandrin !) et Farage

 

« Concernant Odessa, il existe beaucoup de sites français reprenant la propagande russe (avec en tête de proue, "Réalpolitik", fondé par Chauprade, le valet assumé de Poutine...). Et il aussi existe des dizaines et des dizaines de vidéos, des centaines et des centaines de photos (accompagnées de témoignages) qui démontrent les mensonges de ces "informations" en provenance des médias russes. Est-ce étonnant ? Non. La logique est la même que pour la Crimée : manipuler, mentir, contrôler l'information. Pour la Crimée, nous savons maintenant que la Russie a organisé une "désinformation systématique" (et ce n'est pas l'Amérique ni l'UE qui le dit, mais bien l'ONU après enquête approfondie).

Concernant le drame d'Odessa : comme toujours, beaucoup de commentaires et de vidéos partiels, pour ne pas dire plus. A l'issue d'un match de foot en ville, les deux clubs de supporters ont décidé de défiler ensemble pour l'unité de l'Ukraine. Comme cela s'était passé quelques jours auparavant, ce défilé unitaire a été attaqué par des dizaines de personnes masquées et armées. La police a été incapable de s'interposer et des vidéos montrent clairement deux tireurs embusqués derrière un cordon de police (complicité ou "maladresse" de la police). A l'issue de ce premier assaut, 4 personnes ont été abattues à l'arme automatique du côté des bleu et jaune. Une course poursuite s'est alors engagée. Un député d'Odessa a ensuite bêtement suggéré aux assaillants d'aller tenir la maison des syndicats au centre ville, plutôt que de se disperser. Les tentes - vides - des "pro-russes" ont été démontées et brûlées. Des échanges de cocktails Molotov ont eu lieu. D'après les images, l'incendie s'est déclaré au second étage, dans une pièce aux fenêtres intactes et occupée par des assaillants désormais réfugiés à l'intérieur.

L'enchaînement des événements est le suivant : l'incendie gagne en intensité, cependant que des tireurs embusqués sur les toits abattent à nouveau 5 manifestants bleu et jaune, ce qui porte à neuf le nombre de tués, sans compter les nombreux blessés (principalement des fractures) lors de l'assaut sur le cortège. Sur la face avant de l'immeuble, la barricade a été construite de telle façon (à l'origine par les "pro-russes") qu'elle empêche toute sortie puisqu'elle est elle-même en feu. Quelques personnes sautent dans le vide par peur ou pour échapper à l'asphyxie. Elles sont évacuées (morts ou blessés) par les "assaillants" ou la police. Sur la face arrière de l'immeuble, en revanche, la foule a construit un échafaudage de fortune et lancé des cordes, permettant d'évacuer plus d'une centaine de personnes. Les pompiers arrivent très en retard...

Il faut savoir que près de 350 personnes s'étaient rassemblées dans cet immeuble. Parmi eux bien sûr les organisateurs et des agitateurs professionnels qui ont pu "tranquillement" s'enfuir sans se préoccuper des jeunes et moins jeunes civils qu'ils avaient entraînés dans leur expédition. Près de 120 personnes s'en sont sorties et les bleu et jaune ont bien entendu participé à ce sauvetage. Il reste 38 morts "inutiles", comme à chaque fois dans ce genre de drame. Inutiles, mais pas pour tout le monde : la propagande russe a voulu y voir un "pogrom", niant - malgré les images - le fait que les bleu et jaune aient participé activement au sauvetage et passant sous silence les deux éléments déclencheurs : l'attaque violente du cortège unitaire et la mort de 9 personnes abattues à l'arme automatique. On entre dans l'irrationnel complet et il est clair qu'en multipliant les provocations et les morts, la Russie a obtenu ce qu'elle cherchait, un accident lui permettant de relancer sa machine de propagande...

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13/05/2014

Oligarque « ukrainien »...

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Hubaryev affirme qu'Akhmetov finance des séparatistes

Rinat Akhmetov a stipendié des séparatistes à Donetsk, a déclaré le leader séparatiste Pavlo Hubaryev lors d'un entretien accordé à la Rossiyskaya Gazeta.

Selon Hubaryev, après que le Parti des Régions ait perdu de sa crédibilité, il n'était pas possible de la restaurer. « Dans ces circonstances, les leaders de la soi-disant milice populaire ont commencé à émerger dans toutes les villes. Le parti au pouvoir, les oligarques de l'Est, ont eu recours aux mêmes moyens appropriés de corruption. Il n'y a eu aucune menace, peut-être ; plutôt de la corruption et des intrigues avec les activistes de la milice populaire », a-t-il dit.

« Il s'est avéré que les deux tiers des activistes sont déjà à la charge de l'oligarque Rinat Akhmetov. Un très petit groupe de personnes est resté loyal envers l'idée, mais ils ont aussi pris de l'argent. Tous ont accepté de l'argent ! » a admis Hubaryev.

Akhmetov a déclaré à plusieurs reprises soutenir une Ukraine unifiée.

Cependant, Akhmetov a pressé le gouvernement d'arrêter l'opération anti-terroriste dans le Donbass. « Nous appelons le gouvernement à abandonner la pratique de batailles à grande échelle avec l'utilisation des Forces armées, du matériel lourd et des armes dans les villes paisibles du Donbass. Nous croyons que l'armée ukrainienne et d'autres gens armés devraient immédiatement quitter la ville », déclare un document en ligne sur le site internet du Groupe Metinvest, propriété d'Akhmetov.

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Traduction par mes soins à partir de la version anglaise du site source. – Reproduction autorisée sous réserve de citer verslarevolution.hautetfort.com en source.

12/05/2014

« Référendum », mon oeil

Pourcentage de Russes (surtout importés par l'URSS) en Ukraine, par régions, selon le recensement de 2001

 

« Le "référendum" à la Poutine, ou comment créer des images "comme il faut" pour la propagande du Kremlin et les télés occidentales crédules :

1) Ouvrir seulement 1/10ème des bureaux de vote (ou même moins),

2) La population endoctrinée par Kremlin et séparatistes locaux s’agglutine autour de ces îlots de la "démocratie" populaire à la russe,

3) il suffit de prendre des plans serrés afin de montrer "l’élan du peuple vers son indépendance".

Les photos ci-dessous sont prises par des journalistes occidentaux à Marioupol, 500.000 habitants, 2ème ville de la région après Donetsk et 10ème ville du pays. Pour toute la ville, les guignols de Poutine ont ouvert seulement 4 (!) bureaux de vote (sur 200).

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09/05/2014

Frères ukrainiens

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J'ai hésité quelques jours à reprendre cette vidéo parue sur F.Desouche, en raison de la présentation bien-pensante et donc partiale du Pravyi Sektor par les journalistes suisses qui ont réalisé le reportage dont elle est tirée. A force, l'usage de mots de novlangue comme « nauséabond » et « ultranationalistes » me dissuade, en général, de faire de la publicité à sa source.

Néanmoins, en l'occurrence et à condition de regarder ce film d'un oeil critique, c'est-à-dire en dissociant la réalité filmée et parlée de la partie idéologiquement orientée des commentaires journalistiques, le documentaire n'est pas mal du tout. Et puis, il n'a pas d'équivalent, à ma connaissance.

Donc, si vous ne connaissez pas du tout le Pravyi Sektor et voulez mettre des visages sur ce nom, voir un peu qui sont ceux que l'Occident (et surtout la pseudo-« dissidence » française soralo-chaupradesque), comme la Russie, nous présentent comme des néo-nazis sanguinaires, des brutes avinées ou des paumés manipulés, bras armé d'intérêts étrangers et/ou oligarchiques, faites-vous votre propre idée.

Vous verrez qu'on est bien loin de ces caricatures grotesques et que si nous, patriotes français et européens, pouvons reconnaître aujourd'hui des exemples à suivre, ce sont bien les héros de Maïdan et leurs camarades.

06/05/2014

Le modèle russe selon Poutine

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Poutine aime les quenelles. Vous aussi ? Vous n'allez pas être déçus !

 

Je reproduis ici un commentaire de l'excellent @Symmaque, que je remercie vivement. Exceptionnellement, je n'ai pas caché derrière le texte les liens qu'il a donnés, de façon à ce que tout le monde puisse voir que ces sources sont essentiellement russes et très officielles.

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Ceux qui à droite s'imaginent que l'Union Eurasiatique de Poutine est une alternative à l'UE, au libre échange et à l'immigration, vont être déçus.

Dans l'article que je mets en lien, Poutine parle de la création d'un espace économique commun, avec une législation unique, avec une libre circulation des capitaux et des travailleurs :

« We are about to move from the Customs Union to the Common Economic Space. We are creating a huge market that will encompass over 165 million consumers, with unified legislation and the free flow of capital, services and labour force. »

Il prend pour modèle l'espace Schengen et sa dérégulation complète des flux migratoires :

« Later, this framework will also include common visa and migration policies, allowing border controls between our states to be lifted. In fact, we are adapting the experience of the Schengen Agreement that benefits Europeans as well as everyone who comes to work, study, or holiday in the EU. »

http://russiancouncil.ru/en/inner/?id_4=554#top

http://www.russianmission.eu/en/news/article-prime-minist...

Etiez-vous au courant de l'existence du Musée Juif et Centre de la Tolérance ( http://www.jewish-museum.ru/en ) à Moscou ?

Le Centre de la Tolérance accueille les jeunes pour les sensibiliser aux problèmes liés à la xénophobie, aux discriminations, et travaille avec des universités pour offrir un enseignement d'ethno-psychologie et de communication trans-ethnique : tout un programme !

Mais le plus surprenant est que c'est Poutine lui-même qui est à l'origine de sa création et qu'il l'a financé sur ses propres deniers :

http://www.bloomberg.com/news/2012-11-08/peres-inaugurate...

conjointement avec le milliardaire oligarque Victor Vekselberg ( http://topics.bloomberg.com/viktor-vekselberg/ ) qui, au passage, serait l'homme le plus riche de Russie.

Poutine a rencontré, le mois dernier, le directeur du centre ainsi que le Grand Rabbin Berl Lazar. Le directeur s'est félicité de ce que « le Centre de la Tolérance travaille activement avec les écoles » et de ce qu'ils « ont des leçons certifiées que l'Education Nationale est en train d'introduire dans les écoles » (« The Tolerance Centre works actively with schools. We have certified lessons and the Education Department is introducing them to schools. »).

http://eng.news.kremlin.ru/transcripts/7016

Dernière chose : Poutine a célébré, en 2013, le 225ème anniversaire de l'Assemblée Spirituelle Musulmane (fondée par Catherine la Grande) en compagnie de divers Mouftis. Il a célébré l'islam comme étant une religion russe depuis le XVIIIème siècle. Il développe ensuite une série de propositions afin d'intégrer l'islam à la société russe. Mais, en lisant sa déclaration, on sent quand même qu'il marche sur des oeufs. :-)

http://eng.kremlin.ru/transcripts/6157

Poutine n'est une alternative, ni au libéralisme économique, ni à l'UE qu'il prend comme modèle pour l'édification de son Union Eurasiatique. Il n'est pas davantage le sauveur de l'homme blanc ou le dernier rempart face à l'islam, comme certains à l'ED le pensent. Il est au contraire en train de recréer une société multiethnique multiculturelle, conformément au modèle libéral.

27/04/2014

Le « charme russe » selon Poutine

C'était en 2009. « No comment », comme dirait Pierre-Yves Bocquet.

22/04/2014

Troisième voie

 

« Pour nous les justicialistes, le monde se divise aujourd’hui en capitalistes et communistes en lutte : nous ne sommes ni l’un ni l’autre. (...) Nous considérons le capitalisme comme l’exploitation de l’homme par le capital, et le communisme comme l’exploitation de l’individu par l’Etat. Les deux "insectifient" la personne par des systèmes différents (...). Sans le capitalisme le communisme n’aurait pas de raison d’être. »

Juan Perón

« Personne n’a été capable de suivre la farce comme moi pour savoir toute la vérité. Parce que tous ceux qui sont sortis du peuple pour parcourir mon chemin ne sont jamais revenus. Ils se sont laissés éblouir par la merveilleuse fantaisie des hauteurs et ils sont restés pour jouir du mensonge. »

« Je ne me suis pas laissée arracher l’âme que j’ai apportée de la rue, c’est pourquoi la grandeur du pouvoir ne m’a jamais éblouie et j’ai pu voir ses misères. C’est pourquoi je n’ai jamais oublié les misères de mon peuple et j’ai pu voir ses grandeurs. »

Eva Perón

Il suffit de transposer cela à aujourd'hui et par exemple, à la situation de l'Ukraine et des patriotes ukrainiens et on comprend tout, tout de suite.