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21/10/2014

Au pays du sourire forcé

« Chine : république populaire de la corruption », Canal Plus, magazine Spécial investigation, 06 octobre 2014.

Pas de lien de rechange pour le moment. Juste un résumé ici : https://vimeo.com/107473513 et un extrait là : http://player.canalplus.fr/embed/?param=cplus&vid=114...

 

« Leçon de propagande chinoise en zone interdite », France 5, 14 octobre 2014.

Lien de rechange : https://vimeo.com/105494748

 

(Je remercie l'ami @Erone de m'avoir fait découvrir ces vidéos.)

21/09/2014

Voilà ce que défendent les pro-russes en Ukraine

Holodomor.jpg

 

L’objet de cet article n’est pas d’être exhaustif, ce serait trop long, ni de revenir en détail sur les guerres civiles atroces qui ont ravagé l’Ukraine et les conséquences politiques des deux premières famines.

Il s’agit simplement de démontrer comment une politique de remplacement migratoire a été à l’œuvre en URSS par l’utilisation de 3 famines (1921, 1932, 1946), du couple déportation-importation de populations et de prouver combien cela pèse sur la paix civile et la cohésion du pays aujourd’hui afin d‘en tirer des enseignements.

L’Ukraine est une nation martyre. Après avoir gémi sous le knout des Tsars, la révolution de février 1917 lui fait rêver à une indépendance que le chaos et l’issue de la guerre civile provoquée par le coup d’Etat bolchévique achèveront d’anéantir pour longtemps.

En effet la guerre civile « russe » voit s’affronter en Ukraine pléthore d’armées : allemande, autrichienne, rouge, russe blanche, ukrainienne nationaliste, ukrainienne anarchiste, groupes de partisans, polonaise, etc., les troupes non étrangères étant elles-mêmes divisées en factions et changeant régulièrement de camp où elles conservent néanmoins leurs habitudes de guerre très sale.

Dès 1921–1922 la famine, provoquée par la nationalisation du commerce des céréales et les réquisitions communistes, éclate dans certaines provinces d’Ukraine : Zaporojié, Donetsk, Ekaterinoslavl et Odessa (toutes ces provinces, à l’exception de Zaporojié, ont été plus ou moins secouées par les menées des séparatistes, car la population autrefois décimée y a été remplacée, par vagues successives, dans les années consécutives à cette première famine soviétique).

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17/05/2014

En Ukraine, les « libérateurs » russes torturent des ouvriers

Source

En résumé, la victime, Oleksandr Hurov, un mineur de charbon de Novohradovka, dans le Donbass, avait juste voulu retirer un drapeau séparatiste du principal édifice public de sa ville.

Mal lui en a pris : kidnappé en plein jour par un commando d'hommes masqués et lourdement armés, il a été emmené avec cinq autres activistes pro-ukrainiens pacifiques au cinquième étage du bâtiment du conseil régional de Donetsk, devenu le quartier général de la pseudo-République Populaire du même nom. Là, il a été tabassé, torturé, menacé de mort et a subi des injections de psychotropes.

Bilan : le nez, la mâchoire et de multiples côtes cassées, ainsi que des lacérations au bras gauche puisque les « libérateurs » ont voulu, avec un couteau, lui enlever un tatouage patriotique.

Libéré le lendemain avec ses cinq camarades, soi-disant en échange de séparatistes détenus par les loyalistes, il a dû fuir la région pour Kiev, avec sa femme et leur enfant, qui ont également reçu des menaces.

Plus tard, à la télé ukrainienne, confronté au député communiste Adam Martynyuk, venu prétendre que les séparatistes de l'est combattent le Pravyi Sektor et que le gouvernement ukrainien devrait négocier avec eux, il lui a demandé où il avait vu le Pravyi Sektor dans une mine, et comment des négociations seraient possibles avec des terroristes comme ceux qui l'avaient torturé.

Il a aussi mentionné le fait que si son grand-père, un combattant de la deuxième guerre mondiale, entendait les déclarations du député communiste, il abattrait celui-ci sur-le-champ.

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10/04/2014

Les poutinolâtres et leur drapeau

 

« A Kharkiv, les russo-communistes, totalement étrangers à l'Ukraine, pensaient s'emparer de la mairie. Ils ont attaqué... le théâtre. »

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15/04/2011

Katyń

 

Hier soir, la chaîne de télévision arte a diffusé le film éponyme, scandaleusement sous-distribué dans les salles françaises à sa sortie en 2009 (signe d'une volonté persistante, chez l'imbécilentsia gauchiste fossilisée de notre pays, de nier l'ampleur des atrocités bolchéviques), d'Andrzej Wajda, lui-même fils d'un officier polonais assassiné par les Soviétiques :

Il n'a pas manqué de réveiller en moi, pour la cent millième fois, la répugnance atavique, la haine viscérale du sectarisme meurtrier, de la connerie et de la brutalité communistes, découverts à l'âge de six ans en écoutant, incrédule, mon père me raconter et me décrire le Goulag, approfondis à l'adolescence en découvrant le massacre de la famille impériale russe et autres crimes de Lénine, les famines, Pol Pot, la Révolution Culturelle chinoise et j'en passe et des meilleures (la litanie de ces horreurs est infinie).

Je ne suis pas chrétien et ne serais donc pas moralement gêné de faire, pour un étripage jubilatoire (hélas grandement fictif désormais, compte tenu du décès, généralement impuni sur cette terre, de la plupart des responsables), un lot de tous les psychopathes rouges mêlés à leurs alter ego plus ou moins libéraux d'Occident.

Pardonner à ces ordures, jamais.

Ni à leurs dignes héritiers, qui restent à combattre.

Pour en savoir plus sur le massacre de Katyń, voici deux documentaires :

(Avec Eric Zemmour)