11/06/2011
« Debtocracy »
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21:43 Écrit par Boreas dans Crise, Economie | Lien permanent | Tags : grèce, euro, dette, spéculation, union européenne, monnaie, unique, commune | Facebook | |
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08/06/2011
Au-dessus de la mêlée
Tout en haut, hier. Tout en bas, maintenant...
A Charles
Nous vivons dans un monde misérable. Misérable, car l'humain en lui-même est généralement misérable.
Regardez bien, le spectacle est éloquent.
Avez-vous vu l'état de décomposition avancée de DSK après son arrestation ? Avez-vous vu, ce lundi au tribunal, après dix jours dans sa résidence de luxe, le petit vieillard (il n'a que 62 ans) qu'est devenu cet homme puissant et respecté qui, nous dit-on faisait, au plan mondial, la pluie et le beau temps financiers, dont on nous annonçait la candidature et l'élection triomphale au poste de Président de la France ?
Personne ne vous parle jamais de ça, alors je vous en parle.
Les sodomiseurs de diptères vous parleront, eux, de la présomption d'innocence, s'indigneront qu'on puisse s'étonner de l'effondrement physique et psychologique d'une personne peut-être, selon eux, injustement accusée, et crieront à la honte et à l'inhumanité qu'il y aurait, selon eux, à souligner son abaissement en pareilles circonstances.
Comme par hasard, ces aveugles au royaume des aveugles, ainsi que leurs idiots utiles, larbins de la classe éco-politico-médiatique dominante, passeront sous silence le caractère pour le moins répandu de la présomption d'innocence (votée, on se demande pourquoi) bénéficiant aux auteurs "présumés" de comportements déviants et criminels, manifestement tout aussi répandus dans les sphères de pouvoir.
A tel point que la France entière se demande aujourd'hui si c'est Jack Lang ou Philippe Douste-Blazy (à moins que les deux n'aient à se sentir concernés) qui est visé par les déclarations de Luc Ferry.
Il est, en tout cas (sauf pour les sodomiseurs de diptères), évident que la richesse et le pouvoir font, en général, perdre le contact avec la réalité.
Qu'est une femme de chambre de grand hôtel, aux yeux des puissants de ce monde ? Strictement rien. Au mieux, un objet, éventuellement sexuel.
Qu'est une femme tout court, même mieux lotie socialement et économiquement ? Guère plus, puisque tout s'achète et que tout se commande : "servez-moi bien chaud".
Mais, pendant ce temps, malgré l'exercice de la richesse et du pouvoir, quelle adéquation entre ces privilèges et le monde intérieur des "puissants" ? Manifestement aucune, puisque, à la moindre anicroche, la baudruche se dégonfle, révélant le tout petit humain qui campe dans la cave.
DSK décomposé, puis vieilli de dix ans, après l'épisode du Sofitel, c'est l'incarnation de cette petitesse, de ce manque total de colonne vertébrale, de "développement humain". Plus rien qu'un tas de gélatine, de barbapapa explosée après avoir franchi le mur du çon.
Le guerrier, samouraï ou dans les tranchées de 14-18, a un autre vécu, un autre exercice de la richesse et du pouvoir. Il est peut-être démuni, peut-être affamé, peut-être sale, peut-être blessé, mort de toute façon aujourd'hui ; il n'en est pas moins supérieur, infiniment, aux membres de cette caste de zombies déconnectés du réel, demandeurs de tout et capables de rien.
Même sans parler de guerrier, le petit prolo qui marne tous les jours de sa vie à l'usine, la mère de famille qui rame entre son boulot et ses gosses, l'amoureux prêt à se sacrifier pour sa belle, le gamin qui se défend contre le racket à l'école, l'artisan au combat entre les taxes et les clients versatiles et radins, l'homme lambda qui cherche à savoir ce qu'il est et à sortir de l'esclavage de ses conditionnements, font preuve d'une valeur humaine, d'une vertu, d'un courage, dont seraient bien incapables nos élites invertébrées.
Qu'aucun journaliste du Système n'évoque cette question centrale est révélateur du degré de gangrène atteint par une société misérable. C'est, en soi, un scandale public presque aussi grand que l'incapacité des "puissants" à s'élever un tant soit peu au niveau de leurs responsabilités.
A contrario, l'incroyable omerta qui règne sur ce sujet est aussi le signe d'une immense fragilité. On ne parle pas de ce qui est une menace pour la pérennité de la classe dominante.
Vous vous rendez compte ? Nous sommes gouvernés par des ectoplasmes ! Il suffirait d'une petite brise pour les disperser, tant le néant fait leur substance !
Ceux, parmi les théoriciens du complot, qui prêtent aux oligarchies et à leurs plans un caractère "irrésistible", devraient méditer sur l'inanité du matérialisme.
Même si tout est relatif, pour les véritables êtres humains, l'esprit gouverne la matière, et non l'inverse. Et l'esprit n'est pas avec nos élites.
Mais, pour en prendre conscience, encore faut-il être un peu capable de dépasser les ratiocinations confortables, de nettoyer les écuries d'Augias, en un mot : de s'élever au-dessus de la mêlée.
13:29 Écrit par Boreas dans Crise, Identité, Philosophie, Politique, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : dsk, strauss-kahn, décomposition, vieillissement, présomption d'innocence, larbins, classe, puissants, criminels, idiots utiles, jack lang, philippe douste-blazy, luc ferry, guerrier, courage, vertu, vide, vacuité, néant, esprit, matière, système, oligarchies, omerta, élites | Facebook | |
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07/06/2011
"To see or not to see", telle est la question
"L’effondrement du Système est en cours, là, maintenant, sous nos yeux. Simplement, il s’effectue d’une façon subreptice, sans solliciter précisément notre attention d’une façon descriptive. Cet effondrement ne semble pas appelé à provoquer un vacarme extraordinaire, sinon d’une façon très indirecte, par enchaînements complexes. Au contraire, le vacarme est une donnée qui trouble la perception et l’exacte mesure des événements. Par exemple, nous sommes conduit à estimer que l’importance de la déstructuration “silencieuse” de la Fed est plus grande que celle de l’effondrement de Wall Street du 15 septembre 2008 ; ou bien, la chose vue différemment, que l’effondrement 9/15 est plus important parce qu’il entraîne en effets indirects la déstructuration de la Fed (toutes les mesures de “transparence” de la Fed viennent effectivement des remous soulevés par 9/15) que par les circonstances mêmes de l’effondrement, y compris les circonstances de la crise financière et de la crise économique malgré toutes les injustices, les souffrances, etc."
Philippe Grasset
23:53 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Géopolitique, Politique, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : philippe grasset, effondrement, système, subreptice, déstructuration, fed, trou noir | Facebook | |
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04/06/2011
Exister, c'est consommer
00:05 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Propagande, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : usa, etats-unis, consommateurs, consommer, consommation, croissance, énergie | Facebook | |
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03/06/2011
Les méfaits des vaccinations
23:39 Écrit par Boreas dans Crise, Nature, Propagande, Société | Lien permanent | Tags : vaccins, vaccinations, industrie, pharmacie, pharmaceutique, maladies, lobbies, lobby, santé, poisons | Facebook | |
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31/05/2011
Fukushima : 3000 milliards de doses létales dans la nature
William Blake, Les voleurs et les serpents (illustration pour L'enfer de Dante, 1824-1827)
« Sans attendre les dix ans que prendront le prochain rapport de l’Onu, l’AIPRI [Association Internationale pour la Protection contre les Rayons Ionisants] anticipe son second inventaire des produits de fission et d’activation des 6 réacteurs de Fukushima d’une puissance globale de 4696 Mwé. L’AIPRI, rappelant que quasiment tous les carburants "actifs" et "éteints" sont là en probable fusion, considère qu’au moins 8 tonnes de matière ont été fissionnées à Fukushima dans les 577 tonnes de combustible utilisées. Ceci signifie qu’au moins 13,8 kg de matière ont été fissionnés par tonne de carburant pour un burnup putatif moyen d’environ 13 GwJ/t. Dans cette hypothèse, les 6 cœurs "actifs" de Fukushima contiennent des produits de fission et d’activation engendrés par les explosions atomiques atmosphériques de fission. Fukushima, en outre, dispose de 3 fois plus de carburant que Tchernobyl et 4 fois plus de produits de fission. Si l’on tient maintenant compte de l’ensemble "coeurs" (577 tonnes) + le carburant "éteint" (2800 tonnes), Fukushima c’est 8 fois plus de produits de fission et d’activation que l’ensemble des essais atmosphériques de fission et 39 fois plus que Tchernobyl. En terme de doses létales potentielles par inhalation (multiplier les Bq de chaque élément par le facteur de dose et diviser le tout par 5), calculées avec les facteurs de doses OFFICIELS les plus bas fournis par l’AIEA, celles-ci correspondent au chiffre apocalyptique de plus de 3000 milliards de doses létales potentielles, dont un pourcentage indéfini est déjà équitablement réparti dans l’hémisphère nord. Sachant cela, et très inquiète pour la santé des élites dont aucun garde du corps ne sait hélas protéger les poumons, l’AIPRI lance un appel pour résoudre cette question stochastique. Combien de banquiers, savants, politiciens, propagandistes nucléaristes de tout poil subiront-ils un cancer radiologique induit avant dix ans ? »
Source : AIPRI
21:11 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Nature, Propagande | Lien permanent | Tags : fukushima, aipri, doses, contamination, nucléaire, radiations, tchernobyl, aiea, élites, santé, cancer | Facebook | |
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30/05/2011
La révolution des Bisounours
Depuis quelques jours, nous sommes censés être sagement entrés dans l'ère néo-post-soixante-huitarde.
"Néo-post" ? Bah oui, faut dire qu'un héritage pareil, ça ne s'oublie pas, surtout quand il reste tant d'affectueux papys et mamies pour nous en vanter les mérites.
Dans le prolongement des révoltes arabes et du mouvement des "Indignados" espagnols, c'est la "French Revolution" qu'on nous vante désormais, aussi française que son nom l'indique, aussi méditée et stratégique qu'une "black op' " de la CIA, aussi réfléchie qu'un moment de "séduction" de DSK, aussi pensée que le programme électoral de Ségolène.
"www.reelledemocratie.fr se veux être [sic] le porte parole du mouvement national naissant auprès des médias. Il centralise les communiqués des cellules régionales au moyen de réseaux humains connectés ou non à l’internet. En aucun cas www.reelledemocratie.fr ne prend de position politique. L’équipe de www.reelledemocratie.fr est autonome, ne dépend d’aucun parti politique et entend garder cet outil à la disposition du peuple", nous dit-on.
Soit. Sauf que les groupuscules gauchistes se ruent sur les braves indignés pour les récupérer dans leur giron et que le même site www.reelledemocratie.fr a publié hier un communiqué pour préciser que contrairement aux rumeurs, il se démarquait du Front de Gauche, avant que ce communiqué ne soit supprimé. La belle indépendance que voilà.
Même si d'autres groupuscules gauchistes sont manifestement déconcertés par le côté inhabituellement désorganisé du mouvement. Par sa dérangeante spontanéité.
Spontanéité du mouvement, je veux bien. Que l'indignation populaire contre l' "oligarchie politique" et les "ultra riches qui parasitent notre société" soit archi répandue, cela ne fait même pas débat, c'est une évidence. De même, que pas mal de gens soient disposés à manifester contre les objets de leur indignation.
Mais examinons un peu leurs autres motivations.
Que veulent nos "indignés" ? "Une nouvelle répartition des richesses". "L’organisation de rassemblements et d’occupations pacifiques des places publiques". "Décider ensemble des revendications et des moyens d’action (culturels, artistiques, politiques et citoyens)".
Une révolution, ça ?
Pas du tout.
Ou dans leurs rêves (c'est d'ailleurs un de leurs slogans : "Si vous ne nous laissez pas rêver, nous ne vous laisserons pas dormir").
Ces braves gens s'imaginent (et ceux qui tentent de les récupérer feignent d'imaginer avec eux) qu'il leur suffira d'être gentils (ce qu'ils sont déjà, n'en doutons pas) pour obtenir, pacifiquement et à la suite de débats qui rappellent les délires participatifs du programme de Ségolène en 2007, eux-même issus de la mythologie soixante-huitarde des "AG", que les oligarchies subjuguées par tant de bonne volonté et d'inoffensive moralité apolitique, leur abandonnent, après s'être vus "rappeler (...) que le seul souverain, c’est le peuple", les rênes du pouvoir !
Evidemment, quand on a vu à la télé que Ben Ali et Moubarak sont tombés, que Khadafi est dans la panade, qu'on gobe le bobard médiatique suivant lequel ceux qui ont manifesté pour leur départ l'ont fait "pour la démocratie", qu'on zappe le fait que nombre de manifestants ont risqué leur vie ou l'ont perdue, qu'on ne veut pas voir que les révoltes arabes n'ont débouché, pour le moment, sur aucun changement politique et social concret, on est mûr pour croire qu'il suffira de camper Place de la Bastille pour "changer le monde".
On pourra même ajouter à cette incroyable croyance aux miracles, face, pourtant, à un Système qui ne recule devant rien pour se maintenir, une foi naïve dans le Vivre-ensemble et la Diversité, prônant "une approche internationaliste à l’opposé du repli sur soi et de la haine de l’autre". Foi, qui prouve que les leaders de ce mouvement de nigauds ne sont pas les victimes qu'ils prétendent incarner.
Ce ne sont pas quelques prémisses (critiques) économiques et sociales globalement justes, qui peuvent fonder une révolution.
Sans quoi, celle-ci aurait déjà eu lieu depuis longtemps.
Pour renverser le Système, une révolution ne peut être apolitique (et cela, les gauchistes, même perdus dans leurs illusions dont ils n'ont toujours pas pigé qu'elles émanent du Système, l'ont bien compris, abstraitement). Une révolution, c'est le passage d'un système à un autre et on ne peut imposer un tel changement sans en avoir imaginé la forme concrète et avoir mis au point une stratégie, éminemment politique, pour le mettre en oeuvre.
Pour renverser le Système, une révolution ne peut être pacifique. La guerre des classes qu'évoquait Warren Buffett en 2006, n'est pas un concours de patience entre campeurs et riverains, ni une opposition de style entre manifestants et politiciens. C'est une lutte à mort et ce ne sont pas les esclaves indiens ou chinois de multinationales apatrides, ni les chômeurs européens victimes des délocalisations, qui me contrediront.
Pour renverser le Système, une révolution ne peut avoir pour objectif le partage du gâteau ("une nouvelle répartition des richesses"). La révolution, c'est la conquête. La prise des forteresses aux mains des oligarchies, l'élimination de celles-ci et l'appropriation totale du butin. Sinon, c'est la réforme, où l'on se contente de mieux profiter du Système en trouvant le moyen de mieux y prendre part. La révolution, elle, est anti-Système.
Pour renverser le Système, une révolution ne peut faire l'impasse sur la question de l'identité ni, a fortiori, verser dans l'internationalisme et l'antiracisme, qui sont deux des leitmotiv pourtant les plus éculés du Système. Seuls des inconscients, protégés des "bienfaits" de la Diversité par leur lieu de résidence privilégié ou par un autisme indécrottable, peuvent croire que l'immigration, suscitée et développée par le Système, n'est pas son instrument.
Bref, comme je le disais narquoisement au départ, depuis quelques jours, nous sommes censés être sagement entrés dans l'ère néo-post-soixante-huitarde.
En réalité, nous voyons l'émergence confuse d'une prise de conscience embryonnaire, par une partie du peuple français et notamment, de sa jeunesse, de ce que le Système est une impitoyable machine à broyer les peuples.
Aucune riposte plus appropriée que le camping sauvage sur les places publiques, assorti d'un brain storming que ne désavouerait pas l'équipe marketing d'une entreprise américaine de photocopieurs, et de la multidiffusion tous azimuts d'un package de slogans, n'est montée au cerveau de ces têtes creuses, ahuries par des décennies de communication médiatico-politique docilement avalée, avec des chips, devant le petit écran.
Les soixante-huitards et leurs descendants n'ont toujours pas compris qu'ils ne pourront s'offrir un nouveau mai 68. A la brutalité et au cynisme prédateurs, ils n'ont à opposer que la communication, parce qu'ils ont été formatés pour ne penser qu'en termes de communication.
Cette pseudo-révolte pseudo-révolutionnaire n'est donc qu'une étape sur le chemin d'une prise de conscience plus complète et surtout, de l'action.
La radicalisation ne viendra qu'avec la souffrance. La vraie.
Il faut croire que les "indignés" ne souffrent pas encore assez.
Il est vrai, aussi, que le Système tient encore.
06:41 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Identité, Politique, Propagande, Psychologie, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : indignés, french revolution, indignados, démocratie réelle, gauchistes, front de gauche, spontanéité, oligarchies, système, révolution, révoltes, mai 68 | Facebook | |
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26/05/2011
Hommage à Pat
De la sous-culture américaine, on ne retiendra sans doute plus grand-chose dans quelques temps, quand les modes auront passé et que l'Occident ne sera plus qu'un souvenir en plein effacement.
Moi, en tout cas, je me souviendrai toujours du potentiel érotique de Pat Benatar, au début des années 1980.
C'est comme ça. L'adolescence sera toujours plus marquée de potentiel érotique que de lucidité intellectuelle. C'est le temps des expériences, plus que de la réflexion ; des attirances et des répulsions instinctives, davantage que de la prise de recul. Et c'est très bien comme ça.
Quoi qu'il en soit, ce qui s'imprime alors reste gravé.
Pour moi, le début des années 1980, c'est en grande partie des images de cette belle fille saine, dénuée des détestables inhibitions arborées par la plupart des anglo-saxonnes (née Andrzejewski, "d'une famille d'origine polonaise par son père et irlandaise par sa mère", elle n'a rien d'une WASP), parfois maquillée comme une voiture volée, nippée de fringues ultra-sexy, faussement vulgaire et vraiment en colère, avec sa voix rauque et puissante de tigresse déchaînée ; de celle qui a ensuite été surnommée "la reine du rock", à juste raison je crois.
De la tigresse, elle a même le visage félin. Merde, quel phénomène.
No you don't (1982)
You better run (1980)
Promises in the dark (1981)
Fire and ice (1981)
I want out (1982)
(de 5' 00 à la fin)
Helter Skelter (1981)
(comme quoi, on peut améliorer l'interprétation d'une chanson de McCartney)
01:14 Écrit par Boreas dans Musique | Lien permanent | Tags : pat benatar, années 1980, rock, érotisme | Facebook | |
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23/05/2011
Emerveillement
Musique : Adagio for strings, de Samuel Barber (Philadelphia Orchestra, direction : Eugene Ormandy).
Photos : Tony Hofmann.
01:51 Écrit par Boreas dans Musique, Nature | Lien permanent | Tags : adagio for strings, samuel barber, tony hofmann, eugene ormandy, philadelphia orchestra | Facebook | |
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21/05/2011
Energie et puissance
"La marche au supplice", 4ème mouvement de la Symphonie Fantastique de Berlioz, et "Songe d'une nuit de sabbat", 5ème mouvement.
Par le Detroit Symphonic Orchestra (les petits malins qui y verraient une ironie ne seront ni diabolisés, ni stigmatisés), dirigé par Paul Paray.
01:07 Écrit par Boreas dans Musique | Lien permanent | Tags : berlioz, symphonie fantastique, paul paray, detroit symphonic orchestra, marche au supplice, énergie, puissance | Facebook | |
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