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26/05/2011

Hommage à Pat

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De la sous-culture américaine, on ne retiendra sans doute plus grand-chose dans quelques temps, quand les modes auront passé et que l'Occident ne sera plus qu'un souvenir en plein effacement.

Moi, en tout cas, je me souviendrai toujours du potentiel érotique de Pat Benatar, au début des années 1980.

C'est comme ça. L'adolescence sera toujours plus marquée de potentiel érotique que de lucidité intellectuelle. C'est le temps des expériences, plus que de la réflexion ; des attirances et des répulsions instinctives, davantage que de la prise de recul. Et c'est très bien comme ça.

Quoi qu'il en soit, ce qui s'imprime alors reste gravé.

Pour moi, le début des années 1980, c'est en grande partie des images de cette belle fille saine, dénuée des détestables inhibitions arborées par la plupart des anglo-saxonnes (née Andrzejewski, "d'une famille d'origine polonaise par son père et irlandaise par sa mère", elle n'a rien d'une WASP), parfois maquillée comme une voiture volée, nippée de fringues ultra-sexy, faussement vulgaire et vraiment en colère, avec sa voix rauque et puissante de tigresse déchaînée ; de celle qui a ensuite été surnommée "la reine du rock", à juste raison je crois.

De la tigresse, elle a même le visage félin. Merde, quel phénomène.

 

 

No you don't (1982)


You better run (1980)


Promises in the dark (1981)


Fire and ice (1981)


I want out (1982)

(de 5' 00 à la fin)

 

Helter Skelter (1981)

(comme quoi, on peut améliorer l'interprétation d'une chanson de McCartney)

01:14 Écrit par Boreas dans Musique | Lien permanent | Tags : pat benatar, années 1980, rock, érotisme |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |