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24/04/2013

Goldman Sachs et le libéralisme de tout poil pour le mariage gay

C'est Patrice de Plunkett, lecteur de Michéa, qui le dit ici et .

Ce que confirme également un article du Monde, d'il y a un an.

Et on trouvera ici la liste des 278 appelants à la tolérance (comme dans les maisons, mais en plus exclusif) auprès de la Cour Suprême des Etats-Unis. Parmi eux, une floppée de kolkhozes et de Gosbanks, bien sûr. Comme Goldman Sachs.

 

20/04/2013

Dictature brejnevienne

Je salue bien bas l'excellence de l'incontournable site F.Desouche, où j'ai découvert cette vidéo ex-tra-or-di-nai-re.

Voilà qui en dit long sur les méthodes d'un pouvoir que d'aucuns s'obstinent à vouloir trouver démocratique, contre un mouvement qui, après avoir rassuré sur l'existence même de notre peuple, fait désormais se lever, comme Beppe Grillo et son M5S en Italie, un immense espoir.

D'autant plus immense, que les manipulations gouvernementales démontrent à quel point les sphères de pouvoir en perçoivent la menace pour leur hégémonie.

 

URL de la vidéo trouvée ici (N.B. : entre-temps, la vidéo Fessebouc a été rendue inaccessible, on se demande pourquoi. Je l'ai retrouvée sur Youtube).

Beppe Grillo contre les médias

Reportage diffusé le 18 avril 2013 à 20 H 45 sur France 2.


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Beppe Grillo est décidément d'actualité (ce qui n'est pas l'objet de ce blog, mais pour une fois...). Décidément, la Manif pour tous, c'est partout, de plus en plus, c'est tant mieux et ça terrifie nos élites, qui s'empressent d'évoquer le fâââchisme :

« Le chef du mouvement contestataire 5 Etoiles (M5S), Beppe Grillo, a appelé aujourd'hui les Italiens à le rejoindre devant le parlement pour protester contre la réélection du président Giorgio Napolitano, qu'il a qualifiée de "coup d'Etat".

Giorgio Napolitano a été réélu pour un second mandat à la tête de l'Italie après avoir accepté de se porter candidat à la demande des responsables de plusieurs formations politiques pour sortir le scrutin de l'impasse.

Beppe Grillo, qui avait déjà attiré des dizaines de milliers de sympathisants à Rome avant les élections législatives des 24 et 25 février, a déclaré qu'il quittait immédiatement le nord de l'Italie où il se trouve, à 650 kilomètres de Rome, pour se rendre au parlement.

Une comparaison avec la "marche sur Rome"

"Il y a des moments décisifs dans l'histoire d'une nation", a déclaré l'ancien humoriste sur son blog dans un message intitulé "Appel aux Italiens". "Je serai ce soir devant le parlement. J'y resterai autant que nécessaire. Nous devons être des millions."

Il a qualifié de "coup d'Etat" la décision des représentants du centre-gauche, du centre-droit et des centristes d'appeler samedi Giorgio Napolitano à la rescousse pour sortir le pays de l'impasse. Ses propos ont été critiqués par le reste de la classe politique, certains comparant sa décision de manifester devant le parlement à la "marche sur Rome" de Benito Mussolini avant sa prise de pouvoir en 1922. »

Source

16/04/2013

L'ami américain

 

Voir aussi cet article, sur un site qu'on ne peut pas soupçonner de fâââchisme.

15/04/2013

La City, la finance en eaux troubles

08/04/2013

Italie : l'establishment international contre Beppe Grillo

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Malheur à celui par qui le scandale arrive, le proverbe ne se dément pas. L'un des valets médiatiques les plus zélés du « Système » nous apprend ce matin que Goldman Sachs, dans sa grande sagesse, trouve problématique la propension du peuple italien à refuser que ses élites corrompues continuent de faire des affaires en rond :

« "Plus que Chypre, c'est le facteur Grillo qui devient le vrai problème de l'Union européenne", a estimé récemment l'économiste de Goldman Sachs, Jim O'Neill ».

Bien sûr, si le Mouvement Cinq Etoiles de Beppe Grillo refuse toute alliance avec les partis dits traditionnels (comme si la pourriture était une tradition pour faire fonctionner le pays), c'est, selon Les Echos, une erreur politique et économique lourde d'une paralysie dont il faut lui imputer toute la responsabilité.

Responsabilité, c'est bien le mot. Celui qui ne vient aux lèvres des larbins de la partitocratie que lorsque le capital de ses maîtres est en jeu. Investir dans un pays, dans un peuple, c'est nettement moins rémunérateur que de lui sucer la moëlle en externalisant la production et en diminuant les salaires, en faisant supporter par les contribuables les dettes nées de l'achat de la paix sociale et de l'immigration-invasion, tout en privatisant les profits exonérés d'impôts dans des paradis fiscaux... A part ça, la responsabilité, c'est pour les autres.

Et notre Pravda économique de nous vanter la sagesse, aussi, de Matteo Renzi, nouvelle figure de proue alternative du parti de centre-gauche intitulé sans rire, à sa création en 2007, Parti Démocrate, dont le secrétaire général Pier Luigi Bersani vient de gagner piteusement les élections législatives avec, pour toute la coalition de centre-gauche pompeusement baptisée Italie Bien Commun, moins de 30 % des voix à la Chambre et moins de 32 % au Sénat, ce qui ne lui permet pas de former un gouvernement.

A en croire Les Echos, Renzi, tronche de premier de la classe qui serait devenu présentateur du vingt heures, bref tout pour plaire aux entubeurs de masses laborieuses, et qui vient de s'insurger vertueusement contre la prétention du M5S à appeler un chat un chat, incarnerait l'alternative politique souhaitable pour l'Italie, passant bien sûr par un gouvernement d'union nationale sous forme de compromis avec la coalition de centre-droite (c'est fou comme l'union nationale est une belle expression pour cocufier les nations, vous ne trouvez pas ?).

Renzi, dont le canard échotier oublie naturellement de nous rappeler qu'il est mouillé dans un scandale de favoritisme à l'emploi remontant à l'époque de sa présidence de région en Toscane, pour lequel il a été condamné en première instance, même si, faute de preuves suffisantes, sa condamnation a été ridiculement faible. Encore un modèle de probité politique digne de notre confiance, croyez-en la presse bien-pensante.

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06/04/2013

La planche à billets US est savonneuse

Evolution de l'indice boursier S&P 500 d'octobre 2008 à octobre 2012. On voit bien les rebonds qui, à, partir de mars 2009, surviennent au rythme des assouplissements quantitatifs de la Fed.

 

« La hausse record de la bourse U.S. doit tout à la Fed, et rien à la vigueur de l'économie. Recette d'un krach futur. »

Myret Zaki

Face à la corruption généralisée, l'avenir de la France

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Photo trouvée ici.

Bonus

04/04/2013

Vous avez dit : « radicalisation » ?

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Défunte offre politique degôôôche

 

« 51% des étrangers en France et des sympathisants de gauche pensent qu’il y a trop d’immigrés en France…

Selon un sondage CSA/CNCDH/Service d’information du Gouvernement réalisé du 6 au 12 décembre 2012 sur un échantillon national représentatif de 1029 personnes âgées de 18 ans et plus et rendu public le 21 mars 2013, 69% des individus interrogés trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France. C’est 10 points de plus qu’en 2011 et 22 points de plus qu’en 2009.

Plus les enquêtés sont âgés, plus ils pensent qu’il y a trop d’immigrés en France (54% des moins de 30 ans, 68% des 30-49 ans et 75% des 50 ans ou plus). Les catégories socioprofessionnelles les moins favorisées (71%) partagent plus fréquemment cet avis que les catégories socioprofessionnelles dites supérieures (58%). [Moins] les enquêtés sont diplômés, plus ils pensent qu’il y a trop d’immigrés aujourd’hui en France (43% des plus de Bac +2, 56% des Bac+2, 69% des niveaux Bac, 77% des BEPC/CAP/BEP et 80% des sans diplôme/Primaire). Les personnes de nationalité étrangère sont elles-mêmes 51% à partager cette opinion.

Enfin, si les sympathisants de droite (81%) sont nettement plus de cet avis que ceux de gauche (51%), la progression de ce sentiment est nettement plus forte parmi les seconds (+11 points en un an) que parmi les premiers (+3 points en un an).

Au total, 61% des personnes interrogées considèrent qu’aujourd’hui en France on ne se sent plus chez soi comme avant (+6 points sur un an), soit la proportion la plus élevée depuis 1990. »

Source

03/04/2013

Plein les Myret

Le dernier éditorial-vidéo de la sympathique Myret Zaki me laisse, une fois de plus, baba d'admiration devant sa clarté d'esprit et d'analyse, et un peu perplexe quant à sa définition de ce qu'est, au fond, une spéculation.

 

 

En effet, concernant Chypre, on pourrait aussi bien dire que si les grandes banques et hedge funds anglo-saxons sont certes largement à l'origine de la panade bancaire insulaire (comme ils le sont pour d'autres, d'ailleurs, ce n'est pas une source d'étonnement sur ce blog, pour ceux qui le suivent), les « gros » épargnants, aujourd'hui ponctionnés par leur gouvernement faute d'autre solution pour sauver la patrie d'Aphrodite de la banqueroute, n'en ont pas moins aussi une part de responsabilité pour avoir cru au modèle Potemkine auquel ils ont confié leurs dépôts, et à sa pérennité... Et si cette croyance n'est pas une spéculation, je ne sais pas ce qu'elle est.

Il est vrai qu'il est plus facile de rejeter sur l'UE ou l'Allemagne la paternité de ce qui sanctionne, en fait, les failles d'une économie de rente et d'un parasitisme fondés sur le dumping fiscal.

Somme toute, c'est l'irréalité économique qui est sanctionnée, et que la sanction ne frappe malheureusement que des lampistes, faute de pouvoir taper sur les ploutocrates anglo-saxons, n'y change rien. Quand on ne fait que brasser du vent, il ne reste rien dès qu'Éole ne souffle plus. On ne me fera pas croire que dans ce système à illusions, les seuls responsables sont ceux qui projettent le film. Les spectateurs ne sont pas complètement innocents, quand même, vous ne pensez pas ? En tout cas, ce qui est sûr, c'est que sans eux, ledit système n'existerait pas.

Sur le même sujet chypriote, Myret Zaki a tout récemment participé à une émission spéciale de la Télévision Suisse Romande. L'émission complète est ici, et en voilà un extrait :

 

 

En passant, je me suis aperçu que j'avais, depuis mon escapade pyrénéenne, du retard à rattraper, concernant les publications zakiesques, souvent de nature à faire dresser les cheveux sur la tête de ces bons vieux souverainistes français qui m'amusent tant, quand ils ne me fatiguent pas avec leur absence de recul.

Pêle-mêle, quelques vidéos supplémentaires sur Mario Draghi, sur l'Angleterre et sur la facture de l'austérité.

Parfois discutable, mais toujours passionnant. Vous aussi, prenez-en... plein les Myret !