Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/05/2013

La preuve

... de la dictature.

Maître Triomphe porte bien son nom.

 

 

Précisions : Radio Courtoisie, 30 mai 2013, Libre Journal de Daniel Hamiche. Invités : Vivien Hoch, Jérôme Triomphe.

 

 

Source

« Brève histoire des révoltes populaires »

 

« Les révoltes populaires ont une longue et riche histoire. Longtemps négligées par les historiens, elles sont aujourd'hui mieux connues. Des derniers feux du monde féodal à l'État-providence, de la montée en puissance de la machine administrative à la révolution industrielle, retour sur une histoire mouvementée.

La révolte populaire a pris à travers les âges tant de visages différents, couvert tant de fronts, qu'il est impossible d'en dresser un inventaire exhaustif. En parcourir les éphémérides, c'est reprendre la chronique agitée de l'histoire de France. Mille pages ne suffiraient pas à en accueillir la longue plainte. Pendant longtemps, les historiens, à l'exception notable de Michelet, ont préféré ne pas l'entendre. François Furet parlait même au début des années 60 du "silence populaire du temps long". En réalité, ce silence traduisait seulement l'état de la recherche historique. Elle a depuis comblé son retard. Rien que pour la période couvrant les années 1661-1789, l'historien Jean Nicolas a fait état, dans sa monumentale Rébellion française (Rébellion française, Mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Gallimard, Folio Histoire, novembre 2008, 1076 pages), de 8.500 "émotions" populaires, pour reprendre le terme d'Ancien Régime, démentant le "tout était calme en tous lieux..." de Louis XIV dans ses Mémoires pour l'instruction du Dauphin.

Lire la suite

29/05/2013

Le mariage gay est grotesque

Laurent Gerra, ce matin à 8 H 45 sur RTL.

Soyez indulgents pour la fin, qui se moque aussi de certains anti-mariage gay. Il faut bien donner quelques gages à l'officialité pour pouvoir continuer à travailler dans notre dictature politiquement correcte. Par ailleurs, Christine Boutin, Frigide Barjot et quelques cathos caricaturaux ne sont pas franchement ma tasse de thé non plus - alors, pour Gerra qui est un bouffeur de curés dans la vieille tradition anar de droite, faut pas s'étonner... Epingler les ridicules, c'est son gagne-pain.

Dangereux terroristes d'extrême-drouâte

Un grand merci à @Popeye pour le lien.

28/05/2013

Synthèse

Et, pendant ce temps :

« Le Bureau national (BN, direction) du PS, réuni ce mardi, demande la dissolution des groupes "de l'extrême droite identitaire", après notamment les troubles survenus dimanche soir à l'issue de la manifestation des opposants au mariage pour les couples homosexuels, et dénonce "la responsabilité complice de la droite dans l'escalade des violences".

Cette manifestation "a une fois de plus révélé la violence de plusieurs groupes de l'extrême droite identitaire, dans les slogans comme dans les actions", souligne le BN dans un communiqué.

"Depuis plusieurs mois, ces groupes ont utilisé le débat sur l'égalité des droits, délibérément radicalisé par la droite, comme une opportunité pour diffuser des appels à la haine et à la violence (...) Ils ont visé les partis politiques, les journalistes, les forces de l'ordre. L'attaque du siège du Parti socialiste, dimanche dernier, et la perturbation de la célébration du 70e anniversaire de la création du Conseil national de la Résistance sont les dernières illustrations des actions inacceptables que mènent ces groupes", poursuit le texte.

"Ces actions, par leur radicalité et leur violence, sont d'une gravité inexcusable (...) Ces groupes extrémistes tombent sous le coup de la loi. Le Parti socialiste en demande la dissolution", souligne le BN. (...) »

Source

Le ridicule ne tue plus.

27/05/2013

Le pouvoir perd les pédales

Si vous y voyez un jeu de mots, abstenez-vous. :-)

Précisions ici, et surtout sur Le Salon Beige.

(29 mai 2013) J'ajoute ça, trouvé sur F.Desouche que d'habitude je ne reprends pas à cause de son audience infiniment supérieure, parce que cette fois, il est impossible de résister à la tentation :

Une journée dans le ventre de la bête

 

Voilà, rue de Solférino au siège du PS, le point culminant, à mon sens, d'une journée militante de vingt heures que votre serviteur a eu le bonheur de vivre à Paris hier.

Ce qu'on voit sur cette vidéo, dont je sais qui l'a prise puisque c'est l'une des personnes avec lesquelles j'ai eu le privilège d'arpenter les rues roses et bleues de la capitale, je l'ai vu en direct, dans le réel (on me voit d'ailleurs fugitivement sur un trottoir), j'ai crié « Hol-lande dé-mission », j'ai ri, hurlé bravo et applaudi avec d'autres, Identitaires comme passants, et la joie que ça m'a causé n'est pas transmissible. Elle me restera comme celle d'un grand moment, j'en suis fier comme un gamin d'une victoire dans un jeu de piste, d'une fierté toute simple de qui est simplement solidaire d'une cause juste et le montre, sans forfanterie car ce sont les jeunes Identitaires qui ont agi et pas moi, simplement d'avoir été là et d'avoir eu la chance de voir et d'acclamer.

Une photo « personnelle » inédite (cadeau, en réalité, d'un camarade apitoyé par le décès malicieux de la pile de mon appareil et la primitivité de mon portable) :

(En haut à gauche de la banderole, vous pouvez voir le parapluie rose dont je parle plus bas)

 

Le sublime de cette journée, en réalité, a été partout.

Lire la suite

21/05/2013

In memoriam Dominique Venner

 

Vous aurez peut-être noté, en plus du lieu choisi (Notre-Dame de Paris, sur l'emplacement du Pilier des Nautes dédié à Jupiter), que nous sommes le jour de Constantin, saint selon les catholiques... et surtout, premier empereur romain à s'être converti au christianisme. Bref, à avoir favorisé et propagé une religion dont les diverses laïcisations ont tant affaibli l'Europe.

Or, c'est contre la dilution des Européens dans le rêve eschatologique, aujourd'hui incarné par le libéralisme libertaire, par le mythe de la fin de l'Histoire dans le Village Global du vivre-ensemble consumériste et indifférencié, paradis utopique des fanatiques du progrès, de la raison et de la croissance infinie, que s'est élevé Venner en se tuant aujourd'hui, comme en existant hier.

« C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien. »

Le suicide de Dominique Venner recèle, à mon avis, un message de renversement.

Par ses renvois conjoints à des références prémodernes et à d'anciens basculements en défaveur du Monde Antique, il est révolutionnaire.

Il nous appelle, non pas à nous suicider mais, bien au contraire, à « passer de l'autre côté », à faire mourir ce monde (ou à constater, dans le réel, sa mort) et à faire renaître l'autre.

Le nôtre, par tradition antique et filiation.

Il a donné un exemple d'une autre époque, délivré un message d'éternel retour. « Le temps revient », selon la devise de Laurent le Magnifique. Et il nous a appelés au combat, dans le réel.

« Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes. »

Dominique Venner, 16 avril 1935 - 21 mai 2013

Ahoi !

Un bébé en kit, ça coûte combien ?

Pour lire l'article associé, cliquez ici. Merci à @Jean-Pierre de m'avoir fait découvrir l'ensemble.

20/05/2013

La Manif Partout !