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27/12/2012

Le retour des cosaques

 

« (...) Près de 600.000 russes se déclarent cosaques et l’Etat russe envisage la création d’un corps de cosaques de 400.000 hommes dans les prochains mois, qui se verra confier les mêmes fonctions que leurs ancêtres occupaient sous la période de l'armée impériale russe, notamment celui de gouverner leur propre village. (...) »

Alexandre Latsa

19:31 Écrit par Boreas dans Crise, Histoire, Identité, Politique, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : russie, cosaques, retour |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |

23/12/2012

Ancien humour égyptien

Merci à Marie-France.

17/12/2012

Coup double

Chances pour la France.jpg

 

« (...) Longtemps professeur de philosophie politique à l’université de Genève, Éric Werner s’est fait connaître du grand public par un essai retentissant, L’Avant-guerre civile, publié en 1998. Il faisait entendre une voix d’une lucidité inhabituelle. Il développait la thèse d’une stratégie délibérée par laquelle la nouvelle classe dirigeante européenne, structurée autour du triptyque : libéralisme, américanisation, mondialisme, a établi son pouvoir en favorisant la dislocation des anciens cadres sociaux et en suscitant des antagonismes internes à la limite de la guerre civile. Antagonismes d’âge de sexe, de statut social, de culture, de religion, d’ethnie… Parmi ces antagonismes, l’immigration de masse extra-européenne jouait un rôle décisif.

Éric Werner posait la question : pourquoi cette immigration de masse a-t-elle été voulue et encouragée par les gouvernements et classes dirigeantes européennes alors que ses conséquences nuisibles sont évidentes ? Réponse : s’ils favorisent cette immigration c’est qu’elle leur profite. En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement.

"En laissant les délinquants agir à sa place, le pouvoir fait d’une pierre deux coups. L’ordre se défait, mais le désarroi même qui en résulte débouche paradoxalement dans une relégitimisation du pouvoir, car le pouvoir apparaît comme l’ultime rempart contre le désordre triomphant". Le pouvoir tire ainsi argument de l’insécurité pour que les citoyens se résignent à l’abandon de leurs droits, comme la légitime défense. (...) »

Dominique Venner

15/12/2012

Merci François !

10/12/2012

« Arrogance surréaliste »

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Bienveillance élitaire manifeste

 

« (...) En 1938, Orwell écrivait qu’il était difficile d’échapper à l’idée que "les hommes ne sont moraux que lorsqu’ils sont sans pouvoir". Ce jugement n’est pas aussi pessimiste qu’il y parait. Il prend simplement acte du fait que le pouvoir (et cela inclut évidemment celui que confère la richesse ou la célébrité) tend naturellement à enfermer ceux qui le détiennent dans un univers séparé de la réalité commune et des limites qui la définissent. C’est pourquoi l’habitude de vivre au dessus (et sur le dos) de ses semblables finit presque toujours par altérer le sens des autres et celui des réalités les plus élémentaires. De là, cette arrogance surréaliste et ce terrible manque de bon sens qui caractérisent généralement les élites modernes – c’est-à-dire celles qui ne possèdent même plus cette culture morale partagée ("noblesse oblige") qui permettaient, de temps à autre, aux anciennes aristocraties de se comporter de façon honorable. C’est un point que l’Evangile avait déjà su mettre en évidence lorsqu’il enseignait qu’il "est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer au royaume des Cieux". Si l’on préfère une formulation plus laïque de cet axiome populiste (ou anarchiste) on se souviendra également de la magnifique formule de Camus (dans la postérité du soleil) : "Ici vit un homme libre, personne ne le sert". (...) »

Jean-Claude Michéa (merci à @alain21 pour le tuyau)

09/11/2012

Nous sommes tous des identitaires

 

Le texte du discours est ici.

08/11/2012

Sans commentaire

Manifestation à Paris, 13 mai 2006 (merci à @agaric)

21/10/2012

Soutien aux Identitaires

Thermopyles.jpg

 

Depuis quelque temps, je suis en panne d'inspiration.

Un brin de recul repris dans les montagnes, doublé d'un vieux dégoût des paroles inutiles et d'un ras-le-bol de l'inaction forcée dans un système totalitaire soft qui nous tient par les couilles avec la peur, pour les dissidents, de se retrouver clochards après des poursuites pénales iniques qui leur feraient perdre leur boulot, leur toit, voire leur famille.

Alors que les « divers » peuvent quasiment tout se permettre, ne risquant même pas de perdre leurs allocs quels que soient leurs crimes, nous sommes, nous, pieds et poings liés dans notre honnêteté native, obligés d'assister en fulminant, en bouillonnant de rage contenue, à la grande braderie, au massacre quotidien de notre peuple, de notre pays.

La haine, oui la haine, ne peut que monter contre les ordures, le plus souvent des compatriotes, qui sont les auteurs et les responsables de cette situation ; une haine qui ne sert à rien mais qui permet de tenir, jusqu'à la délivrance tant espérée, en rêvant stérilement de régler leur compte à ces traîtres, de les éliminer comme ils veulent nous éliminer, car ce sont nos ennemis mortels et ils ne méritent rien de moins.

Enfin... Les patriotes sont de braves gens, des gens de coeur. Ils ne sont pas cruels et jamais, j'en suis sûr, même quand nous parviendrons à renverser ces oligarchies stupides et autistes (qui se seront probablement écroulées d'elles-mêmes), il n'y aura d'épuration massive. Quelques pendus pour l'exemple suffiront à purger la vindicte populaire.

Mais pour en revenir à ce blog, que dire que je n'ai pas déjà dit, qui n'ait pas été dit ailleurs ? Ecrire, parler, c'est bien joli, mais même si ça peut aider à ouvrir quelques yeux et déclencher quelques remises en question, ça ne satisfait pas une envie d'action, une envie de concret cadenassée par la dictature.

A quoi bon parler si le « Système » reste désespérément le même ?

C'est dans ces sombres ruminations de taulard frustré (les mêmes, à peu près, que celles de bien des camarades connus et inconnus) que j'ai eu vent, avec un frisson d'enthousiasme et d'admiration, de l'acte de résistance de l'année.

Au vu des réactions crypto-soviétiques déchaînées - par une simple demande de référendum ! - parmi les crapules subventionnées du totalitarisme ambiant, n'importe qui de sensé peut constater que Génération Identitaire a visé juste.

Aux yeux des commissaires du peuple de la LICRA, du MRAP, de SOS Racisme, de l'UEJF, du PS, de l'UMP, du Front de Gauche, d'EELV et autres représentants autoproclamés de la décence et de la démocratie, quand il s'agit de réclamer qu'on demande enfin son avis au peuple français sur l'immigration et l'islamisation de son pays, une dizaine de tapis de prière mouillés par la pluie deviennent des martyrs objets de viles déprédations ; l'entrée pacifique dans le chantier de construction d'une mosquée non encore consacrée tourne à l'effraction et au sacrilège ; la revendication identitaire est baptisée incitation à la haine raciale ; des peines exemplaires sont exigées contre les fanatiques auteurs de ces véritables crimes contre l'humanité ; auteurs, qui sont réputés vivre il y a treize siècles selon certains arriérés congénitaux alors que, n'est-ce pas, notre submersion ethnique ne peut être que le summum d'une volonté de coexistence pacifique marquant un progrès insurpassable...

De qui se moque-t-on ?!

Chaque jour, la violence exercée contre notre peuple se fait plus intense. Chaque jour, nos droits sont un peu plus réduits, un peu plus rognés par une technocratie brutale et aveugle qui va jusqu'à nier notre existence, sans parler de notre identité. Chaque jour, les kapos délinquants (immigrés, pour l'essentiel) de cette technocratie tuent, violent, violentent, volent, squattent et dégradent bâtiments publics et privés, insultent, diffament et que se passe-t-il ? Rien, ou si peu. Ce doivent être les inconvénients normaux d'une intégration à laquelle plus personne, en réalité, ne croit... En réalité, nos stupides et autistes dirigeants cautionnent et entretiennent un communautarisme croissant, dans le but manifeste (mais illusoire) de substituer à un peuple qui pense mal, des immigrés que les connivences de circonstance ne rendront pas plus malléables.

Tout cela, pour conserver leurs gamelles et leur position dominante.

Deux poids, deux mesures.

Les Identitaires ont publiquement démasqué, de manière simple et efficace, un des aspects principaux de la dictature que nous subissons, et dont les bien-pensants, apparatchiks du régime, voudraient faire croire qu'il s'agit d'une démocratie.

C'est pour cela, et uniquement pour cela, que les salopards associatifs subventionnés, les médias du capital et les politiciens véreux hurlent à la curée soi-disant légaliste contre la dissidence soi-disant d'extrême-drouâte. Pas de liberté pour les ennemis de la liberté, air connu de tous les totalitarismes.

Il faut donc poursuivre dans cette voie et continuer de démasquer, pour un peuple massivement convaincu du caractère excessif de l'immigration, la forfaiture de ses dirigeants. L'écho international de cette première action (Washington Post, El Mundo...) est par ailleurs encourageant, même s'il est bien sûr conformiste.

Les Identitaires appellent à la résistance. C'est bien le mot.

10/09/2012

Fuite en avant financière : le tournant

Ça y est, c'est parti. Les bruits qui couraient étaient fondés.

L'homme-clef de l'hyperclasse financière anglo-saxonne en Europe continentale, Mario Draghi, ancien vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs et actuel président de la Banque Centrale Européenne, a annoncé que la BCE allait lâcher les chevaux.


 

(Quelles andouilles ces journalistes, surtout sur BFM...)

 

Je n'ai jamais fait mystère de ma conviction, d'ailleurs peu originale, que la haute finance allait poursuivre sa fuite en avant dans l'endettement et la création monétaire, pour éviter l'effondrement ou au moins, le retarder le plus possible. Les faits le confirment de plus en plus.

A l'instar de la Fed sur laquelle elle s'aligne autant que possible, malgré ses différences statutaire et opérationnelle fondamentales, la BCE va désormais (pouvoir) acheter sur le marché secondaire (c'est-à-dire, à des conditions moins avantageuses que la Fed qui, elle, peut opérer directement), DE MANIERE ILLIMITEE, des titres de dette publique émis par les pays de la zone euro. Dette des pays en difficulté, bien sûr.

Vous me direz peut-être, que l'intervention de la BCE, officiellement destinée à rassurer les marchés et à décourager la spéculation en garantissant les emprunts publics pour en faire baisser les taux, sera conditionnée à un recours préalable des pays concernés au FESF, puis au MES. Elle devrait donc rester limitée.

Vous me direz peut-être, que cette intervention ne reviendra pas à faire fonctionner, de manière déguisée, la planche à billets, puisque les achats de titres devront être stérilisés (compensés par des liquidités prélevées... par la vente d'autres dettes, ou sur le FESF ou le MES, et donc sur les contribuables). Elle ne devrait donc pas provoquer, par inflation, une dévaluation de l'euro.

Vous me direz peut-être, que la solidarité européenne, c'est bien, c'est beau, c'est nécessaire et c'est la logique de ton blog, mon gars, puisque tu nous bassines avec ton européanisme confédéral, avec ta troisième voie économique anti-libérale et solidariste, ta monnaie commune comme contre-projet à la monnaie unique, etc. ; alors, qu'est-ce que tu viens critiquer la BCE qui incarne tout ça à travers cette mesure ?

Eh bien, à mon avis, si vous me disiez tout ça, vous auriez raison, mais juste un peu. Juste en surface, et pas longtemps.

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07/09/2012

Quand Frédéric Lordon expliquait la mondialisation (2006)

 

Extrait du documentaire de Gilles Perret, « Ma mondialisation », cet entretien avec l'excellent Lordon n'a pas pris une ride depuis six ans.