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10/10/2014

Le must

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Le patriarche du FSB (pardon, de l'église orthodoxe de Moscou) et la mobylette qu'on lui a offerte pour le remercier de son esprit charitable

 

Si vous ne deviez lire qu'un seul texte sur la crise ukrainienne cette semaine, lisez celui-ci.

C'est chez l'ami @Symmaque et c'est à ne pas manquer. Surtout si vous êtes un affreux cul béni. Ça vous changera du Salon Beige et de Patrice de Plunkett.

02/10/2014

Remplacement Bleu Marine

Communiqué de presse de Bertrand Dutheil de La Rochère, Conseiller République et laïcité de Marine Le Pen :

Dans l’islam sunnite, il n’existe pas de clergé. Chaque croyant peut s’ériger en autorité religieuse légitimée par les croyants qui lui reconnaissent cette qualité. Les autorités politiques des différents pays se déclarant musulmans investissent donc des autorités religieuses et enjoignent à leurs administrés de les reconnaître comme telles. Les musulmans des pays qui ne sont pas musulmans ont tendance soit à se constituer en communautés politico-religieuses, soit à se rattacher à une autorité d’un pays musulman. Aujourd’hui, en Europe occidentale, cette dernière option est d’autant plus la règle que les musulmans d’immigration récente ont conservé de nombreux liens avec leurs pays d’origine.

Cette situation ne répond pas à la culture de la nation française. Pays gallican, elle a toujours institué une césure entre religion et politique. La France monarchique s’est opposée au Pape, parfois avec violence. La laïcité républicaine s’inscrit dans cette continuité. Depuis bientôt trente ans, pour permettre un islam de France, les différents gouvernements ont voulu créer une instance représentative du culte musulman. Implicitement, ils avaient en modèle l’organisation du judaïsme par Napoléon. À deux siècles d’intervalle, la situation des deux religions est bien différente sur le sol national comme dans le monde. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) n’a que l’audience que chaque musulman en France veut bien lui accorder. En conséquence, s’il est nécessaire que ce Conseil et les autres autorités musulmanes condamnent le terrorisme pratiqué au nom de l’islam, chaque musulman doit aussi veiller à ne pas faciliter des amalgames en suivant des imams aux positions pour le moins ambiguës

Avec Marine Le Pen, le Rassemblement Bleu Marine condamne tous ceux qui veulent confondre l’islam, qui est une religion, avec l’islamisme, qui est un totalitarisme. Parallèlement, il dénonce toute complaisance et toute faiblesse envers ceux qui commettent des crimes en invoquant cette religion. En revanche, l’islam est une religion et non une race : critiquer l’islam, comme critiquer le christianisme, ne peut être considéré comme une forme de racisme. Enfin, chacun doit être libre de changer de religion ou de ne pas avoir de religion. Plaçant les croyances métaphysiques dans la sphère privée, la France unit dans l’espace public tous les Français au sein d’un même peuple sans autre critère que leur citoyenneté.

Front National (de mes couilles)

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09/09/2012

Le mythe de l’Espagne musulmane

Un article à ne pas louper, chez les camarades de Novopress, reprenant Polémia.

25/07/2012

Connerie catholique

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Je ne porte pas la moustache, mais le coeur y est...

 

Je viens de recevoir - les dieux seuls savent par quel biais mon adresse mail est venue à la connaissance des imbéciles auteurs de cet envoi - le message aberrant qui suit :

« S'il y a un fait majeur dans la France d'aujourd'hui, c'est bien le développement de l'islam.

Or, devant ce fait majeur, l'Eglise reste étrangement timorée, tout au moins dans sa partie la plus visible. Tout se passe comme s'il ne fallait surtout pas convertir les musulmans au christianisme.

Il existe bien, au sein de la conférence des évêques de France, un "Service des relations avec l'islam" (alors qu'on peut naturellement dialoguer avec les musulmans, mais certainement pas avec l'islam). Mais ce service ne fait rien pour l'évangélisation des musulmans.

Pire : les musulmans qui, malgré les nombreux obstacles, demandent le baptême sont trop souvent traités en parias dans notre Eglise.

Il est urgent de réagir !

Il faut absolument changer de fond en comble les principes du dialogue islamo-chrétien en France.

Alors, signez vite et faites signer la supplique que nous venons d'adresser au cardinal Vingt-Trois, et à ses confrères dans l'épiscopat.

C'est très simple: il vous suffit d'écrire votre courriel au bas de cette supplique, en cliquant ici.

Il faut absolument que nous soyons des milliers pour qu'enfin, l'Eglise de France prenne à bras-le-corps cette mission prioritaire : annoncer Jésus-Christ aux millions de musulmans présents sur le sol français !

Merci de votre aide, de votre soutien, et de votre prière.

L'équipe de Riposte catholique »

Passons sur le fait, déjà, de SUPPLIER un prélat immigrophile de faire plus et mieux. Passons aussi sur les nombreuses prises de positions hautement critiquables des catholiques d'aujourd'hui et souvent d'hier.

Je sais bien qu'il n'y a rien de plus crétin qu'un moderne chrétien (ce n'est même pas une insulte, les deux mots ont la même étymologie), que pour lui, peu importent l'origine et l'identité d'un humanoïde pourvu qu'il ait deux bras, deux jambes et une tête (et encore !), que le mot d'ordre de l'évangélisationAllez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit »), loin d'avoir été discrédité à ses yeux par des siècles de totalitarismes coloniaux jésuito-cautionnés, est encore pour lui le fantasme universaliste et unificateur suprême...

Quand même.

Etre aveugle au point de croire que l'important, en ces temps de submersion migratoire (pas seulement mahométane), en ces temps de Grand Remplacement (pas seulement musulman), c'est de convertir les allogènes ; être naïf au point de s'imaginer qu'une fois convertis ils deviendraient différents (nécessairement en bien, d'ailleurs, ce qui, revenant à dire qu'il n'y a que de bons chrétiens, est un postulat d'une présomption assez croquignolette), que de Mohamed Merah on aurait fait un petit chanteur à la croix de boix et de Fayçal Moktari un oblat de Marie-Immaculée ; être à tel point déconnecté de la réalité, surtout, que quand bien même nos immigrés seraient tous de braves agneaux, on ignore que par leur présence en grand nombre, profitant à la ploutocratie uniquement, ils mettent en danger le substrat ethnique des peuples européens et donc, l'existence même de ceux-ci... c'est vraiment, vraiment con.

Les bras m'en tombent dès qu'une ânerie pareille se présente à moi, mais à chaque fois c'est la même chose, j'ai immédiatement la vision d'une jubilatoire boîte à gifles, corrigeant en mode automatique et multi-baffeur les culs-bénis contrevenant aux lois naturelles élémentaires de la proximité et de la solidarité ethniques.

Même en présentant les choses autrement, ces ahuris contribuent à notre destruction collective exactement autant qu'un Martin Hirsch par exemple.

Le résultat est le même, c'est la promotion du métissage et la dissolution dans la violence « Multikulti » et les conflits multiethniques, comme au Brésil, où les différentes races, Messieurs les modernes chrétiens crétins, partagent pourtant à 90 % la même religion... la vôtre, bande d'incurables andouilles.

07/09/2011

Islamisation de la France : l’action des décideurs non musulmans

 

Ces jours-ci, les articles de qualité pleuvent sur mes sites préférés. Après Jean-Yves Le Gallou sur Polémia, voilà Thierry Mudry sur Realpolitik.tv.

Morceaux choisis :

« tous les immigrés ne sont pas musulmans, loin s’en faut. Une partie non négligeable d’entre eux provient de l’Extrême-Orient ou de l’Afrique sub-saharienne, chrétienne et animiste. D’autre part, l’immigration musulmane elle-même ne relève bien évidemment pas d’un projet pan-islamiste de conquête de l’Europe, mais bien plutôt de la volonté séculaire du patronat français de disposer sur place d’une main d’œuvre bon marché, et de la volonté des immigrés de trouver en France, pour eux-mêmes et leur famille, des conditions de vie meilleures que dans leur pays d’origine.

En outre, les citoyens ou les résidents français d’origine musulmane sont loin d’être tous pratiquants, voire croyants, et, dans l’immense majorité des cas, leur pratique religieuse, alignée sur les traditions familiales, se limite à consommer de la viande halal (ou, à tout le moins, à ne pas manger de porc) et à observer, plus ou moins rigoureusement, le jeûne du ramadan . Selon un sondage CSA réalisé pour l’hebdomadaire catholique La Vie du 17 avril au 30 août 2006, 88% des musulmans de France affirmaient faire le ramadan, 43% faire les cinq prières quotidiennes, 20% lire le Coran au moins une fois par semaine, 17% aller à la mosquée au moins une fois par semaine, et 4% être déjà allés à La Mecque. Il convient de préciser que ce sondage a été réalisé auprès de personnes se déclarant de confession musulmane, ce qui exclut les personnes d’origine musulmane qui s’affirment incroyantes ou qui adhèrent à un credo religieux non musulman, dont la proportion reste à déterminer ! »

« Au bout du compte, peut-on parler d’une influence religieuse grandissante de l’Islam en France ? Cela reste à prouver : la multiplication des mosquées est, en effet, moins le signe du dynamisme de l’Islam en France que celui de son atomisation, les pratiquants se répartissant en associations cultuelles distinctes, qu’il n’est pas abusif de qualifier pour certaines de « sectes », s’opposant vivement sur l’interprétation du corpus islamique.

En revanche, le poids politique de l’Islam se fait sentir en France, quoi qu’indirectement, avec le Conseil français du culte musulman, volontiers consulté par le pouvoir politique, au même titre toutefois que les représentants des autres confessions de France, chrétiennes et juive ».

« Cette visibilité sociale, ce poids accrus de l’Islam en France sont-ils imputables aux musulmans eux-mêmes ? Ne sont-ils pas plutôt le fait de l’État français, des collectivités publiques et des grandes entreprises, qui manifestent ainsi un parti-pris idéologique en faveur du multiculturalisme (ou de « la diversité », pour reprendre le jargon en vigueur) – un parti-pris favorable qui ne s’étend toutefois pas aux cultures et aux langues régionales – et la volonté de contrôler, ou d’encadrer, les nouvelles populations implantées en France?

Notons d’abord que le Conseil français du culte musulman créé en 2003 à l’instigation des autorités françaises, en particulier de Nicolas Sarkozy alors ministre de l’Intérieur chargé des cultes, n’apparaît guère représentatif de la population musulmane de France. Ses membres sont d’ailleurs élus par un collège électoral restreint composé de délégués des associations cultuelles largement soumises à l’influence des Etats étrangers (Algérie, Maroc et Turquie surtout) et des groupes proches des Frères musulmans ».

« Quant aux grandes entreprises, en accordant des salles de prière sur le lieu de travail, des aménagements des horaires de travail en fonction des fêtes religieuses et des repas halal à leurs employés, sans même que des exigences dans ce sens aient été formulées par leurs employés musulmans ou par une majorité de ceux-ci, elles entendent clairement développer une stratégie « identitaire » de gestion des ressources humaines dans le droit fil du multiculturalisme ambiant.

C’est là qu’il apparaît clairement que l’islamisation de la France, voire de l’Europe, s’accorde parfaitement avec leur américanisation, avec la transposition locale du modèle américain.

Il n’y a à cela rien d’étonnant quand on sait que, loin d’être nécessairement hostile aux États-Unis, l’Islam, dans certaines de ses expressions dont la Turquie de l’A.K.P., la fraction moderniste des Frères musulmans et les Etats du Golfe offrent l’exemple le plus éclairant, peut se révéler parfaitement américano-compatible, géopolitiquement et économiquement parlant, et même sur le plan civilisationnel, ainsi qu’en témoignent la reconnaissance et l’approbation par ces courants islamistes de l’hégémonie états-unienne, leur adhésion au néo-libéralisme mondialisé décrit comme profitable aux élites musulmanes, et leur promotion du consumérisme de masse à peine amendé par quelques interdits alimentaires et prescriptions vestimentaires ».

[Suit un rappel de la collusion de l'Etat et du secteur privé, dans les affaires du Quick halal et de l'abattage rituel.]

« On voit bien que, si islamisation de la France il y a, celle-ci, même si elle répond aux vœux d’une minorité des musulmans, est essentiellement le résultat de l’action des décideurs – des décideurs non musulmans ».

Pour lire l'article en entier, cliquez ici.

30/07/2011

« Écouter le peuple »...

« Est-il interdit de parler d'immigration en France ? »

C'est Dominique Jamet qui le demande. Extraits :

« Il n’est pas douteux que le carnage d’Oslo et les justifications qu’avance son auteur, mégalomane narcissique mais parfaitement conscient de ses actes et cohérent dans son délire, apportent une bouffée d’oxygène bienvenue au discours quelque peu fané des professionnels de l’antiracisme et des docteurs de l’angélisme.

L’occasion était trop tentante de ressortir du placard les amalgames les plus éculés et de confondre dans une même condamnation tous ceux qui, sur la base d’analyses, d’inquiétudes, d’intentions et de propositions bien différentes, ont tenu à un moment ou un autre des propos politiquement incorrects sur l’immigration et plus précisément sur la menace que l’Islam ferait peser sur notre culture et notre civilisation. C’est une chaîne longue et lâche dont les  premiers maillons s’appellent François Mitterrand ("le seuil de tolérance"), Valéry Giscard d’Estaing ("l’invasion"), Jacques Chirac ("le bruit et l’odeur"), Nicolas Sarkozy ("la racaille"), Alain Finkielkraut ("la France se métisse"). (...)

Tous populistes, tous extrêmistes, tous racistes ! C’est l’habituelle et insupportable reductio ad hitlerum, l’anathème qui dispense d’explication, l’arme absolue, dans le dialogue, de ceux qui refusent le dialogue, la forme contemporaine du "fasciste !" qui, des années cinquante aux années quatre-vingt, fut l’efficace joker par lequel les communistes mettaient victorieusement fin à tout débat.

Il existe actuellement une doxa politiquement correcte de l’immigration dont il est aussi dangereux de s’écarter que d’un chemin sécurisé à travers un champ de mines. (...)

Aucun immigré en particulier, et l’immigration en  général, si l’on en croit la doxa, ne posent aucun problème d’aucune sorte, ni d’ordre public, ni d’ordre social, ni d’ordre culturel, ni d’assimilation. Les seuls problèmes viennent de ceux que nous leur créons, à travers la discrimination, la chasse au faciès, la ghettoïsation, la répression des sans-papiers.

Il n’y a aucune différence d’aucune sorte, dans aucun domaine, entre un Français de souche, français depuis vingt générations et un Français naturalisé depuis cinq minutes, un Français binational, un Français francisé, même s’il ne le souhaite pas, parce qu’il est né et a grandi sur notre sol, et un Français heureux bénéficiaire d’un mariage blanc.

L’immigration est un enrichissement : elle ouvre notre culture sur les autres cultures, remplit les caisses de la Sécurité sociale, diversifie notre cuisine et crée notamment dans le secteur agricole (l’herbe) et dans le secteur industriel (héroïne, crack et cocaïne) des dizaines de milliers d’emplois.

Mais cessons d’enfiler les perles. La vérité est que la France est confrontée depuis la fin de la seconde guerre mondiale à une situation sans équivalent dans son histoire depuis qu’elle existe, c’est-à-dire depuis le dixième siècle et la fin des grandes invasions. Ce pays – le nôtre – à la démographie stagnante, comme tous ses voisins à la population vieillissante, est passé en soixante ans seulement de quarante à soixante-cinq millions d’habitants. Cette augmentation extraordinaire, signe et source de vitalité, s’explique pour l’essentiel (sans que quiconque puisse fournir un chiffre exact, puisque la loi nous interdit de savoir qui nous sommes) par un apport de sang nouveau. Autant qu’on puisse le mesurer, il semble qu’aujourd’hui un habitant de la France sur trois soit étranger, fils ou petit-fils d’étrangers. (...)

l’immigration qui a modifié et modifie chaque jour le visage de la France n’est pas une immigration de proximité, géographique et ethnique, donc aisément assimilable, mais une immigration largement africaine et asiatique, principalement musulmane, démographiquement jeune et féconde, socialement pauvre, culturellement différente. Quel rapport avec le racisme ou l’antiracisme a le fait de s’interroger, très légitimement, sur les conséquences que l’immigration peut avoir en termes de niveau de vie, d’évolution des mœurs et de la culture, de sécurité et sur les nouvelles bases de l’identité nationale ? Nous sommes à un tournant, et  un tournant difficile, d’une histoire dix fois séculaire. (...)

Face à cette réalité, la classe politique installée – les deux grands partis de gouvernement - reste majoritairement sur la ligne qui a sépare la France d’en haut de la France d’en bas, et qui a coupé les élites bien portantes des masses bien souffrantes. Elle sait mieux que le peuple ce qui est bon pour le peuple, et n’aime pas que celui-ci se mêle de ses affaires. A l’inverse, ceux qui, à gauche comme à droite, exploitent les colères et les frustrations du peuple et lui murmurent à l’oreille ce qu’il a envie d’entendre peuvent être dits populistes, entendez démagogues. Mais est-il si choquant d’écouter le peuple, et de tenir compte de ce qu’il vit et de ce qu’il veut ? Le populisme est aussi un visage de la démocratie. »

Source

03/04/2011

Même les manips habituelles ne marchent plus

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Hier à Paris, quatre groupuscules politico-médiatiques, dont trois (Saphirnews, Les indivisibles, Respect Mag) clairement identifiés comme subventionnés ou au moins vivement encouragés par les USA, ont péniblement réuni quelques centaines de braillards formatés pour protester contre le non-événement que constituera, mardi prochain, le pseudo-débat que tiendra l’UMP sur la laïcité (en fait, une énième tentative pour piquer quelques voix au FN en 2012).

Au-delà des slogans binaires de quelques ahuris pleurnichards (ooouuuiiin, célafotausislamophobes ; ooouuuiiin, célafotaumusulmans…), qu’est-ce que ça signifie ? Qu’est-ce que ça veut dire, en réalité ?

Rien.

Sauf que même les gens totalement instrumentalisés (musulmans tenant la France pour responsable de malheurs globalement imaginaires, Français "de souche" tenant "les" musulmans pour responsables de malheurs très réels…), même les dupes des propagandes intéressées émanant de sphères de pouvoir sans rapport idéologique avec les thèmes de ces slogans, ne sont quasiment plus mobilisables.

Sans quoi, compte tenu des proportions démographiques, il y aurait eu un million de musulmans aux environs de la place de la Bastille, et quatre millions de Français de souche pour leur faire face.

En réalité, plus grand monde ne croit aux faux-nez de la partitocratie.

Plus les médias matraquent la population sur les thèmes du racisme, de la laïcité, de l’Islam, du pseudo-débat sur l’identité, du vivre-ensemble, etc., et plus la population, quelle que soit son origine, voit bien que rien de tout cela n’est vrai, que ce n’est qu’une grosse baudruche de village Potemkine, destinée à fournir aux sphères de pouvoir une légitimité morale en toc, leur permettant de continuer tranquillement leur prédation et leurs déprédations.

Ce n’est que du cinéma, le roi est nu et il est de plus en plus facile de le voir, notamment grâce à Internet qui, par sa frange indépendante, oblige, littéralement, le quidam à se poser des questions (même si ce ne sont pas toujours les bonnes, au départ), chose que ne faisaient ni la télé, ni la radio, ni les journaux, médias tenus par la pub, aux ordres du système.

Alors, comment pourrait-il y avoir une guerre civile sur les thèmes que nous serinent les janissaires médiatiques du Grand Califat soviéto-libéral-consumériste auquel nous sommes priés d’adhérer, puisque ces thèmes ne mobilisent même plus ses clients ?

Ce qui monte dans notre pays, ce n’est pas l’opposition voulue entre binaires musulmans et binaires anti-musulmans, c’est le grotesque et le ridicule de ces sphères de pouvoir déconnectées du réel, agitant leurs manips éculées comme un pépé gâteux le hochet de son petit-fils ; c’est la vacuité, l’inutilité, le cynisme et la nuisance d’une classe politico-médiatique vendue à la finance et aux multinationales d’un côté, crispée sur ses prébendes et ses combines consanguines d’autre part, uniquement préoccupée de ses intérêts ; c’est la colère des gens de bonne volonté, de droite comme de gauche, contre cette dictature d’étrons bouffis et irresponsables, qui fait fi de la démocratie, qui ment comme elle respire, qui prétend leur imposer une immigration de masse pour entretenir le dumping salarial et promouvoir le consumérisme de clients indifférenciés, qui prétend utiliser ce flot d’allogènes inassimilables comme rempart intimidant contre la légitime révolte d’un peuple floué, méprisé et même nié.

Il n’y a, en France, ni islamophobie, ni « racisme », sauf celui venant de nos dirigeants et tourné contre leur propre peuple.

Il n’y a aucune raison, pour celui-ci, de nourrir la moindre haine vis-à-vis des allogènes vivant en France ; pour tous ceux, en tout cas, parmi les FDS, qui n’ont pas été victimes des exactions de la frange délinquante des immigrés.

Le pouvoir le sait très bien et joue de l’Islam et de l’immigration pour détourner une colère qui ne devrait légitimement être dirigée que contre lui, en tablant sur leur soutien en cas d’insurrection autochtone.

Mais même en cela, maintenant, il est autiste, il est aveugle. Il ne se renouvelle pas, il croit que cela marchera toujours.

Or, en ce temps de crise économique et d’immigration-invasion, de moins en moins de gens sont dupes ; de plus en plus de gens, dans un coin de leur tête, deviennent familiers avec une petite phrase qui sera fatale à ce régime :

« Ce qu’il nous faudrait, c’est une révolution ».

De ce genre de petites phrases qui finissent par s’incarner dans les faits.

02/01/2011

Alain Soral, nécessaire agitateur d'idées

Le site Ripoublik.com m'a aimablement autorisé à reproduire ici le long entretien qu'il vient de réaliser avec Alain Soral, polémiste talentueux et président de l'association Egalité et Réconciliation.

Je précise d'emblée, tant le sujet est sensible aux yeux de certains patriotes, n'avoir aucun lien avec E&R.

Si je partage une bonne partie de l'analyse qu'elle fait de la société et si, grosso modo, sa charte fondatrice rejoint mes préoccupations, je suis fondamentalement en désaccord avec sa vision assimilationniste du problème de l'immigration allogène, et guère en phase avec l'"antisionisme" par lequel elle entend lutter contre l'influence d'élites et d'officines bien connues, déjà dénoncées ici, parfois autoproclamées représentatives de la communauté juive mais plus souvent cachées derrière le masque des "droits de l'homme".

En effet, l'immigration-invasion que nous subissons et dont Soral dit, à juste titre, qu'elle n'a pas grand-chose à voir avec l'islamisme, est une conquête par capillarité, par submersion ethnique.

Rien, dans l'assimilation (par ailleurs globalement impossible et de toute façon non souhaitable) proposée par E&R, ne permettrait d'espérer la sauvegarde de l'intégrité ethno-culturelle de notre continent, ni donc la survie, ou plutôt la renaissance, de la civilisation européenne.

La réémigration de la grande majorité des allogènes est la seule solution à ce problème et c'est, en ce qui me concerne, un objectif non négociable, même dans le but louable d'éviter une guerre civile, laquelle n'est d'ailleurs aucunement une fatalité, contrairement à ce qu'en pensent les esprits binaires.

Soral lui-même explique particulièrement bien en quoi l'Islam est instrumentalisé par le système, ce dont on peut logiquement déduire que ce dernier n'hésiterait pas à s'en servir pour sa propre survie au cas où elle serait menacée, quitte à l'utiliser pour un conflit armé.

Quant à l' "antisionisme", utiliser ce terme, c'est déjà prendre parti dans le conflit israélo-palestinien, c'est déjà importer ce conflit en France. Or, qui y a intérêt, de part et d'autre, dans notre pays, sinon les Juifs sionistes justement, mais aussi les immigrés musulmans ou arabo-centrés ?

Ce conflit n'est pas le nôtre. Dénoncer l'influence néfaste d'une minorité de la communauté juive en France, c'est une chose. Justifier indirectement la présence et la légitimité des allogènes pro-palestiniens et se ranger de leur côté contre un Etat non-européen, sous prétexte de lutte contre cette influence, c'en est une autre.

Sur ces deux points, je ne peux pas tomber d'accord avec Soral.

De même, sur son avis relatif à F.Desouche. Autant les critiques d'Alain Soral sont justes concernant beaucoup de commentateurs sur le site, autant elles tombent à plat quand elles visent les administrateurs de celui-ci, qui n’ont pas du tout un discours favorable à une guerre civile, ni manifestement une logique d’incitation à la haine.

Certes, le problème pourrait être résolu par l’exigence d’une inscription filtrante au forum du site, mais il me semble que la stratégie de F.Desouche repose essentiellement sur l’influence et la réinformation basique, pour peser sur les médias classiques tout en aidant la fraction la plus intelligente des lecteurs à s’autonomiser, quitte à laisser les imbéciles stagner (ce qui rejoint, somme toute, la vision élitiste de Soral, faite, à mon avis, de pur bon sens).

La partie “influence” de cette stratégie serait évidemment mise à mal par un tel filtrage, qui aboutirait à dissuader une bonne partie du lectorat de rester fidèle au site (les frustrés qui ne pourraient s’exprimer se détourneraient de F.Desouche pour aller sur Bivouac-ID ou autre instrument de récupération atlantiste). Un site de masse n’a en effet d’écho que par la quantité de sa fréquentation.

Les vidéos qui suivent sont, sous ces quelques réserves, passionnantes.

Elles ont l'immense mérite de soulever des questions rarement discutées et surtout, sous un angle original, pour qui en a assez du tintamarre médiatique et des panneaux dans lesquels tant de patriotes tombent si facilement aujourd'hui.

11/12/2010

Il n’y a pas d’ "islamophobie" en France

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Musulmans en prière, rue Myrha, Paris 18e

 

A l'heure où, envahis par environ 15 millions d'immigrés extra-européens, dont une bonne part de Musulmans, certains Français de souche, mais aussi certains sous-marins politiques et médiatiques intéressés comme Guy Millière ou Caroline Fourest, s'étonnent et s'indignent de moeurs vestimentaires peu compatibles avec notre culture, de la construction de mosquées sur notre sol (essayez donc de construire une église en Algérie...) ou encore de prières publiques dans la rue, d'autres leur reprochent leur "islamophobie", maladie honteuse de l'intolérance franchouillarde dont seuls peuvent évidemment être porteurs des ploucs à l'esprit étroit, sinon de méchants nostalgiques du fascisme, etc.

Petite mise au point.

D’abord, « phobie » est un terme issu de la psychiatrie.

Or, les Français ne sont pas, par nature, des malades mentaux.

Autre définition, très moderne, du terme "phobie" : "désigne aussi dans le langage courant un sentiment individuel ou collectif allant de la détestation à la haine accompagné d’une attitude hostile, de rejet et de crainte vis-à-vis d’une catégorie de personnes, ou parfois d’une activité ou d’un phénomène" (même lien Wikipédia).

Existe-t-il couramment, en France, un tel sentiment, une telle attitude, vis-à-vis de l’Islam et des Musulmans ?

Non plus.

Mais dans la grande forgerie de mots de l’usine Novlangue, grouillent des foules de parasites, spécialistes de l’amalgame et de la culpabilisation (partis politiques, MRAP, SOS Racisme, HALDE, LDH, GISTI, DAL, RESF, CIMADE, etc., intellectuels et journalistes de tout poil, grands patrons ou ex-grands patrons comme Louis Schweitzer et Claude Bébéar, etc., ectoplasmes divers et variés comme CRAN, PIR, etc. - vous remarquerez la présence insistante des "etc." : on ne compte plus les traîtres...) ; parasites, qui n’ont de cesse d’inventer des formules et des concepts mensongers, comme vache qui pisse.

Martelées par les médias du système, ces âneries que tout le monde reprend, sans y avoir réfléchi et sans s’en soucier plus que cela, puisque personne ne se sent concerné (et pour cause !), finissent par former une brume, un décor, une espèce de fond sonore où la fiction finirait presque par supplanter la réalité.

Certes, l’Islam n’a rien à faire chez nous, c’est une évidence culturelle et historique.

Sauf, au pays de la laïcité et de la liberté de conscience (en théorie), s’il reste dans la sphère privée, sans mosquées, sans signes vestimentaires et comportementaux (ce qui paraîtrait quasiment impossible à bien des Musulmans).

Il n’en est pas moins vrai qu’avoir une vision monolithique de l’Islam, comme croire que nous pourrions "récupérer" le terme "islamophobie", forgé par nos ennemis, afin de nous en servir comme d’un repoussoir contre l'invasion, seraient deux erreurs profondes.

L’Islam est un intrus sur notre sol, certes.

Mais contrairement aux fantasmes de certains, hors de quelques cercles marginaux, il n’a ni choisi d’y venir, ni ne planifie une conquête.

Il accompagne simplement la part musulmane d’une immigration extra-européenne voulue par ceux qui y ont économiquement intérêt, notamment pour faire baisser les salaires, détruire nos identités ethniques et culturelles, saper toute chance de révolte ; en un mot, nous dissoudre dans le melting-pot mondialiste.

Ne nous laissons pas abuser par la propagande soigneusement entretenue par de faux amis, comme les néoconservateurs et les néolibéraux américains : ceux qui jouent les va-t-en-guerre anti-musulmans à la Bat Ye'or ("Eurabia" et blablabla…) et nous appellent à soutenir telle ou telle cause contre les "islamistes" qu’ils voient partout, sont les mêmes qui copinent avec les monarchies fondamentalistes du Golfe, qui ont bombardé la Serbie chrétienne pour les Albanais musulmans du Kosovo, qui ont réduit l’Irak laïc à l’état de poudrière, qui détruisent l’Afghanistan et devront l’abandonner aux "Talibans", qui poussent à l’entrée de la Turquie dans l’UE, qui trouvent normal le voile islamique en Europe, qui menacent de déchaîner le feu nucléaire sur l’Iran qui ne détient pas la bombe…

Pendant que le gouvernement Sarkozy faisait voter une loi (inapplicable) contre "la dissimulation du visage dans l'espace public", l'immigration a-t-elle diminué ?

Le pouvoir a beau jeu de surfer sur l’indignation du quidam, au spectacle d’une bâche ambulante croisée sur le trottoir.
 
Peut-être même Talonnette 1er compte-t-il ramener vers l’UMP une partie de l’électorat frontiste, déçu par trois années et demie de promesses trahies, en nous refaisant le coup du "kärcher".
 
Quoi qu’il en soit, ne soyons pas dupes de la manoeuvre.

Il ne s’agit pas de nier l'existence d'islamistes radicaux (souvent utilisés, d'ailleurs, pour faire croire à l'existence d'Al Qaïda), ni de laisser l’Islam devenir hégémonique chez nous, ni de ne pas tout faire pour parvenir à la réémigration de la plupart des allogènes, attirés ici par le mirage consumériste occidental.

Mais en nous en prenant principalement à l’Islam, ou aux immigrés, nous tomberions dans le panneau de conflits souhaités par ceux qui tirent les ficelles pour, sinon nous neutraliser, du moins nous égarer.