01/04/2014
L'Europe-puissance selon Gabriele Adinolfi
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31/03/2014
Dmytro Yaroch (Secteur Droit) : le mondialisme, ennemi de l'Humanité
L'Ukraine est un pays européen, les Ukrainiens sont une nation européenne. Cela a été le cas depuis des milliers d'années. Personne ne le conteste. Mais à ce jour, l'Europe est-elle elle-même européenne ? Voilà la vraie question.
Le passé impérial de la plupart des grands pays européens les tire vers le bas. Flux migratoires de masse, par millions, qui ne s'arrêtent jamais, influences de la colonisation britannique, allemande, française, espagnole, italienne et autres, sur des immigrants en provenance d'Afrique et d'Asie. La laïcité et l'islamisation transforment les nations chrétiennes en des peuples incertains au plan religieux et tuent l'âme des Européens. Les différents partis « de gauche » au pouvoir ou dans l'opposition promeuvent activement et cultivent la sodomie, la dépravation, la toxicomanie, légalisent l'euthanasie et tuent des enfants (avortements), et tentent de légitimer et d'intensifier des recherches pseudo-scientifiques - le clonage animal et humain. L'Europe est lentement mais sûrement en train de perdre son visage, de se transformer en un horrible monstre inhumain.
21:10 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Géopolitique, Identité, Religion, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : ukraine, dmytro yaroch, secteur droit, pravyi sektor, europe, immigration, frontières, nations, urss, union européenne, ue, russie, géorgie, totalitarisme, démocratie, politique étrangères, grande-bretagne, allemagne, france, corruption, etats-unis, multinationales, impérialisme, nationalisme | Facebook | | Imprimer | |
21/03/2014
Le libéralisme, ou la peur de la mort
Le trait dominant du libéralisme « philosophique », c'est le refus de toute transcendance, le placement de l'individu (concept fallacieux : montrez-moi quelqu'un qui n'est pas divisé intérieurement ; la personne, étymologiquement, n'est qu'un « masque ») au centre du monde conçu comme simple matière à dominer.
Dès lors, tout est permis, comme disait Dostoïevski en évoquant l'hypothèse de l'inexistence de Dieu.
Tout est permis, au point que n'importe quelle lubie doit pouvoir trouver son incarnation concrète, sans frein, sans entrave et sans limite.
Un garçon efféminé souhaite-t-il devenir physiquement la parodie d'une femme, il faut donc, impérativement, qu'on l'opère pour lui permettre de ressembler à maman. Parce que selon la religion libérale (libertaire, en l'occurrence, mais en fait c'est une seule et même idéologie), c'est son droit, faut qu'il se réalise en forme de femme, le pauvre chaton.
Surtout ne dites pas que la réalité médicale, c'est que même si on lui gonfle les seins, il ne pourra jamais allaiter, que même si on lui coupe les parties et qu'on lui bricole une chatte, il n'aura jamais de clitoris ni d'utérus, ne pourra donc jamais ressentir de plaisir sexuel féminin ni enfanter... Intolérance que tout cela, obscurantisme, la science peut tout, voyons. Vous n'êtes donc pas un fidèle de la religion du Progrès ?
23:58 Écrit par Boreas dans Crise, Identité, Nature, Philosophie, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : libéralisme, peur, mort, théorie du genre, lgbt, transhumanisme, transcendance | Facebook | | Imprimer | |
16/03/2014
French flair
(Mettez la vidéo en HD, les images sont un peu anciennes pour la plupart - hélas.)
02:18 Écrit par Boreas dans Identité, Poésie, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : rugby, french flair, le fric pourrit tout | Facebook | | Imprimer | |
27/02/2014
Marketing pour bobos et prolos
« Le spectre d’une stagdéflation pouvant succéder à la stagnation ne signifie rien d’autre qu’il faut désormais pour le gouvernement, contrôler jusqu’à diriger la consommation, afin d’obliger le peuple à consommer uniquement ce qui peut remettre l’économie sur les rails d’une croissance durable, la fameuse bulle verte telle qu’elle a été définie par la Money Power.
Les gouvernements étant dans l’incapacité d’accélérer le rythme de la mutation, tout l’enjeu devient pour eux de transformer un sentiment négatif de retour vers le passé en sentiment positif.
Autrement dit, l’économie de Marché essaye de nous décontaminer en nous faisant redécouvrir les vertus du passé, où l’on ne confondait pas la vie avec une accumulation de gadgets.
Plus fort encore, on essaye de faire passer des comportements de crise [pour] des modèles de progrès, en utilisant les ficelles les plus grossières du marketing pour tenter de créer des tendances de nouveaux comportements.
Pour combattre les maux, on invente des mots pour faire oublier qu’il n’est pas pire destin que celui de l’homme condamné à s’appauvrir sur le lieu même de sa richesse.
Les jeunes et les plus pauvres vont chez des fermiers et travaillent gratuitement moyennant nourriture et hébergement. Cela devient le woofing. Le fait de déjeuner avec des personnes que l’on ne connaît pas devient le co-lunching. Comme si tout cela n’était pas possible sans s’inscrire préalablement sur un site Internet.
On vante aussi, pour ceux qui n’ont pas d’argent, les mérites de la colocation comme si c’était une expérience extraordinaire. On se déplace en rickshaw dans les grandes villes européennes. Le top du top de l’écologie. Bref, on réinvente le pousse-pousse... Le covoiturage devient un must du consommateur citoyen prêt pour la mutation.
A Paris, nous nous en rendons compte particulièrement, car nous sommes dans le temple des bobos. Nous les croisons quotidiennement, nous les voyons aller en short et en tongs au Monoprix, manger des produits naturels à des prix exorbitants, acheter des jouets en bois pour leurs enfants.
Le "c’était mieux avant" est, pour les bobos, la piste de décollage de la prochaine bulle de la consommation durable. Le sas de décontamination…
Piste de décollage pour les bobos, piste d’atterrissage pour les prolos. »
22:38 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Propagande, Psychologie, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : jean-pierre crépin, marketing, maux, mots, consommation, bobos, prolos, woofing, co-lunching, rickshaw, covoiturage | Facebook | | Imprimer | |
25/02/2014
Game over
Dennis Meadows est l'un des auteurs du fameux livre de 1972 "Les limites à la croissance dans un monde fini". Partant de l'idée de bon sens que la croissance indéfinie est impossible dans un monde fini, les auteurs, un groupe de scientifiques du M.I.T. américain, utilisaient une modélisation des interactions entre ressources, technologie, pollution et population au niveau du monde entier pour tenter de caractériser des "avenirs possibles" du système économique, de la population humaine et de la planète. Leurs résultats les amenèrent à alerter sur le risque qu’en continuant un développement économique sans limite, l’humanité risquait d'épuiser les ressources de la planète et même de dépasser la capacité de la nature à se renouveler elle-même.
L'étude de 1972 a décrit plusieurs scénarios d'évolution possible de l'économie, de la population et des ressources mondiales, chaque scénario correspondant à des choix différents que l'humanité pouvait collectivement faire à partir de 1972. Leur scénario "On continue comme avant", qui correspond grosso modo à ce qui s'est passé par la suite, prédisait que l'approche des limites de la planète commencerait à exercer un fort impact sur la croissance à partir des environs de l'année 2010, impact qui irait ensuite croissant, finissant par déboucher d'ici 2050 au plus tard sur un effondrement, c'est-à-dire une baisse précipitée du niveau de vie et peut-être de la population mondiale, dans une situation d'épuisement des ressources et de l'environnement naturel.
Il est certes permis de mettre en rapport cette alerte précoce avec l'augmentation d'un facteur 2,5 du prix du pétrole depuis 2005, la tendance au plafonnement de la production de carburants liquides, les tensions alimentaires qui se manifestent depuis 2007 ainsi qu'avec la crise financière initiée en 2008 et toujours en cours.
Voici en exclusivité pour Nœud Gordien la version française d'une récente interview de Dennis Meadows, accordée au magazine autrichien Format à l'occasion des quarante ans de l'étude originelle de 1972.
Le discours de Meadows est d'un pessimisme frappant. Il est tentant – et il serait rassurant – de le rejeter d'emblée comme extrémiste. Attention cependant, car Dennis Meadows est tout sauf un excité apocalyptique ! Avoir été à l'origine de l'étude visionnaire des "Limites à la croissance" dès 1972 lui confère une très forte crédibilité. Il mérite d'être écouté, que son regard sur les prochaines décennies soit trop sombre ou qu'il soit justifié, et les questions qu'il pose sont quoi qu'il en soit judicieuses, bien que fort dérangeantes.
La version originale de l'interview est disponible en allemand sur le site de Format.
Une version anglaise est également disponible sur le site Damn the Matrix.
23:19 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Nature, Politique, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : dennis meadows, croissance, monde, limites, monde fini, population, ressources, environnement, effondrement, énergie, pétrole, pic pétrolier, nourriture, alimentation | Facebook | | Imprimer | |
24/02/2014
Ianoukovitch, le saint homme qu'il fallait secourir
Il a vraiment un goût de chiottes...
« (...) Les premières informations relayées via Twitter révèlent le train de vie de prince saoudien mené par le maître de Kiev. Quelques 70 millions de dollars auraient été dépensés pour l'un des bâtiments de la propriété, 30 millions de dollars pour des chandeliers en or, 1,2 millions pour du mobilier, 10.000 dollars pour... des plaques d'animaux de son zoo particulier ou encore plus de 1.000 dollars de soins vétérinaires pour des poissons.
Des dépenses peu en phase avec son salaire (100.000 dollars par an) de président. "Il y a des preuves claires de comportements criminels de la part de Ianoukovitch et de son entourage", affirme Sergei Sidorenko [journaliste du quotidien Kommersant Ukraine], soulignant des traces de transferts de plusieurs millions en provenance de comptes en banque locaux ou encore l'existence de sociétés écrans ayant permis au président déchu d'acquérir la résidence de Mejiguiria.
Certains documents retrouvés confirmeraient l'existence de listes de noms de militants ou de journalistes anti-corruption et anti-régime. À côté du nom du Tetiana Tchornovil, une journaliste en charge d'une enquête sur les dépenses de Ianoukovitch, figure la liste de ses voitures. Coïncidence, elle a été agressée en décembre dernier sur une autoroute. (...) »
« L'Ukraine a besoin de 35 milliards de dollars dans les deux années à venir et réclame l'organisation d'une conférence internationale de donateurs, a indiqué lundi le ministre des Finances par intérim Iouri Kolobov.
"Le montant de l'aide macroéconomique dont a besoin l'Ukraine peut atteindre 35 milliards de dollars en 2014-2015", a indiqué M. Kolobov dans un communiqué. "Nous avons demandé à nos partenaires occidentaux (Pologne, Etats-Unis) l'octroi d'un crédit d'ici une semaine ou deux", a souligné le ministre sans préciser le montant du crédit demandé. (...)
Le président par intérim Olexandre Tourtchinov a prévenu dimanche que l'Ukraine se trouvait au bord d'un défaut de paiement. "L'Ukraine est en train de glisser dans le précipice, elle est au bord d'un défaut de paiement", a déclaré M. Tourtchinov, dénonçant la gouvernance du président déchu Viktor Ianoukovitch et de son Premier ministre Mykola Azarov qui, selon lui, ont "ruiné le pays". (...) »
Dernière minute : récit des événements récents et point de la situation, par Pierre-Alexandre Bouclay.
Extrait du journal de TVLibertés du 24 février 2014
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Mise à jour du 25 février 2014 : vidéo du Secteur Droit, sous-titrée en Français.
20:07 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Géopolitique, Propagande, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : ukraine, viktor ianoukovitch, corruption, détournement de biens publics, résidence, dépenses, mejiguiria, révolution, ruine, défaut de paiement, besoin, aide, pierre-alexandre bouclay | Facebook | | Imprimer | |
17/02/2014
La connerie des riches en une minute
Le connard chauve, c'est Kevin O'Leary, un brasseur de vent canadien dont la fortune personnelle atteint la bagatelle de 300 millions de dollars (américains). Bref, un parasite dont l'impudence moralisatrice n'a aucune limite. Et évidemment, idéologiquement, un libéral.
C'était le 20 janvier 2014 (vers 14' 45 de la vidéo intégrale) dans une émission de télé intitulée « Lang and O'Leary Exchange » sur la chaîne CBC Canada.
Je réfléchis à imiter Soral avec sa rubrique « le con du mois » sur ce blog, parce qu'il faut bien l'avouer, c'est presque une obligation morale, par les temps qui courent.
19:48 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Propagande, Psychologie, Société | Lien permanent | Tags : riches, connerie, kevin o'leary | Facebook | | Imprimer | |
16/02/2014
Détruire l'humanité pour imposer la théorie du genre
Jetez aussi un oeil à cet article, tiens.
01:12 Écrit par Boreas dans Crise, Identité, Politique, Propagande, Psychologie, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : théorie du genre, yann carrière | Facebook | | Imprimer | |
09/02/2014
Ingénierie sociale
23:18 Écrit par Boreas dans Crise, Politique, Propagande, Psychologie, Société, Stratégie | Lien permanent | Tags : lucien cerise, gouverner par le chaos, ingénierie sociale, manipulation des masses | Facebook | | Imprimer | |