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16/02/2014

Détruire l'humanité pour imposer la théorie du genre

Jetez aussi un oeil à cet article, tiens.

Commentaires

En lisant "Pourquoi je serais plutôt aristocrate" de Volkoff, c'est arrivé à point nommé:

"Et pourtant, je persiste à croire que les différences entre les sexes sont fondamentales. Pour moi, l'homme est plus convaincant quand il guerroie, quand il gouverne, quand il châtie, et la femme plus à son avantage quand elle soigne, quand elle abrite, quand elle récompense; je pense que ce n'est pas un hasard si nos prisons sont peuplées d'environ 96% d'hommes contre 4% de femmes; et ce qui m'intéresse ici, c'est de saisir l'essentiel de la différence entre les sexes, c'est-à-dire le moment où l'un des deux ne peut en aucune façon remplir la mission de l'autre, où l'homme est absolument homme et la femme absolument femme (et toutes les opérations transsexuelles que l'on voudra n'ont pas encore sérieusement modifié la situation).
Quand l'homme atteint-il le comble de sa masculinité et la femme le comble de sa féminité? Quand sont-ils, lui en tant qu'homme, elle en tant que femme, proprement irremplaçables (et qu'on ne m'objecte pas les hybrides et les gadgets, en dehors du sujet)?
L'homme pénètre, la femme accueille. L'homme engendre, la femme enfante. Seul l'homme peut faire ce qu'il fait, seule la femme peut faire ce qu'elle fait.
Jamais l'homme n'est autant homme que dans les bras d'une femme. Jamais une femme n'est autant femme que dans les bras d'un homme. Les différences de milieu, de race, de religion, d'éducation, d'opinions passent au dernier plan: pour un instant, l'homme n'est qu'un homme, la femme qu'une femme.
L'aristocratie consistant à chercher à être le plus possible, le mieux possible, ce qu'il nous est donné d'être, lorsqu'un homme est, pour quelques
instants, pleinement homme, et qu'une femme, aux même instants, est pleinement femme, c'est-à-dire que la distance entre eux atteint son point culminant, c'est là que le couple parvient à sa plénitude parce-que c'est le maximum de différence qui produit le maximum d'identité et donc la plus grande possibilité d'union.
C'est peut-être là qu'il est le plus difficile de concevoir: l'aristocratie n'est pas l'art d'être supérieur à autrui; c'est l'art d'être soi-même mieux qu'aucun autre ne saurait l'être. Et si on le fait à deux, il y a une chance proprement miraculeuse pour qu'en jaillisse la vie."

Vladimir Volkoff, "Pourquoi je serais plutôt aristocrate"
(suite de "Pourquoi je suis moyennement démocrate")

Écrit par : Rob | 16/02/2014

Vu. L'homme s'exprime extrêmement clairement. Ne s'écoute pas parler. Très efficace.

Parce que c'est bien cela ce dont il s'agit. Sur tous ces sujets "sociétaux" ce n'est pas tant la chose en soi (Je sais faire la différence entre l'homosexualité et la culture gay) que l'idéologie mortifère qui s'est emparé de ces sujets avec comme objectif d'abattre toutes les normes, les catégories. Au final la société.

D'où cette hypocrisie à faire semblant de ne pas voir le lien apparemment contradictoire entre la théorie du genre et le livre "tous à poil".

Écrit par : Cotuatos | 16/02/2014

Le gender, sa philosophie, ses origines, ses implications, la société qu'il prépare, la manière dont il est imposé, tout est d'une saloperie inouïe.
Y aurait des kilomètres de pages à remplir... alors que paradoxalement, ce débat est inepte et indigne.

La théorie du genre qui n'existe pas, dans une maternelle de Stockholm :
http://rutube.ru/video/e86d1a2b39ddd5256906210b0374c388/
(Voilà à quoi mène l'humanisme devenu branque : à devenir "ça", et à s'en foutre... Alors même que ces gugusses se gargarisent de dignité, de droits, etc.
Répugnants.)

Écrit par : Dr Bazooka | 18/02/2014

Les commentaires sont fermés.