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10/12/2012

« Arrogance surréaliste »

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Bienveillance élitaire manifeste

 

« (...) En 1938, Orwell écrivait qu’il était difficile d’échapper à l’idée que "les hommes ne sont moraux que lorsqu’ils sont sans pouvoir". Ce jugement n’est pas aussi pessimiste qu’il y parait. Il prend simplement acte du fait que le pouvoir (et cela inclut évidemment celui que confère la richesse ou la célébrité) tend naturellement à enfermer ceux qui le détiennent dans un univers séparé de la réalité commune et des limites qui la définissent. C’est pourquoi l’habitude de vivre au dessus (et sur le dos) de ses semblables finit presque toujours par altérer le sens des autres et celui des réalités les plus élémentaires. De là, cette arrogance surréaliste et ce terrible manque de bon sens qui caractérisent généralement les élites modernes – c’est-à-dire celles qui ne possèdent même plus cette culture morale partagée ("noblesse oblige") qui permettaient, de temps à autre, aux anciennes aristocraties de se comporter de façon honorable. C’est un point que l’Evangile avait déjà su mettre en évidence lorsqu’il enseignait qu’il "est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer au royaume des Cieux". Si l’on préfère une formulation plus laïque de cet axiome populiste (ou anarchiste) on se souviendra également de la magnifique formule de Camus (dans la postérité du soleil) : "Ici vit un homme libre, personne ne le sert". (...) »

Jean-Claude Michéa (merci à @alain21 pour le tuyau)

25/11/2012

"Complète impuissance des scélérats"

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« (...) D’un point de vue “opérationnel”, et pour marier ces appréciations conceptuelles avec l’introduction concernant la crise des USA et la façon dont elle va passer à un palier absolument catastrophique, nous sommes conduits à proposer la remarque fondamentale que le comportement de la direction américaniste va, pour la première fois de façon massive, faire pénétrer dans les psychologies, notamment dans les populations, l’idée absolument impérative et furieuse, sinon révolutionnaire que ces directions sont entièrement conduites, évidemment par le Système et la politique-Système, non pas à tenter de résoudre “la” (les) crise(s), mais, au contraire, à chercher continuellement (et inconsciemment, peu importe) à faire en sorte que la (les) crise(s) s’aggrave(nt), notamment en décidant constamment d’appliquer sans aucune hésitation ni le moindre amendement les mêmes mesures et les mêmes conceptions qui sont à la base conceptuelle de la crise initiale et qui en sont la cause opérationnelle. Il y a effectivement dans cette volonté de recommencer sans cesse la crise qui vient d’être vécue à partir des ruines que cette crise précédente a installées, en reconduisant la même doctrine, les mêmes conceptions, etc., une manifestation convaincante de la pérennité de l’application de cette politique-Système, et une explication acceptable de l’évolution, pour notre époque et pour notre crise, vers l’entrée dans ce que nous nommons l’“esprit de 1793”.

Pour poursuivre l’analogie, nous dirons donc que cette nouvelle phase de l’“esprit de 1793” est une entrée dans la phase de la Terreur, c’est-à-dire dans la phase ultime de la crise terminale du Système où l’on commence à admettre que les politiques suivies, les décisions prises, etc., qui reflètent essentiellement les pressions du Système et quasi-nullement les conceptions humaines, le sont dans le but de la destruction, – de la déstructuration et de la dissolution, jusqu’à l’entropisation. Nous parlons des USA, mais nous pourrions aussi bien parler de l’Union Européenne, et dans des termes extrêmement fermes et documentés ; nous parlerions alors, essentiellement pour notre documentation personnelle, de la partie de politique étrangère de sa politique-Système, où il apparaît de plus en plus que les politiques russe, iranienne et syrienne (pour être parfaitement précis, et tout aussi documenté en l’occurrence), marquées par la brutalité aveugle et l’affrontement nihiliste de la part des Européens, constituent des politiques que plus personne, y compris aux plus hauts échelons, n’est capable de maîtriser, et dont personne n’est capable de comprendre le mécanisme et le processus, – la seule chose apparaissant clairement étant la terrorisation des psychologies de la plupart des dirigeants devant ces politiques insaisissables et impératives.

Ainsi doit-il devenir évident que nous entrons dans “la phase de la Terreur”, où il apparaît que le but poursuivi objectivement par le Système et sa politique-Système est une aggravation constante de la situation, selon cette volonté de déstructuration-dissolution du Système... Pour nous, certes, cela signifie la fameuse logique de surpuissance embrayant ou s’abîmant dans la non moins fameuse, et dans ce cas profondément désirable, logique d’autodestruction, avec la dynamique de la chose à mesure. De même, en 1793 et avec la Terreur, s’ouvrit cette phase de surpuissance de la politique révolutionnaire (politique-Système) s’abîmant effectivement dans son autodestruction (poétiquement, “la Révolution [qui] dévore ses propres enfants”) ; de même, en 2013, devrait-on voir, avec les événements provoqués par la politique-Système, le Système dévorer “ses propres enfants” dans son processus d’effondrement. Et pas question d’y échapper, sans doute, puisque, comme l’écrivait le comte Joseph [de Maistre], “Les scélérats mêmes qui paraissent conduire la révolution, n'y entrent que comme de simples instruments ; et dès qu'ils ont la prétention de la dominer, ils tombent ignoblement”. Les “scélérats” de notre temps commencent à se douter de quelque chose, peut-on vous assurer, mais ce “quelque chose” n’est rien d’autre que leur complète impuissance. »

Philippe Grasset

21/11/2012

En attendant la nuit

00:11 Écrit par Boreas dans Musique, Poésie | Lien permanent | Tags : depeche mode, waiting for the night |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |

09/11/2012

Nous sommes tous des identitaires

 

Le texte du discours est ici.

08/11/2012

Sans commentaire

Manifestation à Paris, 13 mai 2006 (merci à @agaric)

25/10/2012

Conte de fées

21/10/2012

Soutien aux Identitaires

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Depuis quelque temps, je suis en panne d'inspiration.

Un brin de recul repris dans les montagnes, doublé d'un vieux dégoût des paroles inutiles et d'un ras-le-bol de l'inaction forcée dans un système totalitaire soft qui nous tient par les couilles avec la peur, pour les dissidents, de se retrouver clochards après des poursuites pénales iniques qui leur feraient perdre leur boulot, leur toit, voire leur famille.

Alors que les « divers » peuvent quasiment tout se permettre, ne risquant même pas de perdre leurs allocs quels que soient leurs crimes, nous sommes, nous, pieds et poings liés dans notre honnêteté native, obligés d'assister en fulminant, en bouillonnant de rage contenue, à la grande braderie, au massacre quotidien de notre peuple, de notre pays.

La haine, oui la haine, ne peut que monter contre les ordures, le plus souvent des compatriotes, qui sont les auteurs et les responsables de cette situation ; une haine qui ne sert à rien mais qui permet de tenir, jusqu'à la délivrance tant espérée, en rêvant stérilement de régler leur compte à ces traîtres, de les éliminer comme ils veulent nous éliminer, car ce sont nos ennemis mortels et ils ne méritent rien de moins.

Enfin... Les patriotes sont de braves gens, des gens de coeur. Ils ne sont pas cruels et jamais, j'en suis sûr, même quand nous parviendrons à renverser ces oligarchies stupides et autistes (qui se seront probablement écroulées d'elles-mêmes), il n'y aura d'épuration massive. Quelques pendus pour l'exemple suffiront à purger la vindicte populaire.

Mais pour en revenir à ce blog, que dire que je n'ai pas déjà dit, qui n'ait pas été dit ailleurs ? Ecrire, parler, c'est bien joli, mais même si ça peut aider à ouvrir quelques yeux et déclencher quelques remises en question, ça ne satisfait pas une envie d'action, une envie de concret cadenassée par la dictature.

A quoi bon parler si le « Système » reste désespérément le même ?

C'est dans ces sombres ruminations de taulard frustré (les mêmes, à peu près, que celles de bien des camarades connus et inconnus) que j'ai eu vent, avec un frisson d'enthousiasme et d'admiration, de l'acte de résistance de l'année.

Au vu des réactions crypto-soviétiques déchaînées - par une simple demande de référendum ! - parmi les crapules subventionnées du totalitarisme ambiant, n'importe qui de sensé peut constater que Génération Identitaire a visé juste.

Aux yeux des commissaires du peuple de la LICRA, du MRAP, de SOS Racisme, de l'UEJF, du PS, de l'UMP, du Front de Gauche, d'EELV et autres représentants autoproclamés de la décence et de la démocratie, quand il s'agit de réclamer qu'on demande enfin son avis au peuple français sur l'immigration et l'islamisation de son pays, une dizaine de tapis de prière mouillés par la pluie deviennent des martyrs objets de viles déprédations ; l'entrée pacifique dans le chantier de construction d'une mosquée non encore consacrée tourne à l'effraction et au sacrilège ; la revendication identitaire est baptisée incitation à la haine raciale ; des peines exemplaires sont exigées contre les fanatiques auteurs de ces véritables crimes contre l'humanité ; auteurs, qui sont réputés vivre il y a treize siècles selon certains arriérés congénitaux alors que, n'est-ce pas, notre submersion ethnique ne peut être que le summum d'une volonté de coexistence pacifique marquant un progrès insurpassable...

De qui se moque-t-on ?!

Chaque jour, la violence exercée contre notre peuple se fait plus intense. Chaque jour, nos droits sont un peu plus réduits, un peu plus rognés par une technocratie brutale et aveugle qui va jusqu'à nier notre existence, sans parler de notre identité. Chaque jour, les kapos délinquants (immigrés, pour l'essentiel) de cette technocratie tuent, violent, violentent, volent, squattent et dégradent bâtiments publics et privés, insultent, diffament et que se passe-t-il ? Rien, ou si peu. Ce doivent être les inconvénients normaux d'une intégration à laquelle plus personne, en réalité, ne croit... En réalité, nos stupides et autistes dirigeants cautionnent et entretiennent un communautarisme croissant, dans le but manifeste (mais illusoire) de substituer à un peuple qui pense mal, des immigrés que les connivences de circonstance ne rendront pas plus malléables.

Tout cela, pour conserver leurs gamelles et leur position dominante.

Deux poids, deux mesures.

Les Identitaires ont publiquement démasqué, de manière simple et efficace, un des aspects principaux de la dictature que nous subissons, et dont les bien-pensants, apparatchiks du régime, voudraient faire croire qu'il s'agit d'une démocratie.

C'est pour cela, et uniquement pour cela, que les salopards associatifs subventionnés, les médias du capital et les politiciens véreux hurlent à la curée soi-disant légaliste contre la dissidence soi-disant d'extrême-drouâte. Pas de liberté pour les ennemis de la liberté, air connu de tous les totalitarismes.

Il faut donc poursuivre dans cette voie et continuer de démasquer, pour un peuple massivement convaincu du caractère excessif de l'immigration, la forfaiture de ses dirigeants. L'écho international de cette première action (Washington Post, El Mundo...) est par ailleurs encourageant, même s'il est bien sûr conformiste.

Les Identitaires appellent à la résistance. C'est bien le mot.

07/10/2012

Pourtaou des Agudes

 

Col des Gentianes

 

14/09/2012

Prise d'altitude

A partir de demain et pour trois semaines, mon univers ressemblera concrètement à ça :

 

 

Je serai loin d'internet et ne pourrai donc valider vos éventuels commentaires qu'à mon retour.

Portez-vous bien.

10:35 Écrit par Boreas dans Nature | Lien permanent | Tags : absence, randonnée, montagne |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |