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20/05/2013

La Manif Partout !

Le mariage gay N'EST PAS un attrape-nigauds

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Paris, 16 décembre 2012. Une telle manipulation n'a rien d'humain. « L'amour », même s'il s'agissait d'un motif valable, n'a rien à voir là-dedans.

 

« (...) [Il] subsiste toujours en France un potentiel de guerre civile qui n’attend qu’une occasion pour s’éveiller.

Et, justement, à la suite des provocations méprisantes du président Hollande et de son gouvernement, cette affaire du mariage gay est devenue une occasion d’affrontements pacifiques qui a jeté dans les rues des centaines de milliers d’opposants, et notamment de jeunes mères avec leurs enfants. Au début, l’Église catholique a joué son rôle dans cette mobilisation, puis elle s’est officiellement retirée. On peut noter au passage que l’Espagne, pays où l’Église est plus forte qu’en France, le mariage gay a été adopté sans susciter une telle opposition.

À l’origine, on pensait que le projet socialiste de loi sur le mariage gay était l’un de ces attrape-nigauds par lesquels les politiciens amusent la galerie. Et puis on a compris que derrière l’attrape-nigauds s’était glissé l’un de ces projets pervers par lesquels les fanatiques de la déconstruction et de la mondialisation veulent détruire les dernières charpentes qui structurent les société européennes. Il faut rappeler que le mariage n’est pas qu’une question d’amour. Ce n’est pas un simple contrat, c’est une institution en vue des enfants à venir. Il garantit à l’enfant son identité représentée par un vrai père et une vraie mère. C’est ce qu’a voulu annuler la loi Taubira qui remplace le droit des enfants par le droit accordé à des adultes gay de s’offrir des enfants selon les critères de la société de consommation.

Pour toutes ces raisons, le projet de mariage gay a été ressenti comme une atteinte insupportable à l’un des fondements sacrés de notre civilisation. D’où les immenses manifestions populaires des 13 janvier et 24 mars à Paris, puis du 5 mai un peu partout, en attendant celles du 26 mai. (...) »

Dominique Venner

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05/05/2013

Impression de misogynie ?

... Allusion à un débat avec la sympathique @Carine.

... Merci à @blh pour la musique.

 

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01/05/2013

Le changement, c'est maintenant

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14:29 Écrit par Boreas dans Crise, Economie, Politique | Lien permanent | Tags : changement, maintenant |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |

24/04/2013

Goldman Sachs et le libéralisme de tout poil pour le mariage gay

C'est Patrice de Plunkett, lecteur de Michéa, qui le dit ici et .

Ce que confirme également un article du Monde, d'il y a un an.

Et on trouvera ici la liste des 278 appelants à la tolérance (comme dans les maisons, mais en plus exclusif) auprès de la Cour Suprême des Etats-Unis. Parmi eux, une floppée de kolkhozes et de Gosbanks, bien sûr. Comme Goldman Sachs.

 

20/04/2013

Dictature brejnevienne

Je salue bien bas l'excellence de l'incontournable site F.Desouche, où j'ai découvert cette vidéo ex-tra-or-di-nai-re.

Voilà qui en dit long sur les méthodes d'un pouvoir que d'aucuns s'obstinent à vouloir trouver démocratique, contre un mouvement qui, après avoir rassuré sur l'existence même de notre peuple, fait désormais se lever, comme Beppe Grillo et son M5S en Italie, un immense espoir.

D'autant plus immense, que les manipulations gouvernementales démontrent à quel point les sphères de pouvoir en perçoivent la menace pour leur hégémonie.

 

URL de la vidéo trouvée ici (N.B. : entre-temps, la vidéo Fessebouc a été rendue inaccessible, on se demande pourquoi. Je l'ai retrouvée sur Youtube).

Beppe Grillo contre les médias

Reportage diffusé le 18 avril 2013 à 20 H 45 sur France 2.


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Beppe Grillo est décidément d'actualité (ce qui n'est pas l'objet de ce blog, mais pour une fois...). Décidément, la Manif pour tous, c'est partout, de plus en plus, c'est tant mieux et ça terrifie nos élites, qui s'empressent d'évoquer le fâââchisme :

« Le chef du mouvement contestataire 5 Etoiles (M5S), Beppe Grillo, a appelé aujourd'hui les Italiens à le rejoindre devant le parlement pour protester contre la réélection du président Giorgio Napolitano, qu'il a qualifiée de "coup d'Etat".

Giorgio Napolitano a été réélu pour un second mandat à la tête de l'Italie après avoir accepté de se porter candidat à la demande des responsables de plusieurs formations politiques pour sortir le scrutin de l'impasse.

Beppe Grillo, qui avait déjà attiré des dizaines de milliers de sympathisants à Rome avant les élections législatives des 24 et 25 février, a déclaré qu'il quittait immédiatement le nord de l'Italie où il se trouve, à 650 kilomètres de Rome, pour se rendre au parlement.

Une comparaison avec la "marche sur Rome"

"Il y a des moments décisifs dans l'histoire d'une nation", a déclaré l'ancien humoriste sur son blog dans un message intitulé "Appel aux Italiens". "Je serai ce soir devant le parlement. J'y resterai autant que nécessaire. Nous devons être des millions."

Il a qualifié de "coup d'Etat" la décision des représentants du centre-gauche, du centre-droit et des centristes d'appeler samedi Giorgio Napolitano à la rescousse pour sortir le pays de l'impasse. Ses propos ont été critiqués par le reste de la classe politique, certains comparant sa décision de manifester devant le parlement à la "marche sur Rome" de Benito Mussolini avant sa prise de pouvoir en 1922. »

Source

16/04/2013

L'ami américain

 

Voir aussi cet article, sur un site qu'on ne peut pas soupçonner de fâââchisme.

15/04/2013

La City, la finance en eaux troubles

08/04/2013

Italie : l'establishment international contre Beppe Grillo

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Malheur à celui par qui le scandale arrive, le proverbe ne se dément pas. L'un des valets médiatiques les plus zélés du « Système » nous apprend ce matin que Goldman Sachs, dans sa grande sagesse, trouve problématique la propension du peuple italien à refuser que ses élites corrompues continuent de faire des affaires en rond :

« "Plus que Chypre, c'est le facteur Grillo qui devient le vrai problème de l'Union européenne", a estimé récemment l'économiste de Goldman Sachs, Jim O'Neill ».

Bien sûr, si le Mouvement Cinq Etoiles de Beppe Grillo refuse toute alliance avec les partis dits traditionnels (comme si la pourriture était une tradition pour faire fonctionner le pays), c'est, selon Les Echos, une erreur politique et économique lourde d'une paralysie dont il faut lui imputer toute la responsabilité.

Responsabilité, c'est bien le mot. Celui qui ne vient aux lèvres des larbins de la partitocratie que lorsque le capital de ses maîtres est en jeu. Investir dans un pays, dans un peuple, c'est nettement moins rémunérateur que de lui sucer la moëlle en externalisant la production et en diminuant les salaires, en faisant supporter par les contribuables les dettes nées de l'achat de la paix sociale et de l'immigration-invasion, tout en privatisant les profits exonérés d'impôts dans des paradis fiscaux... A part ça, la responsabilité, c'est pour les autres.

Et notre Pravda économique de nous vanter la sagesse, aussi, de Matteo Renzi, nouvelle figure de proue alternative du parti de centre-gauche intitulé sans rire, à sa création en 2007, Parti Démocrate, dont le secrétaire général Pier Luigi Bersani vient de gagner piteusement les élections législatives avec, pour toute la coalition de centre-gauche pompeusement baptisée Italie Bien Commun, moins de 30 % des voix à la Chambre et moins de 32 % au Sénat, ce qui ne lui permet pas de former un gouvernement.

A en croire Les Echos, Renzi, tronche de premier de la classe qui serait devenu présentateur du vingt heures, bref tout pour plaire aux entubeurs de masses laborieuses, et qui vient de s'insurger vertueusement contre la prétention du M5S à appeler un chat un chat, incarnerait l'alternative politique souhaitable pour l'Italie, passant bien sûr par un gouvernement d'union nationale sous forme de compromis avec la coalition de centre-droite (c'est fou comme l'union nationale est une belle expression pour cocufier les nations, vous ne trouvez pas ?).

Renzi, dont le canard échotier oublie naturellement de nous rappeler qu'il est mouillé dans un scandale de favoritisme à l'emploi remontant à l'époque de sa présidence de région en Toscane, pour lequel il a été condamné en première instance, même si, faute de preuves suffisantes, sa condamnation a été ridiculement faible. Encore un modèle de probité politique digne de notre confiance, croyez-en la presse bien-pensante.

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