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19/10/2014

IRA : guerre à la drogue

Je propose ici une vidéo du mois de mars 2014, trouvée il y a quelque temps déjà chez Courrier UWF, que je remercie pour cette énième pépite (sous-titres en français, cliquez en bas à droite) :

Une jolie illustration de l'inanité de l'idéologie tolérantiste prônée par nos « intellectuels » parisiens, qui n'ont de cerveau que pour leur permettre de dégoiser à l'infini des fadaises germanopratines lors de dîners mondains et se faire mousser devant des publics médiatico-politiciens triés sur le volet, acquis d'avance à leur cause aussi irresponsable que leur propre cul est protégé (quoique, celui de leurs enfants, c'est moins sûr, mais comme ils sont le plus souvent adeptes des paradis artificiels, il s'en foutent, pour leurs gosses aussi).

La vérité, c'est que, selon une autre théorie, à mon avis plus éprouvée, quand tu es déterminé, que tu braques un flingue chargé sur quelqu'un et que tu lui ordonnes d'arrêter ses saloperies, soit l'autre est très con et tu dois finir par lui faire un ou deux trous bien sensibles dans le gras pour que le message lui arrive au bulbe, soit encore il est trop con et tu ne peux que le buter après quelques avertissements malgré tout restés vains - ce qui, au passage, servira de bristol à ses collègues -, soit enfin il a un cerveau et il ne peut qu'obtempérer.

Il y a ce qui marche et ce qui ne marche pas et, à un moment, il faut arrêter la parlote, les Irlandais de l'IRA l'ont compris, comme ce bon vieux Walt Kowalski (Clint Eastwood) dans Gran Torino, à l'occasion d'une scène qui évoque un autre problème social majeur de notre temps, le vivre-ensemble, tout aussi bisounoursisé par nos bavards macrocéphales et sniffeurs de la Rive Gauche :

22/08/2014

L'Iran drogué

Source : UNODC World Drug Report 2010

 

(...) Si Marx était né en Iran, il aurait pu dire que l’opium est l’opium du peuple. L’Iran est le plus grand consommateur d’opium dans le monde. Selon des estimations, 4 tonnes d’opium seraient consommées quotidiennement à Téhéran. La tradition perdure depuis des décennies et bien avant la révolution de 1979.

Toutes les couches sociales en consomment, l’ouvrier y cherche de la force pour travailler, le chauffeur routier le consomme pour rester éveillé la nuit, l’artiste et l’écrivain y cherchent l’inspiration, le religieux en prend avant son prêche, le riche en fait son meilleur loisir, le libidineux fait l’éloge de ses effets érotiques et tous les politiciens sont soupçonnés par le peuple d’en consommer.

La manière de le consommer dit beaucoup sur l’origine sociale. Hossein m’explique : « Fumer avec une pipe traditionnelle, c’est la façon royale, car il faut beaucoup de temps et plus d’opium. Ceux qui ont moins de moyens chauffent l’opium avec une épingle en fer et inhalent directement la fumée, les plus pauvres mangent le "sookhté" (le brûlé en persan), le résidu récupéré dans la pipe après la consommation. »

C’est d’ailleurs avec le « sookhté » que les Iraniens sont tombés dans le piège de l’opium au XIXe siècle. A l’époque, les Anglais s’étaient lancés dans le juteux commerce de l’opium à travers le monde. Avec la complicité de la monarchie, ils ont encouragé les agriculteurs à planter du pavot plutôt que du blé. Et pour pousser à la consommation, le gouvernement achetait à un prix très intéressant le « sookhté ». C’est ainsi que l’opium se propage très rapidement dans la Perse. Sven Hedin, géographe et explorateur suédois, de passage à Téhéran à la fin du XIXe, résume : « Téhéran est une ville ou l’Orient insouciant fait la sieste sous l’effet de la drogue anesthésiante de l’Occident ».

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21/12/2013

L'Etat profond américain

Le plus fameux bouquin de Peter Dale Scott est disponible ici.

11/08/2011

Collapse - L'effondrement

Je remercie @Eisbär, pour m'avoir fait découvrir ce film par un commentaire sur fortune.fdesouche.com.