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25/08/2012

Schizophrénie journalistique

Je ne relaie jamais ce qui est publié sur F.Desouche, parce que ça ne sert à rien. F.Desouche fait tellement plus d'audience que ce blog, qu'il n'a pas besoin de lui pour être vu et lu.

Mais je fais exception pour cette vidéo, qui illustre de façon... ? (impossible de trouver un superlatif traduisant mon ressenti, même « hallucinant » est un euphémisme), la schizophrénie de quelques prétendus journalistes, pour lesquels ce qui compte, c'est le « discours de haine » qu'ils fantasment dès qu'il s'agit des Identitaires (et/ou de la soi-disant « extrême droite » en général) et non les faits de violence réellement survenus, imputables à d'autres (qui ça ? Aucune idée, bien sûr).

En résumé, pour ces schizophrènes, la violence réelle n'est pas un problème, si elle n'est pas assortie d'un « discours de haine ». Mais en revanche, de pacifiques campeurs sont nécessairement porteurs d'un tel discours, et donc violents, puisqu'ils sont « d'extrême droite ».

J'ai beau savoir que ces prétendus journalistes (dys)fonctionnent comme ça, leur pavlovisme primaire me laisse pantois. A un moment, j'ai écrit ici que la plupart des gens ne pensent pas ; mais là, c'est le nec plus ultra du bouché-à-l'émeri, la médaille d'or de l'obtusité, le summum de la folie suicidaire.

J'imagine ces bien-pensants psychorigides, se faire tabasser par une dizaine de racailles souriantes et sans « discours de haine » (et encore) : je vous parie que dès le lendemain, dans leur canard, ils dénonceraient les « nauséabondes tentatives de récupération par l'extrême droite d'un fait divers illustrant simplement les difficultés sociales induites par la discrimination et l'exclusion, et l'incapacité consécutive des victimes de celles-ci à s'intégrer, conduisant à des comportements de type rituel, signes d'une volonté de réappropriation de leur image, et même d'un désir de communication, qu'il ne faudrait pas décourager au motif qu'ils sont atypiques », ou ce genre de charabia psycho-sociologique pour échappés de l'asile.

De fait, ces malades ne se feront jamais assez tabasser. Ça devrait même constituer leur principal traitement, de subir continuellement l'anodine violence non-violente (puisque non porteuse d'un « discours de haine ») des racailles.

Comme je suis bien intentionné et que je ne veux que du bien à ces prétendus journalistes ayant, malheureusement pour eux, perdu tout contact avec la réalité : de tout coeur, je leur souhaite un bon rétablissement grâce à cette thérapie cogne-itive.

Commentaires

Anarcho-tyrannie. Tyrannie contre le prisonnier politique, impunité pour le kapo.
Et le kapo idéologique "journaliste" est dans son rôle.
Néanmoins, je constate 2 choses:

1) les journalistes ne peuvent tenir plus de 2 minutes de débat libre et non faussé. Tout comme l'ensemble des supporters du système, que l'on retrouve dans les médias ou sur internet.

Si le débat est gagné idéologiquement par les dissidents, alors il ne peut avoir lieu et nous abordons le deuxième point:

2) la force comme réponse du système face à la tentative de libération du prisonnier politique.
Là ou il n’existe pas de "moyens" pour mater le sous-prolétariat-kapo, il en existe pour contrôler le prisonnier politique.
Anarcho-tyrannie donc.

Écrit par : Three piglets | 25/08/2012

Une chose est frappante également: regardez le physique de ces journalistes, l'attitude corporelle, cela sent l’être faible, le femelle, le soumis.
Ces auxiliaires du système seront lâchés par celui ci en premier.Ils paieront, par les événements, leur collaboration.

Écrit par : Three piglets | 25/08/2012

Salut TP.

Effectivement, la force comme seule réponse efficace du "Système".

En important l'immigration et en utilisant les racailles, pas directement bien sûr, pas en les encadrant physiquement par des processus décisionnels et des structures dédiées, pas en les incitant expressément et directement à la violence, mais juste en les laissant être immergés dans un mélange de tribalisme incontrôlé et de matérialisme consumériste néo-barbare, puis en laissant s'exprimer les pulsions que cela peut brasser.

Comme le rappelait Ambact ici :

"dans les pays où l’islam règne en maître, pas de telles racailles.
Non seulement l’islam n’est pas le coupable des vies de ces allogènes, mais il est la réponse qu’ont trouvé les sociétés ( càd les structuration de leurs existences en groupes) dont sont issus ces gens à leurs tares naturelles, à leurs comportements. (...)

Les voir ” intégrables” ou ” assimilables”, c’est ne pas les voir tel qu’ils sont, mais comme des sortes d’européens dont on aurait loupé l’éducation.
Or il n’en est rien.
A la quatrième génération ( pour certains) née et éduquée, avec et comme nous, on devrait pourtant bien comprendre que cela ne PEUT pas aller AVEC eux. (...)

Donc, soit on veut vivre avec eux et islam obligatoire sinon, impossible de vivre.
Soit on continue notre histoire et ce sera sans eux, sans cette masse allogène qui bloque toute suite de la saga des peuples européens.
Et du coup, plus de ces dix millions d’allogènes, plus de public pour l’islam et ses nuisances annexes retombent au niveau de celles causées par des sikhs ou adorateurs du concombre.

Islam, capitalisme doivent être au grand maximum considérés comme des paramètres aggravants , mais la nuisance est la présence massive de ces gens, pas ce en quoi ils croient ou non."

http://fortune.fdesouche.com/282508-emeutes-damiens-le-totalitarisme-de-marche-dans-toute-sa-quintessence/comment-page-1#comment-124560

Violence allogène donc, par la seule immigration massive d'origine africaine et les débordements qui en découlent nécessairement.

Pas besoin de "complot", pas besoin, contrairement à ce que voudrait un Marchenoir ( http://lamouettejoviale.wordpress.com/2012/08/22/bon-revenons-aux-choses-serieuses-apres-ces-detours-blagueurs/comment-page-1/#comment-289 ), de preuves d'intentionnalité de chaque détail du processus.

Cela dit, des preuves d'intentionnalité globale voire particulière, par-delà droite et gauche, par-delà libéralisme économique et libéralisme libertaire (l'économisme étant au centre de tout), il y en a des milliers, des déclarations de Bouygues dans les années 70 à celles de Cecilia Malmström en passant par celles du MEDEF et de ses homologues européens, de mai 68 à Mélenchon en passant par Chirac et Sarkozy.

C'est ce que dénonce Renaud Camus :

"L’Homme remplaçable. Je m’efforce d’y montrer que l’homme du Grand Remplacement, l’homme déculturé, décivilisé, désaffilié, dénationalisé, remplaçable à merci, l’homme que produisent en masse l’enseignement de l’oubli et l’industrie de l’hébétude, cet homme-là était celui que voulait l’économisme global, avec son souci d’interchangeabilité universelle. On ne répare plus, on remplace. On a commencé par remplacer les pièces, puis on a remplacé les objets, on en est venu à remplacer les hommes et à présent on remplace les peuples. La dimension économique du remplacisme ne m’échappe absolument pas. Et je suis bien conscient du rôle qu’a joué et continue de jouer le patronat — lequel déjà n’avait pas témoigné dans son ensemble, lors de la dernière guerre, un patriotisme excessif — en faveur de l’immigration de masse, de la contre-colonisation et du Grand Remplacement. D’un autre côté je proteste de tout mon être et de toutes mes phrases contre l’économisme, la soumission de tous nos gestes, de toutes nos ambitions, de toutes nos pensées, de toutes nos idées de la patrie, et d’abord de la politique, à l’économie, à la seule conception économique de la vie. Songez qu’on a voulu nous convaincre qu’il fallait changer de peuple et accueillir à bras ouverts la contre-colonisation pour sauver notre système de retraite ! Quand il s’agit de l’indépendance de la patrie, je me fous du système de retraite. Et toute la France s’en est foutu tant qu’elle a été une nation et pas une zone d'influence économique, un marché. J’en parle d’autant plus à mon aise que de retraite je n’en ai pas, pratiquement. Ni de capital, d’ailleurs. Mais je refuse de soumettre toute ma vie à l’économie, et la France ferait bien d’en faire autant."

http://www.in-nocence.org/public_forum/read.php?3,119005

Bien sûr, il y a d'autres formes de violence et de répression contre les dissidents (le peuple français tout entier est un dissident, d'ailleurs, quand il est lui-même) et là, comme tu le dis, les "moyens" ne manquent pas (police, justice).

Mais à mon avis, depuis les années 80, l'usage de la force par le "Système" s'incarne essentiellement dans l'immigrationnisme. C'est sa violence principale, à défaut d'être la première qui, selon moi, reste l'économisme, ou l'éconocentrisme.

Autre remarque : on pourrait penser que l'idée d'un remplacement des FDS, travailleurs, productifs et consommateurs, par des allogènes plus oisifs, souvent nuisibles par délinquance et donc a priori moins consommateurs, serait absurde. Une mauvaise affaire pour le capitalisme global, désireux de faire du chiffre. Preuve que la thèse des racailles encouragées par le consumérisme et les multinationales serait une foutaise.

Ce raisonnement ne tient pas. BMW et Mercedes n'en on rien à faire, que leurs bagnoles leur soient achetées par des dealers et des braqueurs, pourvu qu'elles leur soient achetées. Et elles le sont. Les racailles roulent rarement dans des voitures volées. Que le fric pour les acquérir ait été volé, peu importe aux vendeurs. Ils ne vérifient pas, ne dénoncent pas, le blanchiment connais pas. Idem partout. L'origine du profit à court terme indiffère donc profondément aux marchands, tant qu'ils ne sont pas les victimes personnelles des racailles.

Idem pour le dumping salarial. On pourrait croire que le petit patronat, qui compose la grande majorité de l'économie française, serait plus patriote que le CAC 40. Eh bien, pas nécessairement. En paroles, peut-être. Mais quand il s'agit du cas particulier du Comorien clandestin qui fait la plonge dans le restaurant familial, là il faut faire exception, être un peu « humain », etc.

N'oublions pas que la CGPME a publiquement appelé à régulariser les clandestins que ses adhérents emploient : http://archives-fr.novopress.info/11328/de-l%E2%80%99administration-au-patronat-les-collabos-de-l%E2%80%99immigration-clandestine/

Écrit par : Boreas | 25/08/2012

Pour compléter la discussion, je puis vous assurer que la jeune génération de Français bien blancs de 20-30 ans qui se lance dans la politique à gauche (au PS, à EELV...) est une génération de fous furieux, d'arrivistes cyniques et de pros de la langue de bois aux techniques bien rôdées. Encore plus redoutables que leurs aînés. Des machines à tuer la France, de sang froid, pour avoir leur petite place dans le Système.

Et encore beaucoup trop de jeunes bourgeois lobotomisés par la propagande.

Pour reprendre ce qu'a écrit un certain Xyr : "On mourra comme ça, c'est notre génération" ( http://lesheureslesplusclaires.blogspot.fr/ ), à propos de la génération des parents d'ailleurs...

Écrit par : Anne Onyme | 25/08/2012

Vous avez sûrement le souvenir de ces parents dont le fils avait été sauvagement assassiné à la hache… Ils avaient refusé la participation de l'extrême-droite aux obsèques de leur fils, pourtant publiques (avec probablement lâcher de ballons blancs), en disant "pas de récupération politique".
Donc cette situation peut perdurer…

Écrit par : Carine | 26/08/2012

Je me désolidarise des autres français.
Je me solidarise de ceux qui bâtissent, de ceux qui s'engagent physiquement, de ceux qui construisent leur arche de Noé, en prévision du Grand Déluge.
Ce qui signifie que j'apporte mon aide à ces gens , et que les autres n'apparaissent plus sur mon radar.
Le commentaire, c'était bien dans les années 2000, la grande thérapie virtuelle via blog interposé, oui, on s'est senti moins seul, et ce ne fut qu'une marche.
La prochaine, c'est le Récifs.

http://www.le-recifs.com/index.php/forum/topics/mode-replies

Écrit par : Three piglets | 26/08/2012

Carine

Vous parlez de cela :

http://lyon.novopress.info/751/assassinat-du-jeune-romain-proces-attendu-pour-la-mi-2006/

http://www.dailymotion.com/video/x50zlc_marche-pour-romain-benavent-assassi_news

Particularité intéressante, l'assassin a été tabassé en prison par deux co-détenus Maghrébins horrifiés par son acte :

http://www.laprovence.com/article/region/avignon-1-000-euros-pour-lassassin-du-jeune-romain

Sinon, pour la modération a priori sur mon blog, désolé, j'ai été obligé :

http://verslarevolution.hautetfort.com/archive/2011/11/20/coup-de-balai.html

Écrit par : Boreas | 26/08/2012

Oui, Boreas, c'est de cette affaire horrible que je parlais.
Merci !

Écrit par : Carine | 26/08/2012

TP

Franchement, je ne sais pas.

Écrit par : Boreas | 26/08/2012

TP, une chose est sure, tu soulèves la vraie question du moment.

Et je suis bien embêté pour me faire une opinion sur le sujet.

Pas envie de me retirer du monde pour me consacrer à prévenir une catastrophe brutale qui n'arrivera peut-être jamais (or, si l'effondrement est progressif, il sera toujours temps de s'y adapter).

Pas envie de me retrouver un jour coincé dans un lieu à défendre sans espoir, jusqu'à la mort (une BAD, ça n'a rien d'un sac à dos...).

Pas motivé par le survivalisme s'il se limite à son objet. Survivre pour survivre, bof.

En même temps, les BAD sont logiques et indispensables si on prévoit un effondrement brutal de la société actuelle. Mais qu'est-ce qui permet de privilégier la thèse de la soudaineté ? Le parallèle soviétique ? Pas sûr.

Même Piero San Giorgio, le pape de la BAD avec casque en kevlar et tonnes de conserves (je ne suis pas très fan, je l'avoue), ne croit pas à un effondrement brutal ; alors ?

Je suis perplexe et comme je pense et ai pu vérifier que ce qu'on ne sent pas, il ne faut pas le faire, eh bien, en l'état actuel des choses, je ne fais pas. Faut dire aussi que je vis dans un trou perdu à la campagne, alors ce n'est pas comme si j'étais environné d'artifices et de CPF dans une tour de La Courneuve...

Mais je suis ouvert à la discussion, demandeur d'avis et tout et tout.

Écrit par : Boreas | 27/08/2012

Effondrement brutal je n'y crois pas.
Ils tiennent bien trop à leur place. Ils nous feront crever avant de tomber. Genre monter les Français contre les allogènes.

Ils ne faut quand même pas oublier que nos ennemis sont ceux qui ont fait venir ces étrangers.

Écrit par : libherT | 27/08/2012

"Effondrement brutal je n'y crois pas."

Si vous y croyiez, l'effondrement brutal aurait lieu. Un simple problème de coordination avec plusieurs équilibres possibles.

Écrit par : Anne Onyme | 27/08/2012

Boréas:

La vérité est que ce n'est pas l'effondrement total qu'il faut craindre.
Il faut craindre que l'hyperclasse lance les kapos contre les français (comme ce que fait l'Empire en Syrie en ce moment meme).
Et là, la BAD trouve son intérêt.

Or, si nous introduisons le facteur "BAD" dans l'equation du rapport de force avec l'hyperclasse, alors il est possible que nous puissions éviter le pire, car la BAD, collectivement, serait synonyme de désamorcage d'un conflit civil.L'effet dissuasif si tu préfères.

Et je ne vois comment tu peux espérer une révolution politique et sociale, si nous ne sommes pas capable de créer des endroits de liberté et de souveraineté physique au sein des BAD.
Nous connaissons l’exil intérieur, la dissidence intellectuelle, maintenant, c'est l'heure de passer à la sécession physique d'avec l'hyperclasse.

J'avoue avoir traversé une période de découragement ces derniers mois, et là, apparait le Récifs, des gens qui se prennent en main sans qu'on ait besoin de les motiver.
Maintenant, c'est à fond dans le maillage de BAD.
C'est le travail dont je parlais , rappelle toi. C'est aussi ce prix de la liberté que j'évoquais dans mes posts chez toi.
Nous ne sommes plus seuls dans l'action, que demander de plus?

Écrit par : Three piglets | 27/08/2012

Le survivalisme est une vaste auberge espagnole, il y a la place pour la BAD et le terrain "France".
Ensuite, si c'est le mot qui te dérange, il n'est que valise.
Nous pouvons y mettre ce que nous voulons et le Récifs est fortement influencé par Drac et Scripto.
Il y a une donne politique dans la BAD, sans forcément qu'on ait besoin de la théoriser, mais le fait de créer une BAD est déjà un acte révolutionnaire en soi.
Le plus important n'est pas le concept, la ligne idéologique, le catéchisme politique, mais le travail physique, la BAD matérielle , qui permettent de rentrer dans l'acte révolutionnaire vis à vis de l'hyperclasse.
Si chaque mec qui ralait sur internet avait une BAD, nous serions libérés.
Moins d'idéologie et de discours, et plus d'action, c'est le seul mot d'ordre aujourd'hui.

Écrit par : Three piglets | 27/08/2012

Merci pour tes explications, TP, c'est nettement plus clair.

Paradoxalement (s'agissant de quelque chose de concret, de pratique), je trouve le concept assez idéaliste ; tellement, même, que je n'y aurais pas pensé dans ces termes, même après avoir lu, il y a déjà longtemps, sur le thème presque messianique de la "fraction".

Dans la mesure où tu dis qu'il ne faut pas tant craindre l'effondrement que les agressions, dois-je comprendre qu'en réalité, à tes yeux, l'aspect survivaliste, l'aspect "je ne mange que ce que je produis, je me débrouille pour l'eau, l'éclairage, l'énergie, les soins de santé, etc.", est secondaire ? Que ce qui compte avant tout, c'est (comme je le pense, pour ma part) le réseau et les capacités de défense ?

Ou bien, est-ce que je me trompe ?

Le mot "survivalisme" ne me dérange absolument pas (j'ai d'ailleurs le blog de Volwest en lien ici) ; simplement c'est en effet un mot-valise et je ne m'intéresse pas aux techniques de survie pour elles-mêmes, sans autre finalité que de savoir se débrouiller en cas de pénurie, etc.

Je ne dis pas pour autant qu'a contrario il faudrait une doctrine politique élaborée pour canaliser tout ça, mais tout de même il faut qu'il s'agisse consciemment d'un peu plus que de dégoter le meilleur réchaud à gaz, de passer ses journées à cultiver des légumes qu'on ne mangera presque pas et à bricoler des panneaux solaires en vue d'une hypothétique panne générale d'EDF...

J'avoue que c'est le côté tout-va-péter-alors-bricolo-je-me-prépare-à-tout (et pourtant je suis un assez bon bricoleur moi-même et j'aime ça) qui me rebute dans l'affaire.

Quand même, à côté de tout ça j'ai un métier, des obligations, des charges et je ne peux pas tout balancer pour devenir un Robinson suisse (d'autant que je n'ai pas de trésorerie pour le faire, contrairement à PSG qui surfe sur un concept plus qu'élitiste), surtout s'il n'y a pas d'autre perspective que la participation à un réseau survivaliste.

Or justement, sur Récifs un coup d'oeil rapide m'a donné l'impression qu'il s'agit essentiellement de l'aspect survivaliste. Donc je vais y retourner plus longuement essayer de me faire une idée plus étayée.

Écrit par : Boreas | 27/08/2012

Soit, je comprend ta critique.
Que faire alors?

Écrit par : Three piglets | 28/08/2012

Honnêtement, TP, je plafonne dans ma réflexion et je n'ai pas la solution.

Comme toi, j'ai eu une période de découragement ces derniers mois, mais c'est fini.

Simplement, je bute toujours sur le double obstacle révolutionnaire de notre époque, qui est :

1 - la résilience interminable du "Système" pour le moment ;

2 - l'absence de motivation de la dissidence pour aller vers une préparation concrète (ce même manque d'engagement que je rencontre et déplore depuis trente ans, à l'exception notable du BI ces derniers temps).

Je pense qu'en réalité, ce double obstacle n'en fait qu'un et que les gens se bougeront quand ils auront chaud aux fesses. Si bien qu'on en revient toujours à la parabole de la grenouille dans l'eau tiède de la casserole, à l'aise dans la chaleur régulièrement croissante mais qui bondirait au dehors si le feu était brusquement poussé.

Il faut savoir reconnaître, comme le disait Trotsky, que "dans la révolution aussi, les hommes agissent sous l’influence des conditions sociales qui ne sont pas librement choisies par eux" et que nous ne maîtrisons donc rien, sauf la préparation.

Je suis triste que cette préparation ne puisse se faire dans les conditions souhaitables (collectives, etc.) et que chacun reste bêtement isolé, occupé - au mieux - à bricoler sa propre solution individuelle ou en petit groupe, mais autant en tirer le meilleur parti possible.

Si Récifs te paraît représenter une voie, si tu le sens comme ça, il faut la suivre.

Pour ma part je fais ce que je peux, autant dire pas grand-chose. Ma vie personnelle ne me laisse quasiment aucune marge de manoeuvre depuis un bon moment (ce n'est pas une excuse bidon, je n'ai très sincèrement qu'une envie c'est de contribuer à nous en sortir), mais j'ai espoir que cela change bientôt et que je puisse m'impliquer davantage, probablement au BI dont je me sens le plus proche.

Pour ce qui est d'une BAD, je vis dans un lieu qui pourrait s'y prêter si nécessaire et, comme je te l'ai dit, je vais m'intéresser de plus près à Récifs.

En résumé, je n'ai certainement pas mieux à proposer que tu ne le fais, camarade. J'en suis désolé, je préférerais que mes "critiques" soient plus constructives.

Écrit par : Boreas | 28/08/2012

@ Boreas
Nous en sommes tous la je pense.
Personne ne bouge car tout le monde voudrai que l etat sauve la situation. L etat a toujours ete là pensent ils quand la situation etait desperé.

Le probleme c est que l etat est notre ennemi. Il lancera les kapos contre nous plutot que de crever.
On ne peu se battre contre un etat, toutes les revolutions on été faites quand l état a disparu. Le vide laissé a profité au plus fort.
Nous devons remplir se vide. Les BAD devront être organisé au niveau des villages, des cantons. Mais quand l état aura disparu.

Écrit par : libherT | 29/08/2012

Inscris toi, c'est la partie privée qui est interessante.
:)

Écrit par : Three piglets | 29/08/2012

L'Etat, c'est nous, le peuple.
Et le peuple se défend et s'organise.

Écrit par : Three piglets | 30/08/2012

TP

Inscription faite.

Écrit par : Boreas | 31/08/2012

Ah non l état qui detient la violence legitime, c est eux l hyper classe comme vous les appelez. L état c est les puissants, ( la noblesse, bourgeoisie, militaire ). L état fini toujours par oublier qu il y a un peuple. Il se regarde le nombril en se disant qu il est indispensable au peuple.

Nous sommes le peuple, et nous renversons l état.

Comment creer un état non autoritaire. Comment devons nous controler un état, alors que toujours les gens sont plus interessé par leur interets personnels que l interet general....

Écrit par : libherT | 31/08/2012

En devenant l'Etat LibherT...
Pourquoi renverser une chose qui tombe?

Écrit par : Three piglets | 02/09/2012

oui en devenant l etat, mais la question est comment être sure que dans 50 ans cet etat ne sera pas une prison pour nos enfants.
Comment supprimer les groupes de pression qui veulent toujours controler les representants du peuple.
Quelle loi ecrire pour que les gens puissent être libre de leur vie.

Comment supprimer ou controler l etat en gardant une societé sructuré.
Est ce que la societé doit être oppressive pour faire vivre les gens ensemble ???????????

Oui l etat tombe, mais pas trop quand même, car si il est facile de détruire, pour reconstruire, il faut des siecles. Il ne faudrai quand même pas retombé au moyen age, donc il nous faut un minimum de societé.

Écrit par : libherT | 02/09/2012

"Il ne faudrai quand même pas retombé au moyen age, donc il nous faut un minimum de societé."

Pourquoi libherT, vous pensez qu'au Moyen Age, il n'y avait pas de société ?

De toute façon, comme le dit TP, l'Etat actuel est voué à s'effondrer.

Il va de soi que si nous arrivons à créer sur ses ruines une société qui tienne debout, cela relèvera de notre responsabilité et qu'il faudra s'inspirer de ce qui tenait debout par le passé.

Donc, un modèle s'inspirant du passé, sans nécessairement y voir automatiquement une dictature comme voudrait nous le faire croire la propagande moderne.

http://incarnation.blogspirit.com/archive/2011/11/09/liberte-sous-l-ancien-regime1.html

Écrit par : Boreas | 02/09/2012

Quand je parle de moyen age je parle d un retour en arriere d un point de vue technologique. Il ne faudrai pas perdre toute les avancés utile dans le medicale, antibiotique, medecine operatoire, medecine natale. L électricité sous une nouvelle forme de production, eolien, marée, solaire. Les transports qui raproche les hommes. Liste non exaustive bien sur.

Quand j ai ecrit moyen age, j ai hesité avec age de pierre, et puis je me suis dit que se serai trop pessimiste.
Le moyen age aurai surement ete plus vivable, sans l église. Mais bon nous avons SOS racisme, a chaque époque ses donneurs de leçons......

Écrit par : libherT | 02/09/2012

Tu penses qu'on maitrise un recul technologique et donc démographique?
C'est subit dans tous les cas.
Le pire qu'on puisse avoir, c'est une crise sanitaire, type Grande Peste.
Le rebond a été rapide.

Écrit par : Three piglets | 03/09/2012

J'avoue que cette info m'a échappé. Il y a bien longtemps que je ne lis plus toutes les brèves sur FDS.

Philippe Vardon est un homme remarquable dans sa pose et ses explication, autant que Richard Millet. La c.onnerie journalistique vous étonne Boreas? Pas moi. Dès qu'il s'agit de cracher, salir, calomnier, tous ces gueux sont là pour faire ce boulot de merde. Bonne idée d'avoir posté cette video, elle représente la quintessence de la bêtise. J'admire Vardon pour sa patience. Chapeau!

Écrit par : Imperator. | 06/09/2012

@Boreas

C'est curieux vos propos sur le survivalisme. Volwest (dont vous avez mis son blogue en lien) passe presque son temps à expliquer que le survivaliste est autre chose que la caricature que les média nous présente, à savoir le parano collectionneur d'armes planqué dans son bunker anti-atomique, redoutant l'invasion des martiens... Non, les survivalistes sont des gens "normaux"; ils ont des principes de vie différents, nettement plus sains que ceux de la société de CONsommation.

Curieux également vos propos sur Piero San Giorgio. Je suppose que vous avez lu son livre et/ou écouté ses conférences. Je ne comprends pas très bien vos critiques.

Écrit par : Imperator. | 06/09/2012

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