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05/10/2019

Le communisme reste la plus grande menace de notre temps

 

 

Youri Bezmenov décrivait les tactiques de subversion de l'URSS, devenues celles de la Fédération de Russie dirigée par une majorité de gens issus des services secrets soviétiques.

De fait, consciemment ou inconsciemment, l'idéologie communiste n'a jamais été aussi répandue dans le monde. Elle a envahi les mentalités occidentales, notamment sous le masque écologiste (les écolo-pastèques, vertes à l'extérieur et rouges à l'intérieur, que nous voyons s'agiter aujourd'hui) et sous celui du gauchisme, cet idiot utile évoqué par Bezmenov.

Et pourtant, les médias trouvent le moyen de prétendre que la Chine ne serait plus communiste.

13/09/2019

Libéral ou libertaire

En passant, une petite lecture chaudement recommandée.

C'est ici.

31/08/2019

Sainte-Colombe

25/04/2019

Merci Adolf

12:16 Écrit par Boreas dans Crise, Histoire, Politique | Lien permanent | Tags : allemagne, berlin, 1945, hitler |  Facebook | |  Imprimer | Pin it! |

14/01/2019

De l'objectivité en Histoire

Source

13/02/2018

Sionisme contre bolchévisme

Winston Churchill, Sionisme contre bolchévisme, une lutte pour l'âme du peuple juif (Illustrated Sunday Herald, 8 février 1920)

05/10/2017

(Excellents) musiciens gauchistes se plaignant des effets dont ils chérissent les causes

23/02/2015

L'esprit européen

Vive l'Ukraine, pays-emblème de ce qui reste de l'esprit européen.

17/10/2014

Gabriele Adinolfi sur l'utopie eurasiste

Source (je remercie Thomas R.)

Le contraire de la peur

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(...) Tandis que les autres chasseurs festoyaient autour de leurs feux, Dienekès fit place à ses côtés à Alexandros et Ariston et les pria de s’asseoir. Je devinai son intention. Il allait leur parler de la peur. Car il savait qu’en dépit de leur réserve, ces jeunes gens sans expérience de la bataille se rongeaient à la perspective des épreuves prochaines.

— Toute ma vie, commença-t-il, une question m’a hanté : quel est le contraire de la peur ?

La viande de sanglier était prête, nous mourions de faim et l’on nous apporta nos portions. Suicide vint, portant des bols pour Dienekès, Alexandros, Ariston, lui même, le servant d’Ariston, Démade et moi. Il s’assit par terre, près de Dienekès. Deux chiens, qui connaissaient sa générosité notoire à leur égard, prirent place de part et d’autre de Suicide, attendant des reliefs.

— Lui donner le nom de manque de peur, aphobie, n’a pas de sens. Ce ne serait là qu’un mot, une thèse exprimée comme antithèse. Je veux savoir quel est vraiment le contraire de la peur, comme le jour est le contraire de la nuit et le ciel est l’opposé de la terre.

— Donc tu voudrais que ce fût un terme positif, dit Ariston.

— Exactement !

Dienekès hocha la tête et dévisagea les deux jeunes gens. L’écoutaient-ils ? Se souciaient-ils de ce qu’il disait ? S’intéressaient-ils vraiment comme lui à ce sujet ?

— Comment surmonte-t-on la peur de la mort, la plus élémentaire des peurs, celle qui circule dans notre sang comme dans tout être vivant, homme ou bête ?

Il montra les chiens qui encadraient Suicide.

— Les chiens en meute ont le courage d’attaquer un lion. Chaque animal connaît sa place. Il craint l’animal qui lui est supérieur et se fait craindre de son inférieur. C’est ainsi que nous, Spartiates, tenons en échec la peur de la mort : par la peur plus grande du déshonneur. Et de l’exclusion de la meute.

Suicide jeta deux morceaux aux chiens. Leurs mâchoires happèrent promptement la viande dans l’herbe, le plus fort des deux s’assurant le plus gros morceau. Dienekès eut un sourire sarcastique.

— Mais est-ce là du courage ? La peur du déshonneur n’est-elle pas essentiellement l’expression de la peur ?

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