Intégration, qu'ils disent (14/12/2013)
Il y a quelques jours, je disais que « le modèle communautariste anglo-saxon a complètement supplanté le modèle assimilationniste républicain ».
Malgré les dénégations de Jean-Marc Ayrault, sur le site fonctionnel duquel on trouve le fameux rapport sur la soi-disant intégration, commandé par lui à un aréopage d'idéologues et de lobbyistes de l'immigration, c'est bel et bien un fait.
Comme le dit Zemmour, avec ce rapport, nos élites « passent à la deuxième étape ».
Pour s'en convaincre, il suffit de lire un simple extrait du second volet de ce monument de falsification historique, de terrorisme intellectuel, de novlangue jargonnante et de délire technocratique, ironiquement intitulé « Faire société commune » (pages 3 à 5), que je commente succinctement - passages en rouge.
-----------------
I. Un contexte de crise, des référentiels politiques épuisés : la nécessité de changer de paradigme de politique publique
Liberté, égalité, fraternité et laïcité, sont les valeurs et principes fondateurs de la république française.
Si le R minuscule dont le texte affuble notre République n'était pas un signe suffisant du mépris dans lequel les rédacteurs de ce torchon la tiennent, ajoutons que même ça, déjà, c'est faux. Robespierre et sa Fête de l'Etre Suprême, ainsi d'ailleurs que ses autres projets de fêtes calendaires, dont celle de l'Amour de la Patrie, sont la démonstration de ce que la laïcité, seulement intégrée à l'appareil constitutionnel français en 1958, n'est pas une valeur fondatrice ni un principe de la République. Il s'agit simplement d'une falsification historique courante, utilisée pour subvertir la société française et justifier le grand n'importe quoi communautariste selon lequel tout vaudrait tout et tout devrait être autorisé.
Si ces valeurs ont vocation à protéger et à émanciper, force est de reconnaître que le modèle français d’intégration tel qu’il s’est développé au milieu des années 80, en même temps que la politique de la ville ou les politiques d’insertion, et qui ont prévalu jusqu’à présent, peinent à conférer à ces valeurs fondamentales une effectivité, une réalisation concrète pour l’ensemble des concitoyens particulièrement pour les descendants d’immigrés coloniaux et postcoloniaux. Ces derniers, bien que français, bien qu’ayant grandi en France, ayant fait leurs études dans l’école de la république française, développé une activité dans l’économie française, fondé un foyer sur le sol français, contribué à enrichir culturellement la société française restent encore, trop souvent, perçus comme des français illégitimes érigeant ainsi, au sein même de la société française une frontière intérieure symbolique qui rend difficile, actuellement, toute construction d’une société commune.
Je passe rapidement sur ce classique condensé d'abyssale mauvaise foi et/ou de connerie intégrale, consistant à prétendre qu'une situation de fait, imputable à des réalités anthropologiques et culturelles, relèverait d'une injustice - sous-entendu, de la part des méchants Français de sang forcément « racistes » -, en dépit des moyens colossaux consacrés durant des décennies par le pays hôte, que je suppose donc en pleine schizophrénie, à accueillir des invités qu'en réalité il déteste...
L’épuisement des référentiels politiques (intégration, politique de la ville, prévention de la délinquance, insertion), contemporains de la marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983, est lié, selon nous, à la manière de considérer le problème, imputant aux seules classes populaires la responsabilité de leur non insertion, et aux seuls immigrés et à leurs descendants la responsabilité de leur supposée non intégration exonérant l’Etat et la société de toute forme de responsabilité.
Que viennent faire, dans ce charabia, les « classes populaires » et leur soi-disant « non insertion »?! Notez que la phrase différencie bien les classes populaires, prétendument non insérées, des immigrés et de leurs descendants, supposés non intégrés nous dit-on. Néanmoins, il s'agit clairement d'un amalgame, visant à faire gober au lecteur (lequel ? Qui peut encore gober une énormité pareille, à part les bisounours du MJS ?) qu'il existerait une identité de destin, voire d'intérêts, entre le prolo FDS victime des racailles et de la concurrence de la main-d'oeuvre immigrée, comme des délocalisations, et l'allogène, outil de la déflation salariale voulue par les promoteurs de l'immigration économique, et instrument de l'idéologie libérale libertaire du vivre-ensemble ? Quant à « l’Etat et la société », qui seraient donc les vrais responsables de tout cela, de qui s'agit-il ? Sauf à accuser les gouvernements successifs et le CAC 40 - bref, les zélites mondialistes et leurs larbins, ce qui serait exact, car effectivement ni les prolos ni les immigrés ne sont responsables de la situation -, je ne vois pas.
Ce n’est qu’à partir de la toute fin des années 90 et du début des années 2000, que le dévoilement de processus diffus sinon massifs de discrimination ethno-raciale et sa mise sur agenda du problème public ont permis de sortir de cette construction unilatérale du problème public laissant jusqu’alors penser qu’il n’était que le problème des publics.
Bon, alors là, les rédacteurs de cette invraisemblable sous-copie d'examen d'entrée à Sciences-Po ont vraiment un tel problème avec la langue française que, n'étant pas Champollion - lequel, d'ailleurs, n'était pas confronté à un vulgaire sabir à prétentions savantes -, je renonce à tenter un réel décodage. En gros, ce que je crois comprendre de cette diarrhée verbale, c'est que les pouvoirs publics ne seraient pas seuls responsables. Si quelqu'un est plus accoutumé à l'idiome des lobbies auteurs de cette infecte bouillie, qu'il se manifeste.
Le contexte actuel de crise sociale, économique, morale y est-il plus favorable ? Alors que l’on constate chaque jour que les processus de désaffiliation économique, sociale et civique se croisent et se renforcent ? Qu’ils affectent tout particulièrement les milieux populaires ? Que les discriminations hier encore signalées aux autorités existantes sont banalisées par ceux-là même qui les subissent ? Alors que les discours publics et médiatiques disqualifiant les populations dites Roms, agitant la peur de l’islam, stigmatisant les jeunes des quartiers populaires, prônant la remise en cause du droit du sol se multiplient et se banalisent ? On pourrait en douter.
Passons sur la formulation, qui témoigne d'auteurs à l'esprit toujours aussi embrumé, d'une profonde incohérence conceptuelle, formaté superficiellement à la glu. Les ahuris qui ont pondu ces slogans mal recopiés de tracts de SOS Racisme, en remettent une louche avec les « milieux populaires » et, cette fois, les « jeunes des quartiers populaires ». Qu'est-ce à dire ? Que la cible « des discours publics et médiatiques », c'est le peuple ? Mais alors lequel ? En réalité, cette loghorrée compassionnelle et victimaire fait référence aux mots d'ordre de Terra Nova, le think tank du PS. Pour ces gens, il faudrait pouvoir amalgamer la clientèle électorale immigrée au populo, présumé égaré au FN. Nulle part, bien entendu, on n'avouera qu'en réalité, le peuple français ne se trouve pas, majoritairement, ni dans les sacro-saintes banlieues, ni dans les meetings de MLP, mais, tout simplement, hors des grandes agglomérations, là où s'installent le déclassement et la paupérisation, comme l'a montré, par exemple, Christophe Guilluy.
Pourtant nous postulons lucidement, raisonnablement, le contraire. Ce contexte de crise (Il nous semble important de souligner ici que la crise des années 30, en bien des points semblable à celle que la France connaît aujourd’hui, a conduit, en 1932, au vote, à l’unanimité de l’assemblée nationale, de lois de protection de la main d’œuvre nationale, discriminantes sur le critère de la nationalité, soutenues conjointement par les syndicats de salariés et le patronat. Elles étaient, pour nombre d’entre elles, encore effectives, inscrites dans le fonctionnement sociétal, au moment de la sortie, en mars 2000, de la note n°1 du Groupe d’étude et de lutte contre les discriminations, Une forme méconnue de discrimination : les emplois fermés aux étrangers (secteur privé, entreprises publiques, fonctions publiques).), précisément, constitue une opportunité historique pour faire un nouveau pas sur le chemin politique de l’égalité, pour construire un destin commun à la nation française autour d‘un « vivre ensemble égalitaire » (L’expression est celle du collectif « Vivre ensemble l’égalité » réunissant des jeunes de 16 à 22 ans réunis autour d’un centre social à Lormont. Le collectif « Vivre ensemble l’égalité » a été auditionné par le groupe de travail « Faire société : égalité réelle » le 10 septembre 2013). Si l’on reprend ces mots célèbres d’Aimé Césaire qui résonnent singulièrement aujourd’hui « Une civilisation qui s’avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente. Une civilisation qui choisit de fermer les yeux à ses problèmes les plus cruciaux est une civilisation atteinte. Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde » (Aimé Césaire, Discours sur le colonialisme suivi du discours sur la négritude, Présence Africaine, 2000), on comprend aisément que la prise en considération du problème des discriminations et des inégalités sociales à la hauteur du problème qu’il pose à la société française, à son idéal égalitaire, à la prétention universelle de la république, en fait un véritable défi de civilisation.
Sonnez trompettes et résonnez hautbois ! Vous n'avez pas le choix, bonnes gens, les plus hautes autorités morales vous l'enjoignent, à rebours de l'Histoire vous devez fermement agir, à vous ouvrir pleinement à l'altérité vous ne pouvez que vous résoudre, il n'y a pas d'autre chemin, sans quoi... Oui, sans quoi, quoi ? Je demanderais bien à Aimé Césaire ce qu'il en pense, lui qui parlait de « génocide par substitution » au sujet de la Martinique, et disait qu' « il ne serait pas sage de ne pas tenir compte de ce réveil des identités », etc., etc. Manque de bol, il est mort.
Faire société commune dans une société diverse, c’est porter un projet politique, au plus haut niveau de l’Etat, de reconnaissance de la diversité de population française, de reconnaissance de la prégnance des pratiques discriminatoires et inégalitaires qui font obstacle à la construction d’un universel commun et à la construction d’un droit commun qui soit véritablement commun.
Qu'il s'agisse d'un « projet politique », on ne le leur fait pas dire. Qu'il s'agisse d'un projet schizophrène, en revanche, car prétendant égaliser les règles et les conditions sur le fondement d'un multiculturalisme à l'anglo-saxonne et donc d'un communautarisme, comme on peut le voir ailleurs dans ce rapport, voilà qui ne paraît pas les avoir effleuré. Cette utopie est irréalisable, elle ne peut déboucher que sur le Brésil ou l'Afrique du Sud, sur le chaos et la violence.
La refonte de la politique d’intégration : l’attente d’un signe politique fort
La refonte de la politique dite d’intégration constitue une fenêtre d’opportunité politique pour une reconnaissance politique du problème public des discriminations, problème longtemps occulté, puis porté de façon principalement sinon exclusivement technocratique. Pour autant, il ne s’agit pas de penser que cette question nodale du vivre ensemble, du vivre en commun ne concerne que les populations qui y sont directement confrontées. Il s’agit d’une question qui interpelle l’ensemble de la société française et tout autant l’Etat à son plus haut niveau, que les institutions publiques, les élus, les associations, ou encore les chercheurs, dans leur capacité à le construire comme un véritable problème public. Comme le soulignaient déjà il y a près de cinquante ans, aux Etat unis [sic], les membres de la « Commission nationale consultative sur les désordres civils de l’été 1965 » : « Aucune société démocratique ne peut fonctionner normalement s’il existe au cœur de ses principaux centres urbains un nombre important de citoyens collectivement aigris, convaincus aussi que l’administration ne remarque pas ou ne se soucie pas des injustices dont ils sont victimes et n’a ni les moyens ni le désir d’y remédier » (Collectif, Le rapport noir, Edition spéciale, 1968).
Bref, désormais, il faut bien vous mettre dans le crâne que si l'intégration ne marche pas, c'est à cause « des discriminations ». Surtout, ne réfléchissez pas. Sinon, vous risqueriez de percevoir comme une bouffée d'intense racisme derrière cette proposition. Bah oui, si c'est la discrimination qui empêche les allogènes d'être vos égaux, c'est non seulement que vous êtes racistes, mais aussi qu'en fait, les allogènes sont meilleurs que vous car, à conditions égales, ils sont de meilleure volonté, plus gentils, voire plus doués puisqu'il vous faut les freiner pour qu'ils ne vous évincent pas. Ce sont les bons. Vous êtes les méchants. Tenez-vous le pour dit.
Le terme intégration est discutable parce qu’il peut être vécu comme stigmatisant pour des populations installées en France depuis trois génération. Au-delà d’une police du langage qui impose de ne pas stigmatiser les héritiers de l’immigration qui auraient toujours à justifier de leur droit à être là et de faire partie de la communauté nationale, il s’agit de reconnaître avec Dominique Schnapper (Dominique Schnapper, La France de l’intégration, Gallimard, 1991) que le sens de l’intégration nationale a changé et que le lien social relève moins aujourd’hui d’une mise en forme et en conformité à des normes institutionnelles que de l’inventivité des acteurs sociaux, leur capacité à transformer la société française. L’Etat serait fidèle aux valeurs de la République française en accordant sa confiance aux milieux populaires, à la capacité d’initiative et au désir des individus les plus fragilisés d’être sujets de leur propre vie et de leur propre histoire et d’apporter leur contribution au changement sociétal.
Nous y voilà. Non seulement les « milieux populaires » (comprenez, nos remplaçants, les Français plus français que les Français, les immigrés meilleurs que nous qui incarnons l'esclavage, la discrimination, le racisme) sont le vrai peuple français, au regard d'une définition de la République revue et corrigée pour les besoins de la cause, mais encore ce vrai peuple a le droit de nous imposer ses propres valeurs, ses propres normes, ses propres codes, ses propres règles. Nous n'avons pas à moufter, nous sommes coupables. Le changement nous attend, la transformation se fera à nos dépens car nous l'avons mérité.
La République française et son objectif de solidarité et de citoyenneté pour tous ne saurait se satisfaire d’un dispositif social à plusieurs vitesses qui rejette dans la précarité une part toujours plus nombreuse de sa population. La France est historiquement forte de son Etat et elle a su ainsi surmonter ses crises en assurant sa cohésion dans le pluralisme de ses composantes sociales ou culturelles en réaffirmant à chaque fois son universalité. C’est au nom des valeurs fondatrices d’une République effective qu’il faut une reconnaissance franche du pluralisme de la société française et d’une république de la diversité. La France est déjà un pays pluriethnique et pluriculturel ; elle le sera de plus en plus à l’avenir, et un pluralisme harmonieux reste à construire.
C'est un fait accompli, on vous dit. Vous n'y pouvez rien, pas de retour en arrière possible. L'assimilationnisme républicain est mort et enterré, vous n'avez plus qu'à VOUS intégrer au multiculturalisme ou à disparaître. Disparaître comment ? Bah, bonnes gens, l'Etat, détourné à notre profit, va vous l'expliquer ; on va faire ça à la schlague, s'il le faut. Vous avez vu comment on a fait taper sur les dernières manifs de fachos opposés au mariage gay ou à l'écotaxe ? A vous aussi, on vous destine un tonfa gravé à vos initiales, qui n'attend que votre tête pour produire sa petite note sourde !
Dans un contexte de crise et de profondes mutations, notre pays souffre d’un grave problème de reconnaissance et de représentation de ses milieux populaires et il est devenu urgent de donner une autre place à des groupes stigmatisés et discriminés, au nom d’un choix de société qui doit être affirmé haut et fort pour contrecarrer la montées de discours prônant l’inégalité, la banalisation des discriminations et la montée dans l’espace public d’un racisme qui prétend aujourd’hui à la respectabilité (C’est le cas notamment de formes de discours et analyses qui racialisent le sexisme (au nom de valeurs féministes) comme le montrent bien les travaux de Christelle Hamel, « De la racialisation du sexisme au sexisme identitaire », Migrations Société, vol 17, n°99-100, 2005, p 91-104. [En ligne], consulté le 20 juin 2011. Consultable sur Internet : <URL http://www.unice.fr/urmis/IMG/pdf/Hamel.pdf ou encore de Nacira Guénif-Souilamas Nacira et Eric Macé, Les féministes et le garçon arabe, Editions de l’Aube, 2004 ou encore de discours et analyses islamophobes qui se font au nom de la laïcité comme le soulignent les travaux de Abdellali Hajjat et Mohamed Marwan, Islamophobie : comment les élites françaises fabriquent le « problème musulman », La Découverte, 2013.).
C'est bien connu, le statut de la femme dans les pays du Maghreb est très valorisant et il n'existe aucun racisme anti-Blanc. Enfin, moi, peu m'importe, ils font ce qu'ils veulent chez eux et je m'en fous. Mais pas en France, SVP. Au point, en plus, de se revendiquer de l'islamiste Marwan Muhammad, la marionnette de la haute finance via le CCIF dont il est le porte-parole, c'est quand même un peu gros...
Il y a aujourd’hui trente ans que la Marche pour l’égalité et contre le racisme a affirmé que l’exigence d’une citoyenneté pour tous et du vouloir vivre ensemble suppose de ne pas dissocier la question de l’égalité de celle de la lutte contre le racisme et les discriminations.
Parlons-en, de la Marche ! Voilà un bel exemple de précédent en matière d'escroquerie aux bons sentiments.
Seul un engagement d’une envergure sans précédent peut répondre aux enjeux de reconnaissance et de représentation des milieux populaire pour faire société commune dans une société diverse.
Trente ans après la marche égalité pour l’égalité et contre le racisme, ce rendez-vous historique ne peut être manqué.
II. La reconnaissance de la prégnance des discriminations ethno-raciales au sein de la société française : un enjeu majeur pour faire société commune
(...)
Matraquage culpabilisateur, appel à la répression et au passage en force : tout le monde a compris. Il faut dire qu'ils ne sont vraiment pas bien malins, mais peut-être croient-ils pouvoir s'en passer.
-----------------
Je pourrais continuer longtemps comme ça. Du mensonge et de la propagande à dénoncer, il y en a au kilomètre dans ce rapport digne du Parti Unique libéral libertaire.
Comme le dit Malika Sorel, « ce rapport part du principe que la France est coupable et raciste ».
Ayrault a beau nous soutenir, la main sur le coeur : « ce n'est pas parce que je reçois des rapports que c'est forcément la position du gouvernement », comment croire, alors que les écrits dont il parle, commandés par lui et payés par nos impôts, ne font qu'emboîter le pas à Terra Nova, et à ses conseils de stratégie électoraliste ; comment croire, un seul instant, que ces écrits ne vont pas dans le sens voulu par son gouvernement ; voulu, comme l'affirme Zemmour, par les élites françaises ?!
Ce Régime est menteur et traître à sa patrie.
Il poursuit les seuls intérêts de classe de ses membres et commanditaires.
Dans ce but, il n'a cure de faire disparaître son peuple et, en attendant, de dresser les uns contre les autres, en attisant artificiellement les antagonismes ethno-religieux, les Français de sang et les allogènes.
Ce, alors qu'il n'existe en réalité d'autre « racisme » en France que ceux qu'il suscite et importe lui-même, pour servir, par le remplacement ethnique, d'outil de dissolution d'un peuple fondamentalement hostile au modèle marchand et, par la création de conflits communautaires, de paravent à ses activités criminelles.
Mais ne nous y trompons pas. La diversion serait habile, si elle trouvait un écho profond dans le peuple français.
Or, comme en Italie, en France non plus, la mayonnaise ne prend pas, la dissidence persiste et prend du poids.
Seul l'autoritarisme croissant du pouvoir peut, comme celui-ci l'a abondamment montré lors de la répression de La Manif Pour Tous et du mouvement des Bonnets Rouges, pallier encore quelque temps - aussi longtemps que les exécutants de ce pouvoir ne se retourneront pas contre lui, aussi longtemps que l'Etat-providence aura de l'argent et des médias puissants - l'affaiblissement inéluctable de sa crédibilité et donc, de son autorité politique et sociale.
L'effet boomerang, même pour TINA (There Is No Alternative - « il n'y a pas d'alternative », expression attribuée à Margaret Thatcher), c'est une réalité de plus en plus perceptible.
-----------------
Tout cela est bel et bien planifié et ne doit rien à des rédacteurs de rapport qui seraient hors de contrôle.
Je répète, ce dimanche 15, qu'Ayrault aura beau nier son implication, c'est bien lui le responsable, car il a initié le rapport Tuot qui est à l'origine des propositions aujourd'hui en débat, et il ne pouvait donc ignorer, connaissant son auteur et son parti pris, ce qui en sortirait :
#Ayrault a été l'instigateur et le pilote du rapport #Tuot , extrait de la lettre de cadrage : pic.twitter.com/lUez1LUms4
— L'instit' (@Mlinstit) December 14, 2013
20:14 Écrit par Boreas | Lien permanent | Tags : multiculturalisme, communautarisme, assimilation, intégration, immigration, immigrés, allogènes, jean-marc ayrault, rapport, eric zemmour, falsification historique, novlangue, terra nova, ps, classes populaires, idéologie libérale libertaire, élites, mondialistes, racisme, discrimination, christophe guilluy, aimé césaire, peuple, bons, méchants, culpabilisation, marwan muhammad, ccif, malika sorel, régime, antagonismes, diversion, dissidence, autoritarisme | Facebook | | Imprimer | |
Commentaires
bravo. FEU!
Écrit par : hoplite | 14/12/2013
"Si le R minuscule dont le texte affuble notre République n'était pas un signe suffisant du mépris dans lequel les rédacteurs de ce torchon la tiennent"
Ce n'est pas du mépris, juste une maîtrise très limitée de la graphie.
"l’ensemble des concitoyens particulièrement pour les descendants d’immigrés coloniaux et postcoloniaux"
Aveu terrible que la France est devenue la colonie de ses anciennes colonies...
"Ces derniers, bien que français"
C'est bien là qu'est tout le problème (même si pour Marine ils sont francécomvouzémoi)
"le pays hôte, que je suppose donc en pleine schizophrénie, à accueillir des invités qu'en réalité il déteste..."
Il y a une légère dose de schizophrénie quand même (le syndrome nimby). Ne la nions pas.
"aux seuls immigrés et à leurs descendants la responsabilité de leur supposée non intégration exonérant l’Etat et la société de toute forme de responsabilité"
Encore la politique réparationniste d'inspiration anti-esclavagiste noir-américiane qui pointe le bout de son gros nez.
"ni les immigrés ne sont responsables de la situation"
Vous oubliez les groupes de pression, le voile à l'école, les abattoirs... Rien que pour les revendications de la part musulmane de l'immigration.
"Ce n’est qu’à partir de la toute fin des années 90 et du début des années 2000, que le dévoilement de processus diffus sinon massifs de discrimination ethno-raciale et sa mise sur agenda du problème public ont permis de sortir de cette construction unilatérale du problème public laissant jusqu’alors penser qu’il n’était que le problème des publics."
Vous avez tort, Boreas, de ne pas apprécier le style sciences po, un brin anglo-saxon (ça sent le think tank qui prend ses ordres directement à l'extérieur de la France, c'est de la traduction mot à mot de l'anglais, c'est évident).
En gros, ça veut dire qu'à partir des années Chirac/Jospin, le problème des discriminations raciales, apparemment massif (ou diffus, comme ça on est sûr de ne pas se tromper), a été mis en évidence (par qui ? mystère) puis mis à l'ordre du jour (le fameux agenda des anglo-saxons), c'est-à-dire intégré aux questions qui doivent être débattues puis traitées politiquement. Traduction du second bout de phrase : Avant la fin des années 1990, l'approche était orientée en direction des publics concernés (immigrés). Ce type d'approche, unilatérale, était problématique en ce qu'elle ne regardait pas du côté des autres acteurs, c'est-à-dire l'Etat et la société dans son ensemble (comprendre la société blanche et raciste défendue par un Etat policier répressif, on se croirait en Afrique du Sud sous l'apartheid).
"Bon, alors là, les rédacteurs de cette invraisemblable sous-copie d'examen d'entrée à Sciences-Po"
Ce n'est pas une sous-copie d'entrée à sciences po, c'est plus sûrement le niveau de sortie à l'ENA.
"En gros, ce que je crois comprendre de cette diarrhée verbale, c'est que les pouvoirs publics ne seraient pas seuls responsables."
Non, même en gros ce n'est pas ça :-)
"Si quelqu'un est plus accoutumé à l'idiome des lobbies auteurs de cette infecte bouillie, qu'il se manifeste."
Il suffisait de demander. C'est fait et gratuitement en plus. La prochaine fois, je demanderai des honoraires en tant que consultant.
"les processus de désaffiliation économique, sociale et civique se croisent et se renforcent ?"
A propos de désaffiliation, nous sommes tous nés d'un père et d'une mère. Et vlan !
"Il nous semble important de souligner ici que la crise des années 30, en bien des points semblable à celle que la France connaît aujourd’hui, a conduit, en 1932, au vote, à l’unanimité de l’assemblée nationale, de lois de protection de la main d’œuvre nationale, discriminantes sur le critère de la nationalité, soutenues conjointement par les syndicats de salariés et le patronat"
La France c'est open bar. On décèle une critique indirecte (et sans doute involontaire, quoique pas innocente) des bonnets rouges qui coalisent travailleurs et patrons.
").),"
Cette ponctuation dans le rapport est infecte (j'allais être beaucoup plus vulgaire).
"constitue une opportunité historique"
La crise est une opportunité, en économie comme en idéologie, c'est bien connu.
"un destin commun à la nation française autour d‘un « vivre ensemble égalitaire »"
Traduction : transformer la France en annexe du Tiers-Monde.
"à son idéal égalitaire, à la prétention universelle de la république"
C'est bien ça le problème (même si c'est le genre de discours qui doit fait plaisir à Marine).
"Collectif, Le rapport noir, Edition spéciale, 1968"
Il s'en est passé des choses en 1968. Il a suffi de dix années d'immigration massive subsaharienne et de natalité délirante à coup d'allocations braguette pour importer la question noire (à la sauce américaine) en France.
"Le terme intégration est discutable parce qu’il peut être vécu comme stigmatisant pour des populations installées en France depuis trois génération."
La faute d'accord à génération est un beau lapsus : une génération ou trois générationS, ils ne sont toujours pas intégrés ni assimilés, parce qu'inassimilables en nombres aussi grands.
"Au-delà d’une police du langage qui impose de ne pas stigmatiser les héritiers de l’immigration qui auraient toujours à justifier de leur droit à être là et de faire partie de la communauté nationale"
Bel aveu que celui de la police du langage, mais c'est pour la remplacer par une police du langage encore plus pernicieuse.
"le lien social relève moins aujourd’hui d’une mise en forme et en conformité à des normes institutionnelles que de l’inventivité des acteurs sociaux, leur capacité à transformer la société française"
Le Grand Remplacement s'accompagne d'une Grande Transformation. Comprendre la mort de la France, l'avènement définitif de la République.
"serait fidèle aux valeurs de la République française en accordant sa confiance aux milieux populaires"
Si les milieux populaires (les vrais) pouvaient se réveiller, ça éviterait le désastre qui découlerait de la mise en application de ce rapport hallucinant.
"La République française et son objectif de solidarité et de citoyenneté pour tous ne saurait se satisfaire d’un dispositif social à plusieurs vitesses qui rejette dans la précarité une part toujours plus nombreuse de sa population."
Je ne sais pas ce que vient faire le volet économique ici. Si ce n'est pour dire que malgré la crise et les contraintes budgétaires, l'Etat sera toujours là pour subventionner les populations immigrées (et que les Français de souche seront saignés à blanc par la fiscalité jusqu'à ce qu'ils crèvent définitivement).
"La France est déjà un pays pluriethnique et pluriculturel ; elle le sera de plus en plus à l’avenir, et un pluralisme harmonieux reste à construire."
L'avenir radieux à 65 millions de morts.
"Dans un contexte de crise et de profondes mutations, notre pays souffre d’un grave problème de reconnaissance et de représentation de ses milieux populaires"
S'agit-il des électeurs FN ? Si c'est le cas, le rapport a quand même du bon [mode ironie off]
"Seul un engagement d’une envergure sans précédent peut répondre aux enjeux de reconnaissance et de représentation des milieux populaire pour faire société commune dans une société diverse."
Ils ont fumé pour écrire ces inepties. A quand la légalisation des drogues douces ? Dans le prochain rapport ? Pour eux, milieux populaires et immigrés c'est pareil.
Écrit par : Anne Onyme | 15/12/2013
C'est quoi leur but en rendant ce rapport public ?? Faire dégoupiller un fds pour enfin avoir leur Breivik français qu'ils cherchent depuis des mois ??
Écrit par : hugues capet | 15/12/2013
"Le peuple(le lourd populo domestiqué disait un certain Zo d'Axa en 1890 env. peu connu n'est-ce pas ce Zo) desirait toujours,et encore lors de la création de la SS pour le satisfaire,qu'on lui ""frotta la plante des pieds avec le gras des p'tits boyaux"(Bloy,géniale formule non!),pour moi simple prolo et encore a croire en ce que dit monsieur Georges Lane sur la SS(et comment s'en sortir dit-il dans un livre que je n'ose lire car mon intelligence a ses limites,moyennes!);excusez du peu Boréas,je fais pleinement confiance en "GL" plutot que Drac(je n'ai pu suivre votre lien que vous proposiez pour démontrer que selon vous GL etait un vieil imbécile,votre lien je l'avais peut-etre deja vu,qui etait peut etre cet echange(d'une heure trente que j'ai suivi une heure voyant bien leur désaccord) echange donc entre GL et Drac.
A mon avis,s'il n'y avait pas eu la création de la SS (le Fléau) telle qu'elle fut construite,la société,l'individu,ne se serait pas aveulit tel qu'il y est dans sa trop grande part,il n'y aurait pas eu besoin de sangs plus vigoureux s'y substituant maintenant.
Portez vous bien.
Dom.
Écrit par : Dom | 15/12/2013
@hugues capet
"Faire dégoupiller un fds pour enfin avoir leur Breivik français qu'ils cherchent depuis des mois ??"
Ca changerait quoi un Breivik français ? Faire baisser les scores du FN ? Ne soyez pas ridicule. Le FN lepéno-gauchisé s'en charge très bien tout seul, par ses erreurs (volontaires ?) de stratégie et ses purges risibles face à la radicalité et la gravité de la situation. On peut même "remercier" le PS de chercher à faire monter le FN (soupape de sécurité ultime du Système, qui désincite les gens à agir hors de la voie électorale) et à plomber temporairement l'UMP (le flotteur côté droit du Système).
Justifier une répression encore plus forte ? Mais le Système est déjà ultra-répressif. On le voit bien avec la question du mariage pour tous.
La seule explication est que le Système part complètement en roue libre. Une fuite en avant pourrait-on croire, à moins que ce ne soit calculé : il s'agit de frapper les esprits en martelant des idées toujours plus fortes dont la mise en application aboutirait évidemment à l'autodestruction de la France. C'est une œuvre de propagande rondement menée pour désarmer les gens, dans tous les sens du terme.
Écrit par : Anne Onyme | 15/12/2013
Hoplite
Oui, feu ! Même s'il faut répéter un milliard de fois les mêmes choses.
==============
==============
Anne
" "ni les immigrés ne sont responsables de la situation"
Vous oubliez les groupes de pression, le voile à l'école, les abattoirs... Rien que pour les revendications de la part musulmane de l'immigration. "
----------------------------
Tout cela n'existerait pas sans la volonté des élites françaises et européennes. Les groupes de pression : financés par qui ? Le voile à l'école : instrumentalisé par qui ? Les abattoirs, le commerce du halal : à qui cela appartient-il ?
Je le répète, l'immigré n'est pas notre ennemi, il vient pour des raisons économiques, pour bénéficier du confort matériel occidental, il n'est pas plus responsable de cela que le FDS lambda. Il n'est susceptible de devenir notre ennemi qu'à partir du moment où l'immigration devient invasion, avec la bénédiction de nos élites, et où celles-ci arrosent la population, de sang comme immigrée, de discours culpabilisateurs et victimaires. En Tunisie sous Bourguiba, le voile était interdit. Dans la plupart des pays musulmans, le voile intégral est très peu pratiqué. Comment se fait-il que l'islamisme radical prospère autant chez nous, si ce n'est pour exciter délibérément les antagonismes ? Et vous, vous tombez dans le panneau... Voyez donc qui finance tout cela, petit rappel :
http://gestion-des-risques-interculturels.com/risques/la-strategie-americaine-pour-influencer-les-minorites-en-france/
==============
" "Ce n’est qu’à partir de la toute fin des années 90 et du début des années 2000, que le dévoilement de processus diffus sinon massifs de discrimination ethno-raciale et sa mise sur agenda du problème public ont permis de sortir de cette construction unilatérale du problème public laissant jusqu’alors penser qu’il n’était que le problème des publics."
Vous avez tort, Boreas, de ne pas apprécier le style sciences po, un brin anglo-saxon (ça sent le think tank qui prend ses ordres directement à l'extérieur de la France, c'est de la traduction mot à mot de l'anglais, c'est évident).
En gros, ça veut dire qu'à partir des années Chirac/Jospin, le problème des discriminations raciales, apparemment massif (ou diffus, comme ça on est sûr de ne pas se tromper), a été mis en évidence (par qui ? mystère) puis mis à l'ordre du jour (le fameux agenda des anglo-saxons), c'est-à-dire intégré aux questions qui doivent être débattues puis traitées politiquement. Traduction du second bout de phrase : Avant la fin des années 1990, l'approche était orientée en direction des publics concernés (immigrés). Ce type d'approche, unilatérale, était problématique en ce qu'elle ne regardait pas du côté des autres acteurs, c'est-à-dire l'Etat et la société dans son ensemble (comprendre la société blanche et raciste défendue par un Etat policier répressif, on se croirait en Afrique du Sud sous l'apartheid). "
----------------------------
Merci pour le coup de main.
Vous avez probablement raison, j'aurais dû raisonner globish. Un petit blocage persistant... :-)
==============
==============
Hugues
Oui, je partage votre avis, après l'affaire Merah qui a révélé d'étranges complaisances de nos services de renseignement, l'affaire Méric qui a confirmé le souhait de nos zélites (notamment Valls) de voir un affreux facho assassin justifier la répression systémique, et l'affaire Abdelhakim Dhekar qui a encore déçu cette aspiration, un Breivik français les arrangerait bien.
Je ne suis donc pas tout à fait d'accord avec la réponse que vous fait Anne à ce sujet (outre son ton toujours aussi chaleureux :-) ) : la seule solution du PS pour espérer remonter dans les sondages avant les prochaines élections, c'est un levier de discrédit total des idées du pays réel, ce qui déborde largement le cadre du FN : le mariage gay, les Bonnets Rouges, etc., toute cette fronde provinciale assimilée par les caciques libéraux libertaires degôche comme dedroâte à la France "moisie, rance, nauséabonde, facho", etc.
Et un Breivik français, ce serait 100 % téléréalité, 100 % manuel de la stratégie du choc. Le 11/9 en boucle sur toutes les chaînes.
Ils n'ont plus que ça.
==============
==============
Dom
Je le maintiens, à mes yeux, Georges Lane, fonctionnaire de l'Education Nationale comme une bonne partie des libéraux français, c'est-à-dire totalement protégé des conséquences de ses idées, est un vieux con.
D'abord, parce qu'être libéral, c'est n'avoir rien compris aux causes de nos problèmes :
http://www.alaindebenoist.com/pdf/critique_de_l_ideologie_liberale.pdf
Ensuite, parce que les gens qui pérorent du haut de leur tour d'ivoire entretenue aux frais du contribuable, pour nous dire que l'impôt qui les nourrit, ce n'est pas bien, ça ne me paraît pas très cohérent.
Vous vous déclarez contre la Sécurité Sociale, ou son monopole public. Fort bien. Etudiez donc un peu l'impact concret des régimes privés d'assurance maladie, famille, retraite, dépendance, notamment dans les pays anglo-saxons, et cherchez aussi qui fait du lobbying, en France, pour leur privatisation (je vous donne un indice : cela concerne notamment Guillaume Sarkozy, président du groupe Malakoff Médéric).
Maintenant, si vous trouvez tout cela sympathique, soyez cohérent : allez vivre vos convictions dans un pays qui pratique la Sécu privée, et on en reparlera.
En attendant, en ce qui me concerne, je ne confonds pas le principe de la Sécu issu du Conseil National de la Résistance, qui est une idée juste et équitable, avec les abus qui en sont faits aujourd'hui, en raison principalement d'une immigration de masse et du développement de l'assistanat comme adoucissant de la mondialisation libérale.
Cordialement.
Écrit par : Boreas | 15/12/2013
Boréas,j'ai senti quelques un de mes maigres synapses commencés a surchauffer alors je n'ai pas tout lu de votre lien d'ADB :-)
En vrai,je me doutais que je serais larguer dû au texte trop pointu,je l'ai lu,puis lorsque Dieu fut présent j'ai commencer a fuir,juste survoler les paragraphes et relever de ci de la quelques phrases(je suis un numero de SS depuis toujours le systéme me l'a toujours fait comprendre,remplaçable etc,et,j'ai mal compris peut-etre mais ADB dit qu'un libéral considererait les êtres comme des numeros,ça changerait guére donc) et est-ce que celui qui recommande le liberalisme,oblige a un libéralisme planétaire(dans le sens mondialisateur,adepte du mondialisme;plus de frontiére etc)
Je suis a repenser aux débats que j'ai choisi,les ecouter par la suite,entre "GL" et par exemple "FG" ou bien "JGM",Georges Lane ne s'en vante pas,il précise lors d'un entretien:economiste c'est un doctorat de dix ans d'étude;mais alors si je ne puis accorder du credit a ce qu'il dit,a qui faire confiance..Ces acronymes sont des libéraux si je les suis bien,et je me souviens de ceci aussi,c'était "FG" disant(expliquant,mais trop ardu a suivre encore!) d'Obama qu'il est un imposteur,je m'etais dit que ce pamphlet tomberait agréablement dans plus d'une oreille réactionnaire..Lucide ce "FG"..
Je crois me souvenir,que JGM parle de ce CNR sur son blog,et qu'en ce temps des cocos mettent leurs mains crochus a l'oeuvre pour creer ce qui deviendra vite le Fléau,la SS.
La résistance..je me souviens comment Jean Dutourd en parle car on l'a "inviter" a en faire partie de cette resistance il avait 17a a cette époque si je me souviens bien de ses dires a ce sujet..allez Jean!vous pourrez vous en vanter plus tard lui faisait on comprendre(il ne s'en vantait point vous l'avez bien compris),sacrés gaillards ces resistants,j'apprend dans un article(faux possible je sais,mais si tout ce qui est afficher sur la toile est faux,quoi croire!) qu'un certain amiral Platon(facile a retenir ce nom) fut ecarteler en utilisant un tracteur,par des resistants(de la 25é heure sans doute)..Il parait que l'ecartélement avec des chevaux ne séparait par les membres du corps..
Je reflechi a un autre pays,la Russie!et l'Ukraine donc!vous avez vu la beauté fascinante de cette Ioula!M'en irais bien la libérer moi!:-) (je deconne!)
Je vais quand même m'intérésser a cet "holisme" des fois que ce soit pas mal aprés tout.
Holisme donc,j'aurais appris ce mot ce soir:-) et a propos de politique ou lui ressemblant,l'ergonisme,ça marcherait ça?plutot que gauche droite,liberal ou turbo liberal..
Écrit par : Dom | 15/12/2013
Vous êtes un brave coeur, Dom.
Laissez tomber tout ça, vous vous gaspilleriez.
Écrit par : Boreas | 15/12/2013
Merci de votre recommandation Boréas,sincérement!:-)
A vous lire,et quelques autres!
Écrit par : Dom | 16/12/2013