Mais la plus grande douceur est d’occuper les hauts lieux fortifiés par la pensée des sages, ces régions sereines d’où s’aperçoit au loin le reste des hommes, qui errent çà et là en cherchant au hasard le chemin de la vie, qui luttent de génie ou se disputent la gloire de la naissance, qui s’épuisent en efforts de jour et de nuit pour s’élever au faîte des richesses ou s’emparer du pouvoir. Lucrèce, De la Nature, Livre II   Par moments, je me dégoûte d'écrire. Ce blog ne m'est rien, pour ainsi dire. Il ne me sert pas de passe-temps,...

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